Countryhuman : Contrat non-négociable

Prologue

« -Alors vous voulez retrouver la vie ? Mais il n'y a pas de problème, ils vous suffit juste de signer et de respecter notre accord.

-C'est tout ?

-Oui URSS, c'est tout.

-Et c'est quoi l'accord ?

-J'y venais ma belle, presser de rentrer Japan Empire ?

-Un peu oui.

-Alors c'est simple, vous êtes mauvais, c'est pour ça que vous êtes ici. Si je vous renvoie dans le monde des vivants c'est que vous n'avez plus votre place ici donc que vous avez changer... ou plutôt que vous vous êtes améliorer. » des feuilles de papier apparurent alors devant eux.

Fascists Italy prit un des contrat et le lue.

« -J'ai mis tout vos « défauts » dessus pour être sur que si un de vous ne respecte pas notre accord vous ne puissiez pas dire : « Mais je savais pas moi que ça c'était mal ! ». C'est une simple précaution.

-Et si c'est pas faisable dans l'immédiat ?

-Prenez votre temps. Mais ce qui peut être tout de suite fait doit être fait. Après je me doute bien d'arrêter de boire pour URSS ou de balancer des kamikazes pour Japan Empire ne sera pas simple. » un soupire exaspérer échappa aux deux citer faisant sourire le maître des lieux.

Fascists Italy lue vite fait avant de signer suivit de prêt par Japan Empire et aussi de URSS... le seul un peu réticent à accepter était Third Reich.

Renouer avec son fils ? Ce faire pardonner D'Alsace ? Mais oui, bien sur, autant demander d'apprendre à voler à un cochon... quoi que, même ça ça serait plus facile. Le comble... être gentil et ne pas essayer de redevenir puissant ? Rester faible...

Lui ? Faible ?

Et puis quoi encore !

Plus il lisait, moins il avait envie d'accepter.

Faire la paix avec URSS ?

Non !

Sauf que si il signait, il retrouverait sa vie, il pourrait à nouveau revoir Germany et Elsass... Seine Liebe...

Il signa finalement.

« -Parfait... félicitation et bon retour. »

Et les revoilà dans le monde des vivants... avec une seconde chance.

« -Attention à ne pas la gâcher. » ricana une voix au loin comme si ce n'était qu'un écho venant d'un autre monde.

Sans plus attendre, le dictateur, ou plutôt, l'ancien dictateur vêtue de noir partit.

« -Hey ! » appela Fascists Italy.

Aucune réponse, Third Reich n'avait pas dit un mot depuis qu'il était entrer dans le bureau... ça ne lui ressemblait pas. URSS le savait bien, quand son meilleur ennemie est si silencieux c'est qu'il a une idée derrière la tête. Une très mauvaise idée... mais bon débarras au fond. C'était clair que lui allait échouer. Et tout le monde s'en foutait, après tout, le communiste n'avait pas la même close que l'allemand.

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Salut^^

Ma nouvelle histoire, j'ai voulue essayer un truc nouveau (pour moi) j'espère que ça vous plaira^^