Chapitre 26 : Un nouveau dans l'histoire

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France se dépêchait. Elle devait aller vite, s'imaginant déjà le pire. Bon, elle n'en avait rien à autre de Thrid... mais Alsace était quelqu'un de gentille, profondément gentille. Elle ne s'en remettrait jamais de faire du mal à quelqu'un, même au pire connard qu'elle n'est jamais rencontrer. Et puis, par chance, elle trouva... pas sa fille. Pourquoi parler de chance alors ? Parce qu'elle n'était pas loin en fait. Le pays venait de trouver la fureur mère d'un de ses petits enfants.

« -Tiens tiens... »

Elle appela alors la sécurité et puis l'infirmerie aussi pour qu'ils envoient un docteur... la garce avait des contractions de plus en plus violente et déjà très rapprocher. Le bébé arrivait et très vite. France entra dans la cellule.

« -Toi... dégage ! » hurla la plus jeune, sentant une nouvelle contraction, encore plus forte que la précédente.

Elle n'avait jamais sentit pareil souffrance...

La suite était rapide...

Ils arrivèrent, l'emportant à l'hôpital, France alla avec...

Et après de longues heures compliquées pendants les quels le bébé ne bougeait pas du tout, enfin, il était la. Un jolie petit garçon avec la face blanche, deux étoiles blanche sous chaque yeux. Des yeux bleue profond qui contrastait avec les marques rouge un peu terne et d'autres noirs. En fait, ses couleurs étaient un mélange entre Second et France... mieux valait ne pas dire cela. C'était un adorable petit ange déjà souriant, ouvrant ses grands yeux sur un monde tout nouveau pour lui. Si innocent... il ignorait tout de sa mère, comment il avait été conçue... que son père ne voulait rien s'assoir de lui et que c'était légitime. Qu'il n'était pas question que sa mère ne le garde avec elle qu'une seule seconde. Ainsi, à peine né, on ne le laissa pas à sa mère. Le premier réflexe de France avait été d'appeler son fils... en vain. Il dit à sa mère qu'il n'en voulait pas, qu'il ne voulait rien s'assoir. Que, de toute façon, ça ne servait à rien. Qu'il serait surement comme sa mère...

Alors voila...

Ce petit bout de chou maintenant dans les bras de France n'avait pas de parents. Ses géniteurs ne voulant pas de lui pour un, ne pouvant décemment pas s'en occuper pour l'autre... il était tout seul. Alors il fallait le confier à quelqu'un. Du côté maternelle, un seul aurait put s'en occuper mais Germany n'avait pas d'enfant, il était encore jeune et... il ne voulait pas de toute façon... il ne se sentait pas près. Alors il fallait regarder du côté du père. UK était comme USA, pas question de s'occuper de cette enfant ! Même, il était hors de question d'entendre quoi que ce soit de cette enfant. Alors le voila... ce petit qui sourit pour la première fois à sa grand mère... ignorant tout cela. Ignorant que la seule qui voulait de lui était France. Le pays avait élever déjà des enfants... mais toute seule aussi. Et elle devait continuer de s'e occuper... elle avait aussi son travail... et puis aussi Empire de France et Vichy maintenant. Qu'est-ce qu'elle pouvait faire maintenant ?

Elle ne pouvait pas s'occuper correctement de ce petit ange... il était gentil, doux. Un bébé ! Comment peut-on reprocher les crimes des parents à un enfant d'à peine quelques heures ! Il était innocent... il méritait tout l'affection d'une mère... pas juste une tutrice qui s'en occupera au minimum, pas par choix, juste parce que France ne pourrait pas s'en occuper plus.

Alors le pays berçait son petit fils, réfléchissant à un nom pour se petit être souriant... ignorant.

Alsace arriva.

« -Maman... » elle était « réveillée », à nouveau elle-même... et elle pleurait.

« -Ma puce. » France sourit en réponse, toujours cette air triste pour son petit fils.

« -Je suis tellement désolé... » et elle prit sa mère dans les bras, faisant attention au nourrisson.

« -Ne t'en fait pas, je vais bien.

-Mais... le coup... » des larmes de honte, de peur mais aussi et surtout de soulagement.

Elle était soulager de ne pas avoir fait de mal à sa mère adorée. Elle s'en voulait tellement... mais sa mère allait bien... et puis, alors que les larmes de la région se calmaient, un petit bruit attira à nouveau toute l'attention sur le tout jeune bébé. La plus jeune sourit alors, caressant doucement la joue du bébé.

« -Alors ? Qui va s'en occuper ?

-Moi...

-Toi ? Mais... maman, le prend pas mal mais tu as assez de mal comme ça.

-Je sais... mais que veux-tu faire d'autre ? »

Sans même marquer de temps de réflexion, sans la moindre hésitation, Alsace donna la solution qui sera finalement choisit.

« -Moi. » et, sans laisser le temps à France de protester, elle expliqua pourquoi elle était le meilleurs choix.

Déjà, elle avait élever ses enfants parfaitement, ensuite, elle avait très bien élever Germany. Les trois étant équilibrer, travailleurs, fiable et digne de confiance grâce à son éducation. En plus elle les avaient élever seule ! Sans compter qu'elle n'avait plus à s'en occuper et qu'elle gérait très bien son travail. En plus... comme pour conclure, elle se sentait seule... ce petit garçon occupera tout son temps... et elle ne serait plus seul.

Autant dire que France ne pouvait la contre dire, pire, elle lui donna raison. Et c'était le cas de tout le monde.

Maintenant il n'était plus seul... mais il n'avait toujours pas de prénom ! Sauf qu'il n'était toujours pas question de demander à sa mère biologique... mais pourquoi pas aux autres ? Après tout, maintenant, il n'était plus question de juste les maintenant en prison... il fallait que tout le monde face des efforts. Alors on proposa au grand père maternelle et à l'arrière grand mère maternelle de proposer.

Sauf qu'il n'était pas question de l'appeler comme ça !

Pas de Second deuxième du nom ! Et pas de Prusse ! Alors il n'avait toujours pas de nom... et, ce fut le seul à qui on ne demanda pas, Thrid, qui finit par le trouver.

Néo.

C'était... simple.

Aucun lien avec ses héritages familiaux.

Parfait...

Et même si ça faisait mal de l'admettre, ce prénom était parfait.

Mais que c'était-il passer pendant que France s'occupait de la peste au nom imprononçable ?
Et bien...

Ils c'étaient embrasser. Comment c'était possible ? Même Thrid ne savait pas ! Ce n'était pas lui qui avait embrasser Alsace... lui y avait répondu. Il s'attendait à tout sauf à ça ! Un coup de boule, une gifle, qu'elle l'étrangle, qu'elle récupère le couteau et l'égorge... mais pas à ça... vraiment tout sauf ça ! Mais c'était... si agréable. Il l'interrompit tout de même, à regrets. Et Alsace se releva, le laissant au sol. Et puis des « gardes » arrivèrent, revoyant Thrid en cellule, s'assurant que la région allait bien.

Maintenant qu'allait-il se passer ? Lui n'en savait rien. Il était déjà content que c'était son nom qui avait été garder... même si pour lui l'avenir était beaucoup plus incertain que pour les autres. Les enfants d'URSS avaient décider d'y aller doucement mais d'essayer... Germany le faisait aussi... mais pas pour lui.

Il avait raison...

Il retournera en enfer sans même avoir essayer... en même temps... qui voudrait essayer pour ce connard ? Même lui ne se laisserait pas de chance.

Countryhuman : Contrat non-négociableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant