Chapitre 12

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Katsuki ramena Izuku dans sa chambre.

Il savait qu'Izuku n'aimait pas particulièrement le lit à baldaquin géant qu'il avait choisi pour eux deux.

Mais dès qu'il le posa dans son lit, empli de ses phéromones, Izuku se "calma" ostensiblement.

Il serra un des oreillers de Katsuki contre lui, enfouissant la tête dans les draps.

-Tellement bandant... murmura Katsuku en le regardant bouger.

Il se pencha lentement sur le front détendu, et posa délicatement ses lévres sur sa peau.

Immédiatement, Izuku se retourna, et plaça ses lévres sur celles de Katsuki, laissant ce dernier complétement pantois.

Katsuki réagit, et s'autorisa à se laisser aller un peu.
Il entrouvrit les lèvres et passa sa langue sur celles d'Izuku. Celles d'Izuku s'ouvrirent d'elles-même, tandis qu'il ouvrait les yeux, et sa langue rejoignit celle de Katsuki, débutant un ballet très érotique et difficilement supportable pour Katsuki.

Il s'écarta d'Izuku, haletant, lui tenant le menton, et le regarda dans les yeux.

-Désolé, mais tu m'as demandé de pas aller plus loin...

Izuku accrocha ses avants-bras au cou de Katsuki et plaqua son corps souple contre celui du blond.

Tellement souple...

Katsuki pouvait imaginer tellement de possibilités avec cette souplesse...

Izuku plaqua son érection contre le bassin de Katsuki, ce qui le fit gémir.

-Comment puis-je résister quand tu...?

Il souffla, et ferma les yeux.
Il détacha fermement les bras d'Izuku d'autour de son cou, et les lui plaqua sur le matelas.

Ensuite, il posa doucement ses lévres sur celles du petit vert.

-Tu vas m'en vouloir mais...

Katsuki dispersa ses phéromones partout dans la pièce, forçant Izuku à se rallonger.

Il dispersa encore plus de phéromones de soumissions, et Izuku courba l'échine, enfonçant sa tête dans les oreillers, fermant les yeux.

-Dors. M'en veut pas, je vais faire une bêtise sinon...

Izuku ferma complétement les yeux, et s'édormit.

. . .

Toutes les heures, Katsuki dispersait ses phéromones dans la chambre, calmant Izuku de cette manière.

Plus fiévreux et excité que pour des chaleurs habituelles, Katsuki était certain que le surplus de suppresseurs qu'Izuku avait ingéré avaient boosté ses chaleurs plus que de les calmer.

Il se leva une fois de plus de son fauteuil pour disperser ses phéromones autour d'Izuku.

Il posa son ordinateur sur son bureau et s'assit sur le bord du lit d'Izuku.

Il lui caressa le front, et lui enleva la couverture.
Le petit vert frissona de froid, et se rapprocha inconsciement de Katsuki.

Il finit par complétement se coller contre Katsuki, qui lâcha encore plus de phéromones sous le coup de la surprise.
Izuku sembla apprécier car il se mit à haleter, et se lova contre le torse de Katsuki.

-Nh~ soupira-t-il de bien-être.

Katsuku regarda le caleçon d'Izuku, suant à grosses gouttes.

-Juste une fois... Il va m'en vouloir?

Katsuki fit rallonger l'Oméga, se mordant la lèvre.

Il avança sa main vers l'élastique du caleçon, qu'il fit rouler sous un de ses doits, lentement.

Il regarda le membre dressé d'Izuku.
Son regard dévia vers la tête d'Izuku. Il semblait se réveiller.

-C'est juste ses chaleurs, il va quand même vouloir du sexe... murmura-t-il en se mordillant la lèvre.

Izuku, lové dans ses bras, se réveilla complétement, et le regarda, fiévreux.

-Pourquoi tu ne bouges pas? demanda Izuku, la voix rauque.

Katsuki craqua face à ce regard si mignon et... bandant.

Il saisit le sexe d'Izuku entre ses doigts, commençant à le masturber doucement, regardant ses yeux se dilater.

Il le regarda commencer à gémir dans ses bras, écartant légérement les jambes et se cambrant.

-Ah~

Il plongea sa tête dans le cou de Katsuki, et le lui mordit en gémissant encore plus.

Il lui fit un suçon, et s'écarta, souriant.

-Pourquoi tu ne continues pas? fit Izuku en regardant la main de Katsuki posée sur son membre.

Katsuki réalisa soudainement ce qu'il faisait...

Il rhabilla Izuku, en secouant la tête.
Il le reprit dans ses bras, et le redéposa dans son lit, le recouvrant du drap.

-Désolé, je crois que t'es assez grand garçon pour le faire seul, moqua Katsuki avant de sortir de la pièce.

-Bordel! souffla-t-il après avoir fermé la porte. Un Oméga en chaleurs, et moi je suis un Alpha dominant... Putain de situation de merde! jura-t-il avant de descendre à la cuisine.

Il se prit un verre d'eau, et attendit un peu pour remonter dans la chambre.

Il trouva Izuku en train de dormir, encore.

-Heureusement que mes phéromones t'endorment  sinon je t'aurais probablement déjà violé... marmonna Katsuki en carressant le front du petit vert.

Il s'assit sur son fauteuil à côté du lit, qu'il ne quittait que rarement depuis trois jours.
Il soupira, et s'endormit en priant pour que les chaleurs de l'Oméga se terminent rapidement, car il prévenait de ne pas tenir longtemps à devoir isperser ses phéromones toutes les heures -activité fatiguante en soi, d'autant plus qu'il ne dormait pas beaucoup.

. . .

Quelques jours plus tard, Izuku avait terminé ses chaleurs, et il tentait d'éviter autant qu'il le pouvait Katsuki.
Il se rappelait tout ce qu'il s'était passé.
Il en voulait à Katsuki, mais il s'en voulait également de n'avoir pas sû résister à ses bas instincts.

Plusieurs samaines s'écoulérent sur ce modéle, au grand déséspoir de Katsuki.

Un soir, le blond rentra, et surpris une conversation téléphonique entre Eijiro et Izuku.

-Je suis sûr d'être malade!!! Je... Je ne comprends pas, c'est une question d'instincts... Mon corps ne va pas bien, mais je sais que c'est à cause de mes instincts! Passe-moi Denki Eijiro, je dois lui parler!

-Explique-moi pourquoi alors! insista Eijiro dans le combiné, désespérant Izuku.

-PASSE-MOI DENKI!!! C'est tout ce que je demande! s'énerva Izuku.

Katsuki toussa pour se faire remarquer, au moment où un blanc se faisait sentir dans l'apareil, indiquant qu'Eijiro avait passé le téléphone à Denki.

Un sourire apparut immédiatement sur le visage d'Izuku.
Un sourire radieux.

-Râââh! hurla-t-il de rage en claquant le combień sur son socle.

-Qu'est-ce qui se passe? interrogea Katsuki, perplexe. Explique-moi.

-MERDE! Cria Izuku avant de s'enfuir en courant dans les escaliers.

………………………………………………………
1017 mots.

Hey les gens.

Comment allez-vous? Je vais faire une pause jusqu'au 10 février dans l'écriture. Je ne publierais rien, je suis désolée, mais j'ai le brevet blanc et je dois réviser.

Je ne ferais pas souvent de pause aussi longue et aussi drastique, mais là c'est imprtant.

Bye bye mes chous~😘

Je t'aime, moi non plus!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant