Countryhuman : Contrat non-négociable

Chapitre 24 : Vers la solution

« -Merde ! Trouvez les ! » hurla Pologne, folle de rage.

Ses yeux virant littéralement au rouge, prenant presque feu, un puissant brasier alimenter par une rage tout aussi puissante. Toujours à moitié dans leurs cachette, Thrid et URSS se regardèrent l'un l'autre, se disant que ce regard était plus celui de l'autre que de Pologne. Ce petit air candide qu'elle avait toujours eut, ne faisant qu'accentuer son côté fragile et doux, ici lui donnait ce côté terrifiant. Complètement fou... qui rappelait Thrid avec les yeux rouge pour URSS et, pour Thrid, URSS après quelques verres. Ils restèrent la à l'observer juste quelques secondes. Il valait mieux savoir ce qui les attendaient, surtout le communiste. Il n'avait pas fait le plus de mal à Pologne et, finalement, ça c'était en plus retourner contre lui... alors pourquoi il devait se taper Pologne ? Pardon, pas se taper Pologne, se faire taper par Pologne ! Elle faisait peur comme ça ! Mais bon... ce n'était rien face à Germany. Le peu qu'avait vue de lui Second était quelqu'un de gentil, doux, travailleurs, calme mais trop. Comme si c'était pour cacher quelque chose, pour noyer une autre part de sa personnalité par un excès de ce que tout le monde voit en lui. Et maintenant qu'il le voyait dans cette uniforme grise avec cette forme typique des uniforme sous Thrid mais avec le drapeau de Germany... cette air froid et vide voilant à peine une rage rentrer qui allait déborder sous peu. La seule chose qui le rassurait dans cette histoire était que, de un, c'était pas lui qui allait avoir un « coup de main » de Vichy, qui n'était pas connue pour sa fiabilité et son efficacité, mais URSS et, deuxièmement, il n'allait pas devoir « maitriser » Alsace. Non, ça c'était Thrid. Il était à plaindre. Non, vraiment, finalement, c'était pas Pologne la pire. Déjà parce qu'elle avait pas de couteau, ça jouait beaucoup... et ensuite, pas de sang. Ca aussi ça jouait beaucoup. Mais le pire c'était son regard cruel. Elle avait vraiment péter un plomb.

Mais tout ça n'était rien. Il fallait les séparer, temps qu'ils étaient tout les trois c'était trop... risquer. En temps normal, non, pas du tout... mais la il ne fallait surtout pas les tuer ou leurs faire du mal sinon c'était retour en enfer instantanément et ils n'avaient pas passer presque une année aussi horrible pour finalement raté ! Ils valaient mieux les séparer, les « affronter » séparément pour qu'ils crachent une bonne fois pour toute tout ce qu'ils ont sur le coeur et qu'ils redeviennent normal... aussi normal que possible... que eux pouvaient l'être. Le plan pour les séparer était simple et avait déjà fait ses preuves : un appât attire l'attention et les fait courir un peu. En passant devant les couloirs, il suffit que chacun attrape celui qu'il devait maitriser et c'était régler. Le meilleur appart était le plus détester, celui que Pologne, Alsace et Germany voulaient plus que tout voir mort après avoir longtemps souffert : Thrid. Courir... ne pas se perdre... et ne s'arrêter que quand une seule personne était derrière lui. Au passage, la plus dangereuse, la seule armé et c'était lui qu'on voulait le plus tuer... pourquoi il avait proposer ça ? Surtout que c'était lui qui risquait le plus de retourner en enfer vue qu'il était quasiment incapable de remplir plus son contrat... alors autant mourir en essayant, c'était un peu comme faire preuve de bonne fois ? Essayer d'avoir des circonstances atténuantes ? Oui... il n'y avait plus que ça à faire maintenant. Les autres avaient encore l'espoir d'y arriver. Lui non. Autant essayer... c'était la seule qu'il lui restait... un an en prison, c'était la seule idée qui était venue à l'esprit... ou plutôt qui lui sautait au yeux parce que c'était la seule qu'il pouvait faire de toute façon !

Bon...

Wenn du gehen musst, musst du gehen.

Ce qui veut dire, grossièrement traduit : quand il faut y aller, il faut y aller.

Pas le choix. Il sortit donc en premier de la cachette pas si bien cacher et se mit en place.

« -Wenn Sie nicht bemerkt haben, bin ich hier.