Début Juin, c'est la demi-finale.
Après l'agression de ma copine j'ai encore renforcé la sécurité.
Elle était restée 4 jours à l'hôpital, j'avais du la laisser pour partir à ma prochaine destination, elle m'a rejoint un peu plus tard.Ça m'a tué de l'abandonner mais je lui ai fait une promesse que je tiendrais jusqu'au bout.
Un préparateur que m'a trouvé son père la remplace depuis, je sais que ça la frustre mais je ne peux pas la faire travailler.
Dorénavant elle m'accompagne partout, tout le temps.Quand je quitte le vestiaire pour entrer dans l'arène elle est à mon bras.
Pourquoi ? Et bien nous avons découvert que c'est une groupie qui lui a fait ça.
Cette barge était obsédée par moi, c'est aussi elle qui lui envoyait les lettres de menace.Certaines personnes sont complètement malade .
Les journaux ont titrés un bon mois sur son agression, les vrais fans lui offraient des petits cadeaux.
Ça nous a fait du bien tout ce soutient...
- Laisse moi te masser ronchonna Addi
- Bébé... T'es encore en convalescence repondis-je.
- Pas de massage, pas de travail, pas de sexe acheve moi tout de suite qu'on en finisse rala-t-elle.
Ouais... J'ai peur que sa blessure s'ouvre du coup je nous ai privés de sexe et croyez moins c'est une torture.
- Moi aussi je suis frustré repondis-je, mais ta blessure est trop fraîche, on doit éviter qu'elle s'ouvre.
Elle me lance un regard noir.
- Suffit que ce soit moi qui te chevauche repond-elle.
- On est ravi d'entendre ces détails sur l'absence de relations sexuelles dit coach, mais la c'est l'heure.
Je me lève et attrape la nuque de ma copine .
- Ce soir bébé d'accord ?
- Hmm repond-elle.
- Combien pour que t'arrêtes de ronchonner ? Demandais-je.
- 3 repond-elle.
4 combats ce soir...
Quand l'arbitre lève mes mains lors de ma dernière victoire j'hurle ma joie
Le public est en délire.
Mes fans sont survoltés.
C'était la dernière étape avant la finale !
Je saute du ring et soulève Addi.
- C'est grâce à elle criais-je au public.
J'en suis la grâce à elle !Mes fans scandent son nom.
Je suis fier.
Fier de ce que j'ai accompli, fier d'addi, fier qu'elle partage ma vie bordel.
Après 2 interviews je rentre à l'hôtel.
Raven a organisé une petite fête dans ma suite.
Ok je suis euphorique mais je voulais fêter cette victoire avec ma femme.Je signe des autographes, prend des photos, je ne lache pas ma copine.
Elle est assise sur mes genoux, son cul sur ma queue.
A chaque fois qu'elle bouge ma bite durcit.Elle s'en rend bien compte...
- Si tu continues je vais te baiser à t'en faire mal Addi la previns-je.
Elle me jette un regard en coin et se tortille.
Je lui lèche la nuque, elle se tourne et finit à califourchon sur moi.
Elle me mordille l'oreille, ça me rend dingue quand elle fait ça.Je gémis, plus rien existe autour de nous.
J'empoigne ses hanches et la fait aller et venir sur ma queue.- Tu mouilles ? Gemis-je.
- Je suis trempée repond-elle.
Vous venez de me perdre.
Je la porte et nous dirige vers notre chambre... qui est occupée.
Je réglerai ça plus tard.
Je nous fais entrer dans la salle de bain, je la pose au sol.
Pas le temps !
Je descends mon survêt et mon caleçon.
Je la tourne face au miroir et pose ses mains sur le lavabo.Je lui retire remonte sa jupe, décale son string.
Je me place et la penetre d'un grand coup de reins.Elle crit et bascule vers l'avant.
Je ne lui laisse aucun répit, presque 2 mois sans la baiser.Je regarde son visage, elle a les yeux fermés, la bouche grande ouverte.
Elle est putain de bandante.
- Tiens toi bien lui dis-je, tu m'as trop cherché.
Elle se cramponne a l'évier et j'accélère.
Je sais que je lui fais mal mais je vois qu'elle en prend du plaisir.- J'en peux plus gemit-elle.
- Vas y bébé criais-je.
Je ne quitte pas le miroir des yeux et je la vois jouir.
Ça me fait exploser à mon tour.Je m'effondre sur son dos.
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Le combat de mon coeur
ActionAvec un prénom comme le mien mon avenir était déjà tracé. On m'a toujours poussé a être le meilleur, donner mon maximum. J'ai combattu pour toutes sortes de raisons, ma famille, la gloire, l'honneur, l'argent. Cette fois c'est différent, je dois c...