Chapitre 17 Tyson

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Je me prépare sous les conseils de Raven.
C'est à croire qu'il est encore plus impliqué que moi.

En fait ils ont tous parus soulagés quand je leur ai dit que Addi et moi sortions ce soir.

Ma discussion avec Maria m'a poussé à prendre une décision.
En fait le choix était clair, faire une croix sur une possible histoire avec une nana géniale ou prendre le risque de souffrir.

J'ai beaucoup réfléchit, j'en suis arrivé a la conclusion qu'Addi n'était pas Melissa... Que toutes n'étaient pas aussi mauvaise et qu'avec Addi j'aurais peut-être enfin mon Happy-end.

Elle me pousse à être encore meilleure,  elle me réconfortante.
En fait elle est comme ces femmes qui poussent leur hommes à réaliser leur rêve.

Quel homme censé passerait à côté ?

- Ah et à la fin de votre rendez-vous,  tu la raccompagnes devant sa chambre dit Raven.
Tu n'entres pas ! Pas de sexe pigé ?

- Tu me prends vraiment pour un débile ? Repondis-je.
Je sais encore comment ça se déroule.

- Je préfère être sûr que tu ne gâches rien, on est tous à fond derrière le couple Tyaddi dit-il.
Tu sais comme les Brangelina et ces trucs là, c'est Maria qui a trouvée ce nom.

- Merde ricanais-je,  vous êtes dingue.

- Mec,  on est juste heureux pour toi, Addi te fait un bien fou repond-il.

Ouais, c'est vrai, elle a une vraie emprise sur mes humeurs et ce n'est pas négatif.
Elle ne s'en sert que pour me détendre ou me calmer.

- Allez, t'es beau mon petit,  tu peux y aller.

Je lui lance un regard noir et récupère les clés de la voiture de location.


Je frappe à sa porte et inspire un bon coup.
Merde je me revois à l'adolescence.

Quand elle ouvre je reste bouche bée...

Elle a les cheveux relâchée,  c'est la première fois que je les vois comme ça...

Je baisse les yeux sur sa tenue, une robe blanche sans Manche qui moule ses seins... elle lui arrive aux cuisses et est ouverte sur le côté.

Putain et je dois rester sage ?

Elle passe devant moi en me tirant vers l'ascenseur.

- Dépêche Maria veut nous prendre en photo dit-elle.
Je la suis machinalement,  perdu dans ma contemplation.

Une fois dans l'ascenseur elle me regarde enfin.

- Ça te va très bien les chemises dit-elle.

A son regard je comprends que je ne suis pas le seul à être excité.

Je la complimente sur sa tenue à mon tour.



Le reste de la soirée se passe de manière détendue,  on mange bien,  parle bien et surtout on rit beaucoup.

On se découvre mutuellement tels qu'on est vraiment.
Il n'y a pas de fossoyeur ni de préparatrice sportive.
C'est Addison et Tyson,  putain que ça fait du bien.

J'ai éternisé la soirée,  je n'avais aucune envie qu'elle prenne fin.
Jusqu'a ce qu'elle me rappelle que j'entrais dans l'arène demain.

On a fini par revenir a l'hôtel vers 1 heure du matin.

Je la raccompagne jusqu'à sa chambre.

- Je te remercie pour cette soirée dit-elle,  c'était parfait.

Elle est adossée à la porte et je suis face à elle les mains dans les poches pour éviter de faire une connerie.

- C'était super confirmais-je.

On se fixe du regard et putain faut que je parte avant de deconner.

- Je vais monter dis-je,  bonne nuit Addi.

Elle m'attrape par la manche de ma chemise et m'approche d'elle.

Une fois devant elle,  elle pose une main sur ma joue et approche son visage.

J'approche les miens de effleure ses lèvres des miennes, avec la langue elle lèche ma lèvre inférieur et je deviens fou.

J'emprisonne sa langue entre mes lèvres et la pousse contre la porte.
Ma langue rejoint la sienne point une danse endiablée et mes mains caressent ses cuisses.

Elle crochete les siennes à mon cou et je lui dévore la bouche, littéralement.

C'est sauvage, intense.

Ce baiser me fait bander comme jamais.

Ses lèvres pulpeuses, son goût est addictif.

Si je ne m'arrête pas maintenant je ne pourrais plus le faire.
Elle passe une jambe autour de ma cuisse, ok je peux continuer encore un peu.

Je me colle complètement à elle, elle doit sûrement sentir l'effet qu'elle me fait.

On finit par se détacher à bout de souffle.
Je dépose quelques baisers sur son cou, sa gorge, ses mains empoignant mes cheveux.

- Arrête moi lui dis-je entre 2 baisers.

- Je peux pas gemit-elle.

Je reprends possession de sa bouche et la soulève.

Mes mains posées sur ses fesses me rendent encore plus dur, tellement que ça en est douloureux.

Les portes de l'ascenseur qui s'ouvrent en face de nous , nous interrompt.

Après un dernier baiser je la laisse entrer dans sa chambre et rejoins la mienne.








Le combat de mon coeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant