L'incendie

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1 mois que Mitsuki est arrivé. Sarada s'éloigne de plus en plus, elle ne dors presque plus chez moi. Dès qu'on couche ensemble, elle se crispe, on se dispute de plus en plus. Sa dégénère vraiment, mais je ne pensais pas à se point. Hier Sarada m'a demandé une pause, elle voulait qu'on s'éloigne pour soit disant réfléchir, mais je savais que de toute façon, c'était finis. Cette pause marquait la fin de nous deux. Je devais passer a autre chose. Mais c'est pas facile. Deux ans que je sortais avec elle. Je la connaissais par cœur, je savais ce qu'elle aimait manger, qu'elle type de film elle regardais, sa famille, son enfance. Je savais ses petites faiblesse, ou l'embrasser pour lui faire de l'effet, comment lui faire plaisir.
Comment recommencer tout sa avec une autre fille ? Surtout si c'est pour qu'elle me plaque pour le premier nouveau venue.
Mais le pire dans tout sa, c'est que je m'entendais super bien avec Mitsuki.
Je pris mon portable et envoya un message à Sarada. Je voulais en finir vite, je ne voulais plus souffrir de son silence.
Je tapa et retapa mon message plusieurs fois, je ne savais pas quoi dire. Finalement, sa a donné un truc du genre:

Sarada, je t'aime toujours, mais je sais que se n'est plus ton cas, je te connais. Je préfère qu'on en reste là. Je sais que tu as des sentiments pour lui, alors forcément, si tu me choisis moi à la fin de ta pose, sa ne sera pas s'insère, tu le regretteras et on se disputera encore. J'ai une faveur à te demander, restons amie, comme avant. Finalement, ton père avait raison. Prend bien soin de toi.

Bon bas c'était pas fameux mais déjà, essayer d'écrire alors que tu voix que dalle a cause de c 'est foutue larmes. Mais putain, c'est moi qui met fin à notre histoire alors pourquoi je pleure ? Merde.
Je m'écroula sur mon lit, demain j'avais cour. Valait mieux que je me calme.

Le lendemain, j'entra en classe avec mes copains, j'avais leurs soutiens, sa faisait du bien d'être entouré mais j'avoue que j'aurais préférer être seul. Je partit m'assoir à coter du fantôme. Béni soit mon prof, cette fille était un vrai mur, sa veux dire, aucune question sur le fait que je suis totalement défigurée, aucun jugement, juste le silence d'on j'avais t'en besoin. Deux heures de pure bonheur.

Bon ok j'avoue j'ai pas tenue la deuxième heure. J'ai passer quoi, trente minutes à me morfondre, puis le reste de la première heure à me poser tout un tas de questions sur le fantôme.
Pourquoi elle était seul? Pourquoi elle parlait pas? Et bien plus encore...

Pendant la seconde j'ai essayé d'engager un peut la conversation. Bas je me suis pris un de ses vents.

Quand enfin sonna la recréer, les mecs m'abandonnèrent pour poser une question au prof, moi je parti trop presser d'aller enfin au toilette. De toute façon j'avais absolument pas écouté le cours alors...

Quand j'en sortie, je vie le fantôme, sa m'a fait bizarre, en y repensant je ne l'avais jamais vue en dehors des cours, en même temps, c'était pas pour rien qu'on l'appelais fantôme. Alors que je m'apprêtais à partir, je vie trois mecs clairement louche s'approcher d'elle. L'un brisa clairement son espace vital pour commencer à la tripoter. C'était pas son copain, sa se voyais au regard fout de colères qu'elle lançai. Alors que la main du type commençait à descendre trop bas à mon goût, elle l'attrapa avec force et le fie reculer. Il n'apprécia pas. L'un des mecs la poussa fortement et elle tomba aux sol, le dernier commença a luis filer dés coup de pied.
Sans était assez, je sortie de ma stupeur et fonça sur les types pour filer un bonne uppercut du gauche à celui qui la frappait, un magnifique crochet du droit a celui qui l'avait pousser, et un gros coup de pied dans les couilles de celui qui avait voulut la violer pour refroidir ses ardeurs.
Heureusement que la famille de ma mère était experte en art martiaux, et que j'avais été contraint de m'y mettre. J'aimais pas vraiment sa, mais manifestement c'est utile.

J'aida le fantôme a se relever et lui donna son sac. Je ne m'attendais pas à des remerciements, n'y même à se qu'elle allait me dire, j'était persuader qu'elle allait s'enfuir.

Fantôme : Ta posture n'était pas bonne, en déplacent légère ton pied tu serais plus stable et tu gagnerais en vitesse et en force. Tu dois être plus précis dans tes gestes....mais....merci.

Puis elle s'enfuit à pleine vitesse.
On peut se la refaire là ? Il venais de se passer quoi? Déjà d'ou elle sais parler elle? Même contre les types elle a pas dit un mot. Et si elle sais se battre, pourquoi ne pas se défendre? Je lui demanderai en classe.
En parlant de sa, sonnerie.
Les deux prochaines heures étaient avec monsieur Kiba, profs de sport chelou qui n'as de vie sociale qu'avec son chien. Enfin en dehors de ma mère et de Chino. Trois vieux potes d'enfance apparemment. On aura bos dire mais avoir des profs qu'on connaît déjà c'est bizarre.

Sensei: Bon, aujourd'hui cours à pied, faite moi trois tours de terrain. Sumire vient me voir s'il te plais. Vous autres allez y.
Je pense que le profs avait due voir les bleus sur son visage. Les types n'y étaient pas allez de main morte. Kiba Sensei appela Karin, une surveillante pour l'emmener je ne sais trop où.

Le cours de sport fut très rapide, pas juste parce que j'adorais le sport, mais parce que Sarada et moi, étant les meilleurs de la classe avec Hiwabe, on avait pue se défier et rirent ensemble comme quand on était gosse. On avait pue sourire plus naturellement et sa me faisait du bien.
Je rentra à la maison complètement vanné, aujourd'hui on étaient vendredi et je n'avait cour que le matin.
Quand j'entra, je vie ma mère nettoyer à fond la maison.

Boruto : J'ai rater un truc?

Pour toute réponse, ma mère alluma la télé sur la chaîne des infos.

Présentatrice télé : Et oui se terrible accident de cette immeuble en feu depuis 10h30, impossible de l'arrêter, les autorités évacue les...

Ma mère arrêta.
maman : Il y avait l'un des protégés de ton père qui vivait la. Étant orpheline, elle vas vivre avec nous quelque temps.

[Boruto x Sumire] Toujours se même regard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant