Chapitre 7 : Les outils à la vengeance

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Il retourna dans le boom coeur, passant devant les photos, ce n'était pas la seul chose qui était encore à peut près épargner par le temps. Non, il y avait autre chose... comme quoi ça valait le coup d'accrocher ses ignobles portraits ! Il en décrocha un, le seul qui était au mur, celui de son chère père. Il le balança au sol, découvrant un coffre mural. Riant intérieurement que personne n'est venue pour fouiller... de toute façon, ça, même avec une bombe nucléaire on ne peut l'ouvrir. Lui seul pouvait l'ouvrir... et, au vue du contenue, il valait mieux que personne ne puisse l'ouvrir, surtout pas lui. Il tira du coffre une arme à feu, la sienne. Celle de son uniforme, il sortit aussi un étui en cuir et vérifia rapidement que tout était en ordre dedans. Oui, les seringues et le précieux produit était intacte, épargner par tout même par le temps. Et enfin, un porte-feuille. Ah... quoi de mieux que de retrouver son compte bancaire secret et sécuriser dans les banques de Suisse. Parfait...

Retour chez URSS, appeler et hop... le retour du fric. Beaucoup d'argent. Son argent ! En franc suisse, sécurité supplémentaire. Première chose à faire, un téléphone portable. Puis, internet, commande rapide. Au moins comme ça il sera plus discret avec d'autres vêtements que son uniforme noir... il fit tout livrer chez URSS, soit un costume avec une chemise blanche et cravate avec les chaussure et des lunettes de soleil... histoire d'être encore un peu plus discret, qu'on ne puisse pas voir son visage. Hugo Boss... ouais, on perd pas les bonnes habitudes ! Mais, en rentrant, il eut une plutôt mauvaise surprise...

Japan Empire...

Fascist Italy...

Oui, quitte à en émerger un, autant tous les héberger. C'était bon pour le karma du russe, une bonne action que de les accueillir, en plus il avait de la place sans les enfants ici... et sans la vodka encore plus. L'italien se leva à l'arriver de l'allemand.

« -Piacere di rivederti.

-Ouais... qu'est-ce que vous faite la ? »

Il s'approcha de la japonaise qui tenait une poche de glace sur son oeil et sa joue.

« -Was ist mit dir passiert ?

-Dein Vater und deine Ex-Frau.

-Arrêter de parler allemand ! Est-ce que je parle russe moi ? Non ! En plus comment ça se fait que tu parle allemand toi ?

-Pour les même raison que Thrid sait parler japonais.

-そしてはい. » nargua l'allemand.

« -私たち全員が同じ教育を受けているわけではありません。. » continua-t-il.

« -Bon, vous faite chier. » répondit tout simplement le communiste.

« -Oui, arrêter... c'est pas parce que vous étiez ensemble que vous devez continuer comme ça ! » un silence, un gros blanc mêler de malaise.

Et puis URSS brisa le silence, complètement choqué :

« -Vous étiez ensemble Чертовски дерьмо ! »

Fascist se fit tout petit. Il avait oublier que personne le savait... lui compris...

« -Toi, court. Vite. » dit en même temps par Japan Empire et Thrid Reich.

L'italien courant le plus loin possible, même pas poursuivit, les deux « empires » se regardèrent, échangeant un regard plein de souvenir peut-être ? URSS baissa alors tout de suite le silence en se raclant la gorge. La japonaise se leva, agacer de ne pas pouvoir être seule avec celui qu'elle voulait mais bon... elle ne pouvait pas bien reprocher quoi que se soit au russe sous peine de se faire envoyer chier et foutre dehors... elle avait vraiment pas envie que ça lui arrive. L'allemand resta assit, attendant.

Countryhuman : Contrat non-négociableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant