Fin du supplice

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PDV Boruto
Bon ok, j'étais pas forcément dans la position la plus agréable du monde. Par la, je veux dire qu'un fusil pointé sur son front et qu'un type psychologique instable qui a la main sur la gâchette ce n'est pas tout à fait la meilleure façon de démarrer une journée.

Shen: Alors, toujours envie de faire ton malin.

Qui fait son malin avec un fusil sur sois ? Et dire que j'aurais plus jamais la chance d'embrasser Sumire, de la voire  rougir, de la réveiller le matin, de...
Pourquoi je pense à elle alors que je suis à deux doits de me faire tuer par sa faute.

Shen : Une dernière volonté ?

PDV Naruto
Les enfants étaient arrivé assez vite au bâtiment indiqué par Thaïs. Shikamaru et moi avions décidé de ne pas intervenir pour le moment, dans certaines situations, les enfants étaient plus efficaces que les adultes.

Thaïs : C'est fout à quel point tout à changé.

Sumire : C'est immense, comment on peut les trouver à temps ?

Nué : sûrement dans notre ancienne chambre.

Thaïs : Allons-y !

Thaïs, les y conduisit. Tout était vraiment délabré, on avait vraiment laissé cet endroit dans un sale état. Dans le bâtiment, il devenait de plus en plus dure de les suivre discrètement.

Shikamaru : On devrais passer par l'extérieur. Si c'est une chambre, il y a certainement une fenêtre.

On suivit son plan et effectivement, on trouva enfin la chambre dite. Mon fils y était présent et bien en vis. Enfin, si on oublie le pistolet sur son front. Alors que je comptais intervenir, Shikamaru m'arrêta. Il ouvrit discrètement la porte pour qu'on puisse entendre.

Shen: Une dernière volonté ?

Boruto : Non, juste une question.

Shen: Encore ?

Boruto : Tu étais qui avant ?

Je m'attendais vraiment à tout les questions sauf à ça.

Shen: Avant quoi ?

Boruto : Avant de devenir un psychopathe à la gâchette facile ?

Shen: Pourquoi tu me demande ça ?

Boruto: Tu disais que tu sortais avec Sumire, non ?

Shen: Et alors ?

Le garçon commençait à s'énerver.

Boruto : Alors vu son caractère, si tu te comportais comme ça à l'époque elle t'aurais dégagé.

Shen : On a suffisamment perdut de temps.

???: Shen arrête ! 

Shen et Boruto : Sumire ?!

Une jeune fille aux cheveux violets entra dans la pièce.

PDV Sumire

Sumire: Ne tire pas !

Shen: Tu le défend encore ? C'est le fils du Hokage !

Sumire : Je me fiche de savoir à qu'elle famille il appartient où même qui il est. Mais si tu fait ça, tu fous t'as vie en l'air.

Shen : Mais qu'elle vie ?!

Sumire : Shen, comment a tu pus aussi mal tourner ? Je t'aimais, ça j'en suis sûr, mais aujourd'hui, tu me fais peur.

Shen: Et alors ?! Depuis quand tuer te dérange ? Tu as voulue faire, un attenta !

Boruto: C'est vrais Sumire ?

Oui, c'était vraie. C'était encore vague dans ma tête, mais je me souvenais avoir ressenti une rage et une frustration folle.

Sumire : ...Oui...

Je n'osais pas le regarder dans les yeux.

Boruto : Le passé c'est le passé, il n'y a que l'instant présent qui compte.

Des larmes coulèrent sur mes joues, cette fois, je le regardai, mes joues s'empourprèrent. Je me sentis bizarrement timide.

Sumire : Shen, liber le.

Shen se mit soudain dans une rage noir. Alors qu'il s'apprêtait a appuyer sur la détente, Boruto se libéra de ses cordes et fie valser le pistolet.
Je me précipitain sur Shen. S'en suivie un déluge de coup. Mais Shen était plus fort que moi, pendant que j'oubliais, lui, il apprenait, il avait une longueur d'avance. Heureusement, Thaïs et Boruto ne restèrent pas bras croiser et m'aidèrent a le neutraliser. Thaïs lui passa immédiatement les cordes au poignet.

Boruto: Les cordes trop grosses sont facile à défaire. Tu aurais du le savoir Shen.

Je me précipitai, immédiatement sur Boruto et s'en qu'il comprenne ce qui lui arrivait, je pressai mes lèvres contre les siennes. Je voulais à tout prix vérifier la théorie de Chocho. Il y répondit immédiatement. Au fur et à mesure que le baiser s'intensifiait, mes souvenirs revenais, pas ceux du passé, pas ceux de mes amis, juste ceux de lui et moi, ensemble. Le parc, notre premier baiser, notre première fois et de nombreux autres.

Sumire : Je suis tellement désolé.

Boruto me serra fort contre lui.

Boruto: C'est rien. Tu...tu te souviens ?

Sumire : Oui. Par son pour tout.

Boruto: Ne t'inquiète pas, tout va bien. Par contre, ne t'avis plus jamais de me tromper.

Un détail me revint en tête et je ne pue m'empêcher de le gifler.

Sumire : C'est toi qui m'as trompé avec ton ex.

Sarada et Boruto se regardèrent surpris.

Sumire : Des que j'ai disparu vous avez commencé à vous bécotez ! J'ai vu des photos !

Les deux s'échangèrent un regard gêné.

Boruto: Oui je l'ai embrassé, mais c'est parce que sinon les pompiers me demandaient de dégager. J'ai fait sa pour toi.

Je me sentait vraiment bête. Tous ça pour ça ? Finalement, c'était assez décevant.

Sumire: Je...je suis désolé.

Boruto me reprit de nouveau dans ses bras puis me chuchota à l'oreille.

Boruto : On se sépare plus.

Sumire : Promis.

Denki: Je ne veux rien interrompre, mais on est portés disparu.

Sarada : J'appelle les autorités, ensuite on rentre.

Une semaine après :
C'était vraiment bizarre, comme si rien n'avait changé. Les autres enfants de la racine avaient été emmenés dans un centre spécialisé où ils seraient réinsérer dans la civilisation petit à petit.
Quand à nous, on avait juste repris les cours, comme si de rien n'était. Le seul changement était que je vivais de nouveau chez les Uzumaki, je dormais avec Boruto. J'avais commencé à parler avec sa mère et sa sœur, les deux étaient vraiment gentils. Mais alors que je pensai que tout allait désormais bien se passé, que je pourrais enfin vivre une vie normale. Le père de Boruto nous fit une annonce qui risquait vraiment de tout changer.

[Boruto x Sumire] Toujours se même regard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant