Chapitre 2 : Pensées...

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Alsace était complètement paniqué, ce n'était pas un rêve ! Il était bien de retour... elle avait les papiers... lui les avait signer... il n'était pas mort ou plus mort en tout cas. Elle courut aller trouver France. Elle était avec Italie et UK, un état de crise, si Fascists Italy était revenue, d'autre pouvait aussi être revenue à la vie !

« -Il faut prévenir USA !

-It's not a good idea my beautiful lady.

-Quoi ? Quelqu'un t'as permis de parler sale brexiteur ? Non, alors ferme ta gueu...

-France, calme toi, c'est pas le moment de se disputer... si Fascists est bien revenue peut-être que d'autres sont aussi de retour. » dit Italie, essayant de calmer la situation.

Mais depuis le Brexit... disons qu'entre la française et l'anglais... c'était pas vraiment le grand amour. C'était même plus du tout le cas. Ils avaient même rompue et, c'était bien connue, France était très rancunière.

« -Non mais t'es sérieux ? On a des psychopathe qui ce balade et toi tu es d'accord avec Mister balais dans le c...

-Oh my god, le français moyen est tellement grossier. » il se prit une claque bien mérité.

« -Le français moyen t'emmerde. » elle soupira avant de tourner les talons.

« -Vous savez quoi ? Démerder vous sans moi, de toute façon moi j'ai d'autres chats à fouetter. » elle partit mais une petite voix l'appela.

« -Maman... » elle se tourna, tout de suite son air sévère disparut pour un sourire doux et sincère.

« -Alsace, est-ce que ça va ? Tu as l'air mal. » dit-elle inquiète.

« -Il... il est de retour... » sans plus en dire, pas besoin, France avait compris.

Elle avait compris qui était ce « il », il n'y en avait qu'un qui pouvait mettre Alsace dans cette état. Elle tourna à nouveau les talons, retournant chez les deux autres qu'elle venait de quitter.

« -Messieurs, l'heure est grave, bien plus grave que ce qu'on pensait. » dit-elle le plus sérieux du monde.

Aucun des deux autres pays n'osa parler, ils avaient aussi compris en voyant la régions, à moitié en larme derrière son pays.

« -Well, more than a solution, we call USA.

-On est d'accord. »

Alsace se sentait mal, elle allait défaillir sous peu. Le cauchemar allait recommencer ? Vraiment ? Mais le divorce... vraiment ? Elle devait mettre les choses au clair... lui parler vraiment et obtenir une réponse. Divorcer...

Il le voulait vraiment ?

Lui qui n'abandonnait jamais ?

Elle était partager... elle ne l'avait jamais vue abandonner, même quand la fin était toute proche, il préférait mourrir plutôt que d'abandonner. Enfin, le suicide était une forme d'abandon en soit. Mais la... il avait voulue se marier... et... elle s'en souvenait comme si c'était la veille.

Les bombardements...

Les cris...

Les morts...

Le boomcoeur...

Thrid de plus en plus nerveux et agiter, incapable de rester en place. Il était nerveux, plus aussi confiant peut-être mais c'était surtout de rester enfermer comme ça, sous terre à attendre sans pouvoir rien faire. Il en avait perdu le sommeil pourtant semblait très bien s'en porter. C'était étrange... il ne voulait plus passer du temps avec Germany, il voulait rester seul. Perdu dans ses pensées, il était dans son bureau, ne pensant plus qu'à ça... plus qu'à cette guerre qu'il était en train de perdre. Et puis un soir, les bombardements c'était calmer même si tout le monde savait que ce n'était que pour un temps. C'est alors, profitant du calme qu'il apparut dans la chambre d'Alsace. Elle se releva tout de suite, un sentiment de peur immense l'envahis. Pourtant ce n'était pas comme la fois ou il lui avait fait faire cette horrible tatouage, pas comme toute les choix où il lavait marqué de cicatrices, pas comme avant chaque coups. Non, pas cette fois, cette fois il n'avait pas son sourire fou, il n'avait pas cette air malsain dans les yeux. Il n'y avait rien de tout ça, il avait l'air grave, la mine basse, la fatigue dans ses yeux. Pour la première fois, il y avait de la fatigue... mais pas que physique... aussi psychologique. Elle ne l'avait jamais vue comme ça. Il s'assit juste à côté d'elle sur le lit.

« -Dir geht es gut ?

-Ja.

-Du siehst erschöpft aus.

