Je t'aime, moi non plus!

Chapitre 41

(Attention LiJaBi je vais annoncer dans ce chapitre ou le suivant qui est Ari😂 (je vais me faire frapper je sens mais bon) Si t'as toujours pas trouvé qui c'est, tu devrais pas lire mdr😂)

À la nuit tombée, ils rentrèrent chez eux, et Katsuki était déjà couché quand Izuku sortit de la douche.

-Pourquoi tu avais l'air d'avoir pleuré en sortant du cabinet? demanda-t-il tandis qu'Izuku se séchait les cheveux en les frottant avec une serviette.

Il s'enfouit sous les couettes, qui formaient un amas désordonné, que Katsuki n'avait pas remarqué jusqu'à présent.

-Tu m'expliques pourquoi y'a... cette chose? demanda le blond en indiquant les couvertures.

Izuku haussa les épaules et rougit.

-Bah... Je me sentais en sécurité quand j'étais dedans, quand tu étais pas là Dans mon petit nid douillet imprégné de ton odeur, ajouta-t-il avant de fouiller dans le tas pour en sortir le lapin gris en peluche.

-Oh, tu l'as gardé! s'étonna le blond.

-Bah, ouais.

Izuku le serra contre lui.

-Ce truc de se fourrer dans un tas de couverture... fit remarquer Katsuki.

Les battements du cœur d'Izuku s'accélérèrent.

Pitié qu'il ne pense pas ça...
Pitié qu'il ne pense pas ça... pria-t-il.

-On dirait un chat, se moqua le blond.

Izuku soupira de soulagement, et déposa un baiser sur la joue du blond avant de s'enrouler définitivelent dans la couette.

-Bonne nuit, souffla-t-il.

Il avait eut peur que Katsuki fasse le rapprochement entre ce “nid” et son état.
Il croyait définitivement être enceint, et il avait commis une erreur en laissant son nid douillet en l'état.
Il était bien connu que la plupart des Omégas mâles enceints se mettaient souvent dans des endroits en hauteur, et chauds lorsqu'ils se sentaient peu en sécurité.

C'est ce qu'il avait fait, car à cette période de l'année il avait toujours du mal à tenir le coup.

Le grenier, et un tas de couvertures très chaudes.
C!était vraiment un indice de taille que Katsuki ne semblait pas saisir. Tant mieux pour lui, songea-t-il fugacement.

Il ferma les yeux, et fut à peine conscient que Katsuki le prenait dans ses bras piur sombrer dans les songes à son tour.

. . .

Dans la tête d'Izuku, tout revenait.

Les cris, les lumières, les jets puissants.

Et un corps.

Un petit corps, tout frêle, était étendu au mileiu de tout ce vacarme, cette agitation.

Izuku se précipita vers le corps, les larmes aux yeux, malgré les interdictions de sa mère.

Il retourna le corps.

-Ari? Ari, réponds moi, s'il te plaît, supplia-t-il, alors que ses larmes salées s'écrasaient sur les joues du petit enfant.

Un homme arriva derrière Izuku, et le força à se relever.

-Lâche cet enfant, c'est trop tard.

Izuku vit rouge à ce moment là.

Il ramassa un bout de fer chauffé à blanc qui traînait au sol, et sous les yeux médusés de son père, en se brûlant les doigts, il le projeta en l'air.