Justin et compagnie

Un weekend inoubliable

On était en avril. Les beaux jours revenaient et je jouais tranquillement avec mon frère à la console dans notre chambre. En rentrent de l'école, maman m'avait changé et avait mis une couche à Maxime. En effet, depuis quelques temps, il aimait en mettre de temps à autre à la maison. Ca ne dérangeait pas ma mère.

Comme il faisait beau, nous étions juste en couche et en tee-shirt. A un
moment, tandis que, par hasard, je regardais l'entrejambe de Maxime, je vis celui-ci devenir jaune. Il se laissait aller dans sa couche. Quand il vit que je le regardais, il me fit un sourire que je lui rendis. A l'école, les choses se passaient assez bien. Tant pour nos résultats scolaires que pour notre vie sociale. Personne ne se souciait de mon problème et personne ne relevait le mutisme de Maxime. Il
n'y avait que Frédérique qui avait tantôt l'une ou l'autre remarque due à son comportement qui pouvait être un peu violent.

A table, maman nous proposa quelque chose d'intéressant :

-Avec le travail, on me propose un week-end au Disneyland de Paris, est-ce que cela vous dit ?

Il va de soi que la réponse était oui. Nous étions tout en joie et commencions à parler de ce que l'on pourrait y faire. En fait, maman s'était déjà arrangée. Elle avait aussi demandé à Frédérique et à sa mère de nous accompagner. Frédérique qui venait d'ailleurs nous rejoindre pour le dessert. Elle était habillée en pyjama et, visiblement, en couche.

-T'es déjà en pyjama ?

C'est sa mère qui me répondit :

-Ben oui, il y a eu une fuite dans le jardin, dit-elle avec un petit sourire qui eut l'air de gêner mon amie.
-T'as encore pissé dans tes fringues ?
-J'ai pas pu me retenir.
-En fait, on faisait barbecue dans le jardin et ça faisait dix minutes qu'elle dansait sur sa chaise. Je lui avait bien dit d'aller aux toilettes mais...
-Je pensais que je pouvais encore attendre.
-Oui et elle a mouillé sa petite culotte et son jeans comme un bébé. Alors je lui ai mis son pyjama et une couche.
-Bah ne t'inquiète pas, Maxime et moi en avons une nous aussi.
-Oui, dit ma mère, et je pense bien, à l'odeur, qu'un de vous n'a pas fait que la mouiller.

A ce moment, Maxime devient rouge comme une tomate.

-Oh, ne t'inquiète pas bonhomme, dit ma mère, si on vous met des couches, on s'attend à ce que vous les salissiez. Allez viens, je vais aller te changer. Justin, viens je vais changer ta couche aussi, elle me semble bien jaune.

En effet, pendant le repas, j'avais senti que je me mouillais. En haut, maman commença par Maxime.

Il se coucha sur le lit et elle dégrafa l'avant de sa couche. Il ne s'était pas râté. C'était remonté jusque son zizi.

-Eh bien, tu n'as pas fait semblant.

Elle entreprit de le nettoyer d'abord avec l'avant de la couche avant de terminer au papier wc et aux lingettes. Ensuite, quand il fut propre comme un sou neuf, elle lui remit une tena maxi small et le renvoya en bas.

-A ton tour, me dit-elle.

Le travail fut plus vite fait parce que je n'avais fait que pipi.

On jouait tranquillement à la console . J'étais assis à côté de Frédérique qui se dandinait de temps en temps.

-Si tu dois encore faire pipi, pas de problème, tu as une couche, lui dis-je.
-Oui, je sais.

Je la vis se détendre et j'entendis un bruit suspect.

-Oh. Toi, tu n'as pas fait que pipi...
-Je devais faire. Ca fait vraiment bizarre de faire caca.

C'est vrai que, d'aussi loin que je me souvienne, Frédérique n'avait jamais fait caca dans sa couche ou dans sa culotte sauf peut-être quelques accidents quand nous étions tout petits.