-Ich weiß...

-Ruh dich ein wenig aus.

-Nein. Ich bin nicht müde.

-Warum bist du hier ?

-Wer hat dir erlaubt, Fragen zu stellen?

-Entschuldigung. » elle recula, sentant le coup venir.

Il l'embrassa...

Alors elle se laissa faire.
Comme toujours, elle avait compris que ça ne servait à rien de lutter...

Qu'elle lui appartenait... il l'avait prit de force et elle ne pouvait rien faire contre ça.
Pas le choix, elle était sa chose...

Et tout les désirs de Thrid était des ordres qu'Elsass exécutait sans discuter... elle n'avait plus la force de discuter, juste d'exécuter. Alors quand il lui dit qu'il voulait se marier... elle dit oui.

Vingt-quatre heure plus tard, il se suicida mettant fin à un cauchemar qui semblait durer toute la vie de la pauvre région.

Et il demandait le divorce ? Comment était-il revenue ? Pourquoi ? juste pour ça ? Pour briser définitivement tout les lien qui les liaient ? Vraiment ? Lui qui voulait tellement Alsace pour son territoire, la jugeant comme étant allemande, comme lui appartenant. Et quand on connait Thrid, il est impossible de penser qu'il renoncerait à quelque chose qu'il pense être siens. Il n'y a qu'à voir comment il se comportait avec ses ex. Japan Empire était une de ses marionnettes qu'il a séduit et utiliser. Il utilisait...

Manipulait...

Il ne ressent rien que de la colère et de la haine...

Ce n'est qu'un monstre qui aime faire du mal...

Mais il se comportait... trop différemment. Il avait quelque chose en tête. Elle partit donc à sa recherche, ignorant la peur qui cherchait à la paralyser.

Pendant ce temps, dans sa maison vide, URSS regardaient ses bouteilles de vodka. Il avait jurer entendre des voix qui venaient de cette direction. Le manque d'alcool commençait à ce sentir et... il entendait des voix...

« Viens nous boire... viens nous boire... » de douces voix ronronnante et envoutante.
Le caressant et l'emmenant avec eux vers les bouteilles...

« Boit nous... tu ira mieux après... »

C'est vrai... boire juste un peu, ce n'était rien de grave non ?

Si ! Si c'est grave il a signer ce satané pacte et, si il veut retrouver sa famille, il doit être... « gentil »... sauf que quand il boit, il est violent, agressif, méchant. Et il en a assez fait voir à sa descendance comme ça.

Plus d'alcool !

Même pas une goute de vodka !

Rien !

Si il voulait arrêter c'était la seul solution.

« -Stop ! Non c'est non ! Et ça sert à rien de me regarder comme ça ! Arrêtez ! Je vous est dit que c'était non ! » un silence comme si il écoutait.

« -Mais bien sur que j'aime plus mes enfants que vous ! Comment ça j'ai pas toujours dit ça ? Mais n'importe quoi ! Non ! Stop ! Я не буду пить ! J'ai promis... cette fois je tiendrais ma promesse. » un nouveau silence.

« -Mais putain je m'en fou je boirais pas ! Non, je bois pas de vin en douce, je m'appel pas France ! И дерьмо я ломаю ! » aussi tôt dit, aussi tôt fait, il partit.

De son côté...

Japan Empire se réveilla. Elle avait raison, avec un peu de détermination on a tout ce que l'on veut. Ce matin, elle avait encore la preuve de cela puisqu'elle se réveilla dans le même lit que son ex, Thrid Reich. Et ils avaient belle et bien passer la nuit ensemble... elle avait gagner. La version officiel était qu'ils c'étaient perdu de vus à cause de leurs travail mais, officieusement, ce n'était pas ça, au contraire même. Thrid l'avait quitter pour son « Elsass » d'amour... pourtant cette petite région minable n'avait rien de plus, au contraire, elle avait tellement moins à offrir. Qu'est-ce que ce petit territoire minable et cette mégère face à l'allier sur puissante qu'est Japan Empire ? Pas besoin de torturer ou de conquérir puisqu'elle était déjà tout à lui. Mais non, lui ce qu'il aime c'est prendre de force, pourquoi vouloir ce qu'on a alors qu'on peut conquérir moins bien ? Mais peut-importe maintenant. C'est Japan Empire qui est blottit contre Thrid, pas Alsace.

Countryhuman : Contrat non-négociableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant