Kate : Nous avons été appelés par des ouvriers. Ils nous on dit qu’une adolescente s’amusait à courir dans la mine désaffectée où ils avaient un chantier. L’une de nos équipe est donc intervenue. Nous avons trouvé Kate dans le coin d’une salle sombre. Elle s’est directement cachée lorsque nous avons pointé nos lampes torches sur elle. Puis elle s’est enfuie en courant et a fini par se jeter sur l’un des médecins. Elle lui a rompu la nuque bien trop facilement. L’autre médecin sur place lui a injecté une forte dose de tranquillisants et c’est de cette manière qu’il a pu la ramener.
James Smiley : Un autre dénoncé par un mystérieux inconnu. On nous a donné l’adresse de l’appartement dans lequel il « s’occupait » de ses patients. Nous l’avons trouvé sur place en train de nettoyer son matériel.
Ann Lusen Mia : Elle aussi a été dénoncée par un appel anonyme. Nous l’avons trouvée dans un hôpital auquel elle n’appartenait bien évidemment pas, elle venait d’arracher le cœur d’un des patients.
Jeffrey Woods : Le dernier à avoir été dénoncé par ce mystérieux inconnu. Nous ne pouvons nous empêcher de nous demander quelle est l’identité de cette personne. Toujours est il que nous avons trouvé Jeff dans une boutique de miroirs. Oui. De miroirs. Il répétait en boucle « Mais quelle beauté ! » -encore une fois, tout est relatif mon cher Jeff. Tu es en effet aussi beau qu’un blob fish en décomposition.-.
Nina Hopkins : Elle est arrivée devant les portes de l’hôpital peu de temps après l’arrivée de Jeff. Elle chantait -en hurlant d’une manière bien plus que fausse- « MON JEFFROUNET D’AMOUR NOUS SOMMES ENFIN RÉUNIS !!! KYAAAA~ » (Note : Qui peut la supporter sincèrement.)
Tomb Shaker : Pour ce qui est de Tom, il est arrivé ici un peu plus de deux ans après Tim. Comme je l’ai dit précédemment, avant d’arriver ici, il était retenu en prison. Ils ont réussi à l’arrêter alors qu’il remontait une grande rue armé de deux katanas, tuant toutes les personnes qu’il croisait, riant et chantant. Les policiers ont eu beaucoup de mal à l’attraper vivant et c’est pour cette raison qu’ils lui ont tiré dans le @#$!*. Il ne devrait pas @!%$/ #$-€(^ =÷ !^*.
C’est ainsi que la police a réussi à mettre la main sur lui. Il a passé quelques mois en prison. C’est à partir de ce moment qu’il a arrêté de dormir. Il passait son temps à chanter la même mélodie, jamais aucune parole par dessus, comme un oiseau en cage. Ses bras étaient déjà marqués de plaies plus profondes les unes que les autres mais recousues à chaque fois. Il a commencé à se mutiler avec les couverts. Ils lui ont supprimés. Il a recommencé avec le peigne. Ils lui ont supprimé. Il a finalement réussi à s’ouvrir les veines avec ses ongles. On nous l’a envoyé.