Dark Lord (Kuroro x oc)

Pourquoi tu cours ?

Je me promène dans la ville, aujourd'hui, Gon et Killua sont occupés à acheter des oeuvres pour ce faire un peu d'argent aux enchères, Leolio, lui, essaie toujours de joindre Kurapika. Je ne leur ai pas parlé de ma visite chez les Nostrades. J'attend que Kurapika vienne de lui même donné de ses nouvelles. Du coup je me retrouve seule, la ville est un peu déserte par ici puisque tout le monde est sur la place pour les enchères. Mais bon, je sais très bien qu'il est difficile de passer un peu de temps tranquille quand on s'appelle Wadjid-Uto Saltim. Je sens de main se posé sur mes yeux, m'empêchant de voir.

- Qui est ce ?

- Devine !

Mon coeur loupe un battements. Évidemment que je sais qui c'est, je reconnais cette voix entre mille.

- Kuroro !

Il retire ses mains et me tourne pour qu'on soit face à face.

- Qu'est ce que tu fais tout seule ici ?

- Je profite que tout le monde soit obnubilé par les enchères pour profiter du calme de ce côté de la ville, et toi ?

- Je te chercher, que dirai tu de se voir se soir ?

- Se soir... j'aurai beaucoup aimé mais je dois me rendre au enchères souterraines.

Je vais profiter du fais que je connaisse la famille Nostrade pour avoir une place. Le regard de Kuroro devient plus grave.

- Tu veux aller aux enchères souterraines ? Tu sais que c'est dangereux ?

- Oui, je m'en doute bien mais je ne pense pas me faire attaquer dans un rassemblement de mafieux, ils veulent que tout se passe bien alors je ne me ferai pas agressé au enchère.

- Qu'est ce que tu en sais, peux être que quelqu'un de mal attentionnée va se rendre au enchères pour tué un maximum de mafieux.

- Kuroro, tu sais quelque chose sur les enchères qu'il faudrait que je sache ?

Il tourne la tête quelques secondes, je vois bien qu'il hésite à me dire quelque chose. Je place ma main sur sa joue pour essayé de le rassurer.

- J'ai entendu une rumeur. À ce qu'on dit, la brigade fantôme à prévu d'attaquer les enchères souterraines de se soir. C'est ce que la mafia pense en tout cas.

Je me demande comment il a pu avoir de tel informations, peu être qu'il travail pour la mafia. Je ne vais pas lui demander d'explication, ce n'est pas le moment pour ça.

- Si tu penses que c'est trop dangereux, alors j'accepte de ne pas y aller.

Il me sourit tendrement et me serre dans ses bras. On reste comme ça de longues minutes. Je lui demande, sans pour autant quittait son étreinte.

- Où allons nous se soir ?

- Je connais un restaurant plutôt réputé dans le quartier. On pourrait commencer par là.

- D'accord alors...

[Ellipses (j'explique à la fin)]

Ça m'énerve ! Je me retrouve coincé entre deux sentiments, l'excitation à l'idée de passé la soirée avec Kuroro, et l'angoisse de laisser Kurapika livré à lui même, en sachant qu'il participera sûrement au enchères puisqu'il s'agit de son travail. Je ne peux pas aller aux enchères de tout façon puisque j'ai promis à l'autre idiot que je resterai loin du lieu où elle se déroule, et puis peux être qu'il a mal était renseigné et que tout se passera bien. Malgré tout je ne peux m'empêcher de m'inquiéter. Finalement, j'enfile une robe un peu plus classe que ce que je porte d'habitude et me dirige vers le lieu de rencontre que Kuroro m'a indiqué. Lorsque j'arrive, il est déjà là. Il porte un costard simple mais qui le rend terriblement sexy. Je me frappe intérieurement pour arrêter de pensé à ça, sentent le rouge me monté aux joues. En me voyant, un petit sourire apparaît sur son visage, j'intensifie donc le mien. Je marche vers lui et bientôt nous nous prenons dans les bras. J'avoue que c'est vraiment agréable cette proximité entre nous. Après de longues minutes, qui me paraisse bien courte, nous nous lâchons pour profiter des beaux yeux de l'autre. Je ris sans trop me contrôlé, je suis simplement heureuse de le voir. La soirée commence plutôt bien avec un bon repas, assez chic, certes, mais appréciable. On ne parlé pas beaucoup, je ne comprenais pas vraiment pourquoi, mais Kuroro semble mal à l'aise. Après une vingtaine de minutes de silence pesant, je me décide à lui adressé la parole.