Je m'étais levée, pour prendre de l'eau, la bouteille était trop loin, en y repensant, je dois remercier cet accident, grâce à lui je peux restructurer mon plan, pour qu'il marche mieux.
Certes sa me fait de la peine d'avoir perdu une amie, ma seule amie à qui je parle en qui elle me faisait confiance, j'ai tellement honte, honte d'avoir survécu à cet accident, honte de me laisser faire par des cons, honte que mon fils ne soit plus vivant. Honte de tout.
Une goutte viens traverse ma joue, sans mont rendre compte, ma vie s'était transformée à ça, je me demande si c'était une bonne idée mon plan, après tout j'ai plus aucune force, plus rien, j'ai tout perdu, j'ai perdu mes valeurs, moi même.
Je pars me poser dans une chaise dans mon balcon à regardé les milles étoiles qui brillait la haut, Mohammed je sais que tu me regarde, je le sens, je le ferais pour toi, pour nous, pour tout le monde.
Face à ces paroles je n'ai pas pu m'en pêcher d'éclater en sanglot, s'en était trop pour moi, j'en avais marre, marre de vivre ça, je ne sers plus à rien dans ce bas monde, si je ne serais plus là qui sens soucierait, qui ?
J'étais une œuvre d'art, une stupide œuvre d'art, rempli de bleu, une mémoire perdu, ma vie était tellement parfaite avant, je ne demande que sa, revivre mon ancienne vie, la ou je devais partir a Miami avec Sonia, celle en qui j'avais confiance, celle qui m'a trahis, sa propose meilleure amies, j'aurais était à sa place, jamais au grand jamais je n'aurais était capable de faire ça, jamais.
Que je m'en prenne des coups, jamais je l'aurait trahis.
C'est marrent, tout le monde joue des rôles avec moi vous avez pas remarquer ? Mon frère, fin je veux dire mon cousin, ma mère, ma propre mère, mon beau père, ma sœur, alors elle.
Elle, je sais même pas quels mots utiliser pour la décrire, c'est un cas cette fille, depuis le début elle n'a jamais adressé la parole que se soit moi ou vous mes chères lecteurs, ce n'est plus ma sœur cette fille, a vrais dire j'ai même oublié son prénom, cet fille est un inconnue.
Franchement, que dire, j'aimerais bien recommencer ma vie, sauf que année âpre année j'ai plus de patience, si c'est pour que cela se termine ainsi ce n'est même pas la peine.
Je me lève de ma chaise, le regard vide, en company chaque étoile, j'ai cru entendre la voix de Mohammed, son image m'est apparus à la tête, j'ai voulu sauter du balcon, pour en finir, en finir avec ce calvère, je ne suis pas suicidaire, mais je n'en peut plus.
Je ci tire les barres qui était en face d emoji qui m'empêcher d'avancer, voilà, j'étais là, tout se jouait d'une minute a l'autre.
Je saute ou pas ? Tic tac tic tac
Ma vision commençais à devenir flou, tellement que je pleurais j'ai commencé à ne plus rien voir, je n'avais même pas remarquer que je pleurais depuis tout à l'heure, je suis entrain de faire une crise d'angoisse.
J'ai levé le premier pied, mon pied était en l'air, quel belle sensation de sentir l'air claqué contre ma peau, j'ai voulu faire pareil du deuxième pied quand une voix me coupe de mes pensée.
: EH MAIS TES COMPLÈTEMENT FOLLE !
J'ouvre les yeux et me laisse tomber, sentir cet air s'accélérait sur mon corps sa m'avait donné de nouvelle sensation, je n'attendais juste une seule que mon corps s'écrase sur la route, pour en finir, finir cet souffrance que j'ai du combler tant d'années.
Jai meme moment j'ai cru apercevoir le jeune homme me regarder avec surprise, il ne s'attendait pas que je saute pour de vrais, j'ai entendu des pars courir vers moi, mais c'était trop tard.
J'ai senti une douleur immense dans ma tête, sayez je suis enfin libre, libre de cet enfers, j'aperçois une lumière blanche, en avançant de plus en plus j'aperçois Mohammed, mon bébé, le vrais Mohammed, je n'ai pas pu d'éclater en sanglot, tellement heureuse de le retrouver.
Mohammed: Maman, pourquoi ta fais ça ? moi: Jen avais marre, j'en peut plus. Mohammed: Maman, tu ne peut pas me toucher, je suis toujours là, je te regarde de la haut, bats toi ! Bats toi, ce n'est pas finis, pas maintenant. moi: Mohammed ? MOHAMMED !
Je criais de plus en plus fort, je voyais sa petite silhouette disparaître de plus en plus, non ce n'est pas possible, c'est bel et bien terminé, je ne peut pas vivre, pas après avoir fais ça.
Naïla: Selem ma beauté moi: Naïla ? NAÏLA ! Naïla; Heureuse de te revoir, Mohammed ma dit que tu voulais le rejoindre c'est vrais ? moi: Oui, écoute comprend moi. Naïla: Écoute moi, tu as eu la chance de survivre dans cet accident, Dieu ta donné une deuxième chance, faut la sesir, tu vas le regretter amèrement. moi: Naïla: Lève toi, montre leur que tu as changé, devenu une femme forte, éloigné toi d'eux, ils ne t'apporter que des problèmes, écoute moi. moi: Non, non non ! Ce que tu dis es faux ! Je n'en peut plus de cette vie ! Laisse moi avec Mohammed ! *larmes au yeux* JE VEUX REVOIR MON BÉBÉ ! POURQUOI TU ME FAIS ÇA ! POURQUOI !!
J'étais carrément en pleur, j'en pouvais plus, fatigué de cet histoire, je veux monte au ciel, être au paradis, je ne demande que ça.
La silhouette s'éloigne de plus en plus, jusqu'à disparaître.
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