Le combat de mon coeur

Chapitre 30 Tyson

Des que nous entrons au resto je vois les regards se poser sur nous, surtout sur ma copine.
Faut avouer qu'elle est canon et cette robe... J'ai hâte de la lui arracher.

Au début ça me rendait fou quand on la matait et puis j'ai fini par faire abstraction.
Je suis toujours autant jaloux hein, mais disons que quand ça de limite aux regards je ne pète plus un câble.

Le serveur nous dirige vers le coin privé à l'étage, des qu'il ouvre j'entends crier " Surprise ".

Mon père,  ma mère,  mon neveu,  mon frère,  ma sœur et mon staff sont présents.

Je me tourne vers Addi le sourire aux lèvres et m'empare de sa bouche.

J'ai vraiment la meilleur petite-amie au monde.

Je me détache d'elle et vais saluer tout le monde.

Nous passons vite à table.

Toutes les personnes les plus importante pour moi sont réunis.
Ça me fait oublier le problème qu'on a du gérer un peu plus tôt.

Je regarde beaucoup Addi pendant la soirée,  je suis fou de cette fille.
C'est bientôt la fin de la saison et je vous avoue que ça craint.
Etre avec elle 24/24 7j/7 et devoir ensuite la laisser partir, reprendre sa vie et se voir que de temps en temps... Je ne pourrais pas m'y faire.

Je suis déjà en train d'envisager de vivre avec elle, oui c'est tot mais c'est ce qu'on fait depuis plusieurs mois déjà... Et professionnellement lui proposer un renouvellement de contrat pour au moins 2 saisons.

Je ne peux plus vivre sans elle, faut bien trouver des solutions.

Ma mère annonce que c'est le moment des cadeaux.

Je les ouvre les uns après les autres ravi de ce qui m'a été offert.
Mon frère me tend un paquet qu'il me conseille de ne pas ouvrir devant les parents, je ris imaginant ce qu'il a offert.

Quand j'ouvre le paquet d'addi je saute d'un bond de ma place,  réalisant à peine.

- Comment tu l'as eu ? Criais-je.

- Mon père m'a mis en relation avec son fils dit-elle, au début il ne voulait pas et quand il a su que c'était pour toi il a fini par me les vendre.

Bordel de merde !!!!

- Oh putain t'es là meilleure !!!

Quand nous rentrons je me déshabille et m'allonge sur le lit en caleçon pour contempler les gants... Bordel je suis trop content.

Addi sort de la salle de bains, mes yeux passent d'elle aux gants 2 ou 3 fois... Son ensemble en dentelle l'emporte.

- Approche lui dis-je.

- Pas d'ordre ce soir repond-elle, tu vas te contenter d'apprécier ce que je vais te donner.

J'hausse un  sourcil.

Elle s'approche du lit et monte dessus.
Elle avance à 4 pattes entre mes jambes écartées.

Je pose la boite sur la table de nuit et la saisie par la taille.
Elle se dégage de mes mains et s'agenouille devant ma queue déjà dressée.

2 pipes dans la même journée ?

Elle descend mon caleçon et saisis ma bite.
Je pose un deuxième coussin sous ma tête pour admirer le spectacle.

Elle la lèche, comme une glace.
Je serre déjà les dents,  Addi fait les meilleurs pipes au monde.

Quand elle me prend enfin en bouche je manque de jouir.
Sentir et la voir faire vont avoir raison de moi.

Elle suce, lèche,  empoigne mes couilles.

- Oh bordelll gemis-je.

Elle suce plus profondément en creusant les joues.

- Bebe je vais venir si tu continues la previns-je.

Elle retire sa bouche, se met à califourchon sur moi, enlève son string et son soutiens gorge et se la met.

- MERDE ! hurlais-je.

Ses mains sur mon torse elle y va franchement.
Mes mains sur sa taille je l'aide a y aller plus vite encore.

- Oui, oui, oui, putain oui criais-je.

Elle gémit plus fort, ses fesses claquent fort contre mes cuisses.

C'est complètement dément.

Je perds le peu de maîtrise qu'il me restait.
Je la retourne et la pilonne sec.
Je lui démonte la chatte.

Elle crie,  la sueur perle sur nos corps.

- Encore cria-t-elle, plus fort.

Je m'exécute,  lui donne tout ce que j'ai.
Ses hanches  m'accompagnent.

Je peux plus, je tiens plus.

- J'y suis haletais-je.

- Moi aussi repond-elle.

Je la vois éclater peu après et je la suis.

- Bordel bébé,  je veux la même chose à chaque anniversaire haletais-je les tete posee sur ses seins.

- La nuit n'est pas terminée repond-elle.

Un putain de chanceux, voilà ce que je suis.