Chronique de Célia : Dealeuse Et Meurtrière

Chapitre 46 : Encore une surprise ?

Flashback

_Célia : Maman regarde moi aussi j'ai un bébé comme toi

_Ma chérie, ce sont des poupées tu sais

_ Oui mais c'est mes bébés

_ Comment s'appelle tes bébés ?