Chapitre 38

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Katsuki fit tourner son fauteuil, et se plaça face au bureau.
Il décrocha l'appel d'Eijiro en soupirant.

-Bon, il a fait quoi cette fois-ci? demanda d'emblée le blond en se pinçant l'arrête du nez.

-Serpents, grenouille, lubrifiant, répliqua Eijiro aussitôt.

Le blond soupira.

-Nan, en fait ta gueule, je veux pas savoir. Il va bien?

Eijiro rit jaune.

-Pardon!? Il va bien? Mais c'est pas lui qui s'est fait pourchasser par des serpents sauvages, qui a eu une grenouille sur la tête, qui a pris une douche au lubrifiant, et qui est tombé dans la piscine! Moi, je compte pour du beurre!?

-Je pense, répondit pragmatiquement le blond. Et je n'ai jamais vu de serpents vraiment domestiqués.

-Bon, désolé de te dire ça, mais tu me fais chier, autant que lui. Il est insupportable. Mignon, mais insupportable. Je ne veux pas être victime de ses farces une fois de plus! Surtout que je dois retrouver Denki...

-Oh... répondit le blond, quelques peu surpris. T'as encore fait le con avec les sentiments de la personne que t'aime, conclut-il.

Un soupir bruyant lui répondit.

-T'as qu'à demander à Deku où est son pote!

-Ah, non! protesta vivement le rouge, retrouvant aussitôt la vivacité qu'il avait perdue en parlant de son amour. Je ne retourne pas voir ce petit diable! J'en ai eu assez d'être une fois son cabye, je ne recommence pas! Assigne-lui une baby-sitter, mais je ne le fais pas!

Eijiro raccrocha, et Katsuki tourna dans son siège.

-Tu me manques Deku... dit-il pour lui-même.

Une secrétaire entra discrétement.

-Monsieur Bakugo, le chef de chantier a annoncé sa venue dans deux heures.

-Que personne ne me dérange pendant ces deux heures, ordonna-t-il.

Il ferma doucement les paupières, une fois la secrétaire partie, et songea à son retour.

. . .

🍍🍍🍍

Katsuki lui déposa quelques baisers dans le cou, remontant lentement vers sa nuque.

Izuku gémit quand il lécha ses glandes.
Il était appuyé dos au mur, et Katsuki avait une jambe entre les siennes.

Il l'embrassa, tout en passant sa main sous le t-sheert du vert, et frotta doucement ses tétons.
Izuku gémit quand la langue de son lié entra dans sa bouche, et qu'il commença à pincer ses tétons.

Le blond quitta ses lévres, et retira son t-sheert, pour poser ses lèvres sur un des tétons d'Izuku, titillant toujours l'autre entre ses doigts.

De sa deuxième main, il défit la boucle de la ceinture d'Izuku, et passa sa main dans son pantalon.

Le petit vert rejeta la tête en arrière et gémit un peu plus fort.

Quand Katsuki posa ses lèvres sur son membre, à travers son caleçon, il plaqua les deux mains sur sa bouche en rougissant.

L'Alpha se releva, et retira les mains qu'Izuku avait mis sur sa bouche, embrassant ses lèvres la seconde d'après.

-Laisse-moi t'entendre, demanda le blond en l'embrassant de manière légére dans le cou.

Il déposa une multitude baisers sur sa clavicule, descendant lentement vers son entre-jambe pour reprendre ce qu'il faisait.

Il dénuda complétement le petit vert, et le regarda dans les yeux en saisissant son membre dans sa main.

L'Oméga se mit à haleter, et il s'appuya au mur derrière lui quand Katsuki commença à suçoter son gland.

Il le prit entièrement en bouche, et Izuku gémit son nom quand il commença à aller et venir sur son membre.

-Ah... Katchan~

Katsuki accentua le mouvement, et enrpula sa langue autour du membre de son Oméga.

Il prit ses bourses en main, et commença à les toucher lentement le faisant gémir encore plus fort.

-Katchan~ haleta-t-il une fois de plus.

Il posa sa main sur la tête de Katsuki, lui signifiant par là qu'il allait bientôt venir.

🍍🍍🍍

-Monsieur Bakugo... gémit-il.

Katsuki se réveilla ensursaut, et se rendit compte qu'il s'était assoupi.

Il fusilla du regard son chef de chantier.

-Je vous hais Ishikawa, vous ne pouvez pas savoir à quel point! murmura-t-il d'une voix sourde à l'homme qui avait interrompu son rêve.

Son téléphone sonna, et il décrocha sans quitter son regard noir envers le chef de chantier.

-Quoi! aboya-t-il.

-Monsieur Kirishima a appelé, il a trouvé une solution, lui répondit la voix tremblante de la secrétaire.
. . .

Izuku, allongé dans son lit, repensait à la journée en souriant.

Il avait peut-être mérité l'engueulade mémorable que lui avait servie Eijiro, mais il ne se sentait pas le moins du monde coupable.

Il ferma lentement les yeux, et s'endormit.

. . .

Un craquement.

Sur le palier, Izuku venait d'entendre un craquement.

Avec espoir, il tendit la main vers l'endroit où dormait Moon habituellement.

Il rencontra hélas sa touffe de poils soiyeux, et sursauta quand un autre craquement survint.

Il tenta d'abord de respirer calmement, tout en bougeant le plus lentement possible.
Il serra le lapin en peluche qu'il avait offert à Katsuki, et glissa la main sous son oreiller, saisissant son étui.

La porte s'ouvrit, et Izuku ferma les yeux, calmant sa respiration au point de faire semblant de dormir.
De ses doigts, il fit lentement glisser l'étui sous l'oreiller, et frotta la lame aiguisée du bout du doigt.

La personne qui venait d'entrer se pencha sur lui, et il fit tout pour ne pas bouger, jusqu'au dernier moment.

-Je sais que tu ne dors pas, murmura l'intrus à son oreille.

Son sang ne fit qu'un tour, et il se retourna brusquement.

Il utilisa sa vitesse pour faire basculer l'homme en arrière, et se retrouver à quatre pattes au-dessus de lui.
Il pressa un genoux sur son entre-jambe, bloqua un de ses poingets sous son autre genoux, et attrapa fermement le deuxième poignet de l'homme.
Il pressa le couteau sous sa gorge, et approcha son visage du sien.

-Un mouvement, je te tranche la gorge.

L'homme s'éclaircit la voix, se remettant lentement de sa fraiyeur.

-Depuis quand tu dors avec un couteau, toi?

Et Izuku l'embrassa.

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1094 mots.

Hey! On va dire qu'on est en vacances!
Je souhaite une bonne merde à tous ceux qui ont des examens en fin d'année, et que cette fermeture des écoles fait juste chier x) (comme moi).

Je repasse en mode “vacances”, un chapitre par jour.
Vous le voyez pas, moi si, la fin est pour bientôt.

Vos avis?

Bye bye mes chous~😘

Je t'aime, moi non plus!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant