SIORA

25†

Média : Olivia

Un gros silence s'ensuit. Je me demande s'il va me jetter dehors.

Martin: assieds toi. Mais je te préviens. Je ne veux plus d'excuses. Sinon c'est pas la peine de discuter.

je ne répond pas et me contente juste de m'asseoir sur le bord de son lit.

Moi: Martin d'abord il faut que tu saches que mes intentions étaient bonnes. Je ne savais pas si je devais te faire confiance. Et s'il te plait ne me juge pas. 

Martin : je ne vais jamais te juger Siora.

Je souffle un bon coup avant de prendre la parole.

Moi : tu m'as demandé à plusieurs reprises pourquoi je n'appelle pas Olivia "maman". Et bien c'est parce que je ne la considère plus comme ma mère depuis le jour où elle accepté de me donner à une inconnue. Maintenant que je me suis attaché à Marina qui est maintenant ma mère, Olivia est parti de la maison.

Martin: attend Olivia vivait avec toi et ta nouvelle maman ?

Moi: oui. Donc je continue elle est partie en me disant qu'elle allait revenir me cherché. Mais moi je ne voulais pas. J'avais des amis, des cousins, des tantes qui m'adoraient.  Malgré que je sois la seul noir de la famille, personne ne fait attention à ça. Je suis tellement bien avec eux. Le jour de mon anniversaire elle à débarque avec des policier pour dire qu'elle passerait me prendre dans une semaine. Et qu'il y aurait un procès pour dire qui garderait ma garde.
Pour tout te dire, mon père est arrivé au milieu du procès pour avoir ma garde.

Martin: ton père qui avait disparu ?

Moi: oui. Olivia à prit peur et elle m'a envoyé ici avec vous, le pays dans lequel je suis né. Et donc je me demande si là bas en France on me cherche toujours. Olivia me frappe chaque fois que je conteste ses ordres.

Martin: maintenant qui  est la femme qui voulait à tout prix te parler ?

Moi: c'est Aïda. Celle pour qui mon père nous à abandonné.

Martin: je sus sans voix.

Moi: ...

Martin: je suis désolé Siora. Je comprend pourquoi tu ne sortais pas. Pourquoi tu avais peur d'elle. 

Moi: c'est pas grave. Maintenant tu me pardonne de ne pas t'avoir dit la vérité.

Martin: je t'ai pardonné dès que tu as mis les pieds dans ma chambre.

Moi: alors ami pour la vie?

Martin: ami pour la vie.

Il se lève et vient le prendre dans ses bras.

Moi: tu devrais allé prendre ta douche. Sa sent pas vraiment la rose.

Martin : je te reconnais maintenant.

Je commence à rire puis lui il va dans la douche.
Je me met à réfléchir. Ça m'a vraiment manqué de le voir rire. Mais attend j'y pense. Je vais lui demandé son aide.

Martin sort de la douche tout trempé moi je suis assise en tailleur sur son lit.

Martin: vas-y je te gène pas?

Moi: ho non ça va tu peu resté. J'ai eu une idée

Martin : je t'écoute

Moi: je me suis dit que tu pourrait m'aider. Si je contact Marina, Olivia le saura. Et Arhtur aussi

Martin: qui est Arthur?

Moi: le frère d'Olivia.

Martin: ha. Et donc c'est quoi l'idée ?

Moi: tu pourais appelé pour moi. Et lui donné mes coordonnées. Ils viendront me chercher.

Martin: mais c'est n'importe quoi

Moi: bien sûre que non. Je ne sais pas pour quoi j'ai pas pensé à ça avant. S'il te plait fait le. J'ai besoins de voir ma famille de là bas. Je suis malheureuse.

Martin: je ne peut pas faire ça

Moi: mais pourquoi ?

Martin: JE PEU PAS C'EST TOUT

c'est la première qu'il élève la voix avec moi. Ça ma fait peur sur le coup et mes larmes ont commencé à monter.

Martin: Siora je suis des...

Moi: désolé , je sais. Pas la peine.

Je prend mon sac puis sors de sa chambre et claquant la porte.
Je sors rapido presco de la maison sans faire attention à sa mère qui me parlait.

Arrivé devant le carrefour je vois plusieurs personnes entouré quelques chose. Et certains essayait de contacter l'ambulance.

Je m'approche et là qui je vois couché au sol, OLIVIA.

QUOI S'IL VOUS PLAIT FAITE QUE JE RÊVE, OLIVIA EST MORTE ????

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TADAAAAAA LA POPULACE. C'EST UN GRAND SUSPENSION ÇA JE SUIS FIÈRE DE MOI.