Chapitre 18 - Vieux copains

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◇◇◇

   Pendant le chemin vers la maison de Klaus, Marcel m'a fait un débrief. Il m'a expliquer qu'il était née esclave, étant donner que ses parents biologiques l'étaient aussi. Klaus avait vue en lui du potentiel et il l'avait sauvé du monde dans lequel il vivant. Il lui a permis d'avoir un toit et de recevoir l'éducation qu'il méritait. Lorsque Marcel m'en a parler, cela ne m'à pas vraiment surprise.

« Tu ne semble pas surprise qu'il ai fait ça. » M'avoua Marcel, ce qui démontra qu'il savait bien analyser les réactions des gens.

Je secoua négativement la tête, puis répondu: « Non, je connais Klaus mieux que personne et je sais qui il est vraiment. Je me doute bien que parce qu'il est colérique et orgueilleux, ils a créer plus de problèmes qu'il n'en a résolu en 2000 ans. »

Marcel me regarda légèrement puis il me demanda: « Comment était-il humain ? »

Je me replongea dans mes souvenirs afin de pouvoir lui répondre. Parfois quand je repense a ma vie d'humaine, je n'arrive plus à me rappeler certains détails. Mais les moments les plus forts et le plus durs ont fait en sorte que je m'en rappelle très clairement. Mais puisque Klaus était de loin l'ami que j'avais de plus proche, je me souviens d'énormément de souvenir avec lui. Il est celui qui m'as appris à manier une épée, même si à l'époque ce n'étais pas enseigner aux femmes. Ils étaient très sexiste autrefois, beaucoup plus qu'aujourd'hui.

« Klaus a été à la fois mon meilleur ami et l'autre mon ennemi. » Je fis une pose afin de chercher comment j'allais formuler ma phrase, puis je poursuivis: « Je n'ai jamais voulu d'une vie éternelle, j'étais déjà bien avec seulement ma vie d'avant. Mais Niklaus voulait que nous soyons à jamais les meilleurs partenaires de crimes, il a refuser laisser mourir sa plus chère amie. Il a toujours été aimant à sa manière et il s'est montré protecteur envers sa famille. À vrai dire il essayait vraiment d'être un homme bon pour son père. »

Nous sommes ensuite arriver devant une grande maison entièrement de pierre et de briques. Des plantes poussaient le long des murs, de la base jusqu'au toit. Marcel m'amène vers une grande porte tout en bois faisant environ deux mètres. Je tendis l'oreille et grâce à ma super ouïe de vampire je réussi à entendre les coups de pinceau fait sur une toile. La plupart des vampires et loup-garou ne peuvent réussir à entendre ce genre de choses, mais puisque je suis une des plus vieilles créatures au monde cela m'est très facile.

« Je ne sais pas si il est là. » Avoua Marcel.

Je souris légèrement, puis lui répondu: « Il est en train de peinturer à l'étage. »

Marcel me regarda surpris, mais il garda ses questions pour lui et poursuivis: « Dans ce cas, entrons. »

Mon visage fut déformé par le plus gros sourire inimaginable. Le jeune vampire m'ouvrit la porte et à l'étage j'entendis les pas de Klaus se rapprocher.

Lorsqu'il fut rendu suffisamment près pour que l'on puisse l'entendre, Klaus demanda: « Marcel, raconte-moi, est-ce que mes peintures ont étés célèbres ce soir? »

Il descendu les escaliers et je m'approchai davantage alors que Marcel resta en retrait. Je ne peux décrire l'expression que Niklaus fut lorsqu'il aperçu mon visage. Le mieux que je puisse dire, c'est qu'il était surpris, heureux et quelques peu sceptique à la fois.

« Je t'ai manquer, Niklaus? » Demandais-je.

Puis un énorme sourire apparu sur son visage et à la vitesse vampirique, il s'approcha de moi.

« Tu es réelle? » Demanda-t-il.

J'hocha doucement la tête, puis il me pris dans ses bras si fort que je pu entendre mes os craqués.

« Pas si fort, Klaus. » Ricanais-je.

Il s'excusa puis m'écarta et lança un regard à Marcel, l'air de dire: « Laisse nous seuls. »

Ce que celui-ci compris à la perfection puisqu'il s'éclipsa rapidement. Lorsque Marcel ne fut plus dans notre champ de vision, Klaus me demanda: « Comment es-tu là, Esther m'a dit que tu étais morte? »

Je roula des yeux.

« Elle n'en manque pas une seule pour vous faire souffrir celle-là. » Commençais-je, puis je poursuivis: « Elle en avait l'intention, mais elle n'a pas réussi à me tuer, je suis littéralement intuable. Alors évidemment, puisqu'elle aimait bien se comporter comme Dieu et qu'elle adorait contrôler tout, elle a créer un monde prison où elle m'y a enfermer. Un monde prison parallèle au votre, alors j'ai vue le monde évoluer. La seule différence c'est que j'étais seule. Sans humain avec pour seule compagnie, les esprits des descendants d'Esther. »

Durant tout mon monologue, Niklaus me regarda sincèrement attristé.

« Si j'aurais su, j'aurais fait tout mon possible pour venir te libérer. De tous les originels, tu es celle qui méritais le moins ce traitement. » Me dit-il en détournant les yeux.

Pendant mes recherches pour trouver Klaus, j'ai entendu dire beaucoup de choses sur lui. Que c'était un monstre sanguinaire, qu'il était incapable d'aimer, de ressentir autre chose que de la haine. Mais j'ai refuser de croire toutes ces rumeurs, car je connais vraiment Klaus et celui que je connais n'est pas du tout comme ce que les gens pouvaient dire. Klaus est revengeur, si tu le blesse ou le trahis, il te punira. Les vikings fonctionnaient tous comme ça.

Je posa mes mains sur ses épaules pour attirer son attention et de mon visage, je chercha à avoir un contact avec ses yeux.

« C'est pour ça qu'elle t'as dit que j'étais morte. » Dis-je simplement, puis je poursuivis: « Écoute moi Klaus, je sais à quoi tu pense et c'est complètement faux. Ce n'est pas de ta faute et tu n'as pas à t'en vouloir pour quoi que ce soit. »

Les yeux bleu de Niklaus croisèrent les miens et je pu y lire que je lui ait vraiment manquer.

Je lui souris et le pris à nouveau dans mes bras.

« Tu m'as manquer aussi. » Avouais-je.

Il resserra ses bras autour de ma taille un peu plus fort, posa sa tête dans mon cou puis il huma mon odeur.

À ce moment précis, je me fis la promesse de ne plus jamais abandonner Klaus et de le protéger. Et ce à n'importe quel prix.

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1040 mots

Jail ◇ Kai Parker Où les histoires vivent. Découvrez maintenant