Holidays [Meanie]

Chapitre 14

J'approche ma main de la sienne...

Nos mains ne sont plus qu'a quelques centimètres l'une de l'autre.

Je sens quand même une chose bizarre... comme si on venait d'entrer dans mon espace vital et moi dans celui d'une autre personne.

Je ne peux pas...

J'essaye de respirer le plus que je peux.

Mais... je retire ma main alors qu'elles étaient sur le point de se toucher.

Je verse une larme, puis deux, puis une cascade s'écoule de mes yeux...

-Wonwoo, ne pleure pas, ce n'est pas grave tu sais. Rien que le fait que tu es essayé me rend heureux.

Il me regarde avec un grand sourire que je ne peux malheureusement pas lui rendre. Je me sens tellement nul.

Malgré tout ça il a réussi à me redonner le sourire. C'est peut-être une de ses plus grandes qualités.

Je suis vraiment une autre personne avec lui. Je suis juste heureux. Je ne sais pas vraiment pourquoi lui, mais je l'aime... j'en suis sûre. Mon cœur bat trop fort chaque fois que je le voix, j'ai des papillons dans le ventre et c'est comme si plus rien n'exister... juste lui et moi.

À ma grande déception, le repas se termine. Il est malheureusement temps pour lui de retourner dans sa chambre, se qu'il fait.

Je me m'installe dans mon lit et ferme les yeux. Impossible de trouver le sommeille. Je n'arrête pas de penser à lui, à son magnifique sourire qui fait naître le miens.

Au bout d'une heure je me lève et décide d'aller toquer à la porte de sa chambre. Il ouvre la porte rapidement et je remarque qu'il a l'aire surpris mais heureux de me voir.

-Mingyu... la vérité c'est que... je n'arrive pas à te sortir de ma tête. Je ne pense qu'à toi et à la nuit tellement agréable d'hier. Bref, je voulais savoir si il y avait un peu de place pour moi dans ton lit...

-Wonwoo sache qu'il y aura toujours de la place pour toi.

Je rentre timidement et me rend compte petit à petit de ce que je viens de faire.
Il me fait signe de m'allonger à côté de lui, ce que je fit.

On est tout les deux allonger sur le dos, nos bras le long de notre corps.

Je prend une inspiration et dirige doucement sa main vers la sienne.
Je viens d'entrer dans son espace vital mais ce n'est pas comme ce matin je ne me sens pas si mal.

Ma main prend la sienne...