Countryhuman : Contrat non-négociable

Chapitre 25 : Réveillé

Tout c'était passer très vite une fois que France c'était « réveillée ». Elle avait tout de suite appeler Russie et lui avait expliquer en deux mots ce qui se passait et pourquoi Germany lui avait demander de prendre URSS... pourquoi il avait laisser faire ? C'était complètement idiot ! Il aurait dû comprendre que quelque chose n'allait pas ! Que ce n'était pas normal ! Il n'avait rien vue... alors il se dépêcha d'aller à la prison que lui indiqua France. Il allait plus vite qu'elle et arriva alors en premier. Ce bâtiment immense... il ne trouvera jamais Germany tout seul. Même maintenant qu'il était avec les gardiens de la prison, c'était peine perdu. Un vrai labyrinthe remplit de couloirs et de pièces... impossible de les retrouver. Si seulement il n'avait pas voulue tellement se débarrasser de son père ! En plus URSS faisait vraiment des efforts ! Et... et... et c'était Germany qui avait proposer ça pourquoi il aurait d'un coup tout changer alors que ça fonctionnait depuis des mois ? Pourquoi Russie n'avait pas vue que ça n'allait pas ? Le message était froid et vide alors que d'habitude... mais pourquoi il n'avait pas compris ? 

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Et puis une main se posa sur son épaule le faisant sursauter. C'était son père. Il savait pas s'il devait l'étriper ou le prendre dans ses bras. Et puis, quand il vit Pologne dans cette état, blesser mais en train d'être prit en charge avec Vichy qui expliquait tout, il comprit. Son père avait réussit à « calmer » Pologne et qu'ils l'avaient apporter ici dans l'espoir de l'aider... merde. Il se sentait encore plus coupable. Enormément pour Germany... et maintenant un tout petit peu pour URSS qui faisait vraiment des efforts... c'était dure.

« -Ecoute, je sais que tu ne me fais pas confiance et c'est compréhensible mais je sais où est Germany et je peux t'y...

-Arrête de parler et dépêchée toi ! »

Aussi tôt dit, aussi tôt fait, ils se dépêchèrent d'y aller.

Germany frappait fort et la où ça faisait mal. Ils était très fort et s'entraînait clairement. En plus Second n'était pas un violent par nature... sauf avec son fils... il ne ferait jamais de mal à Germany. Voila pourquoi il esquivait juste en essayant de le résonner. Mais l'empire déchut était très grand et beaucoup moins rapide alors il essayait d'esquiver, en vain. Il ne pouvait que se protéger, amortir au maximum les coups et continuer d'essayer de discuter. Impossible... Germany ne faisait que frapper, encore et encore, sans un mot, sans réaction. C'était pas comme une autre personne, c'était une autre personne. Il n'était plus lui même, il n'était plus le gentil travailleur qui avait boire une bière en écoutant de la musique avec ses amis. Non. La ce n'était plus qu'une sorte de machine à tuer. C'était ce que Second voulait faire de Thrid... et il n'avait pas échouer.

Alors il essaya autre chose...

« -Je... je suis désolé... j'ai élever ton père pour qu'il soit comme ça... et il a fait pareil pour toi... c'est pour ça que tu te comporte comme ça... c'est de ma faute... je suis désolé. »

Germany s'arrêta.

« -C'est vrai... t'as élever mon père comme ça. Mais lui n'a pas continuer. Il ne m'a juste pas élever. Il s'en foutait... comme maintenant. Il avait toujours autre chose à faire. La seule fois où il c'est occuper de moi, c'était avant de se mettre une balle dans la tête. » et il reprit ses attaques, plantant son poing en pleins dans la tête de son grand-père.

Ce n'était qu'une diversion... mais il avait parler, ça l'avait réveillé en quelques sortes. Il était la et reprenait le dessus. Plus il frappait, plus il blessait... et plus il pleurait...

Ce n'était pas lui... il n'était pas comme ça. Il n'était pas comme son père. Lui n'était pas comme ça... il n'était pas une machine à tuer. Alors... il s'arrêta... tombant à genoux... pleurant...

« -Je... je veux pas être comme lui... je veux pas... je veux pas... »

Second s'approcha, lui caressant gentiment le dos.

« -Tu n'es pas comme lui ou moi... tu es quelqu'un de bien Germany. Tu as réussit à instaurer la paix, un équilibre économique, tu es un membre fondateur de l'union européenne et, de ce que j'ai compris, c'est important et c'est bien... tu n'es pas comme nous, tu es quelqu'un de bien. »

Le plus jeune le regarda alors... et puis il le serra dans ses bras... toujours en pleure. C'était surement la chose la plus gentil qu'un membre de sa famille ne lui avait jamais dit. Et Russie arriva avec URSS. Il s'approcha, Second lui laissa alors Germany qui se blottit dans les bras de son amant.

Maintenant il ne restait plus qu'Alsace et Thrid qui se battaient... plus pour longtemps. L'allemand lâcha le poignet de son ex, la lame s'enfonça à côté de sa tête dans le sol. Elle ne comprenait pas... elle ne comprenait pas...

« -Pourquoi... pourquoi tu es comme ça ? Pourquoi tu reviens pour être comme ça ? Pourquoi tu dis vouloir changer et mieux faire pour... pour finalement faire ça ? Pourquoi... pourquoi...

-Parce que... je t'aime. Je t'aime... et... je ne devrais juste pas... pourtant je le fait... »

Ils se rapprochèrent...

Et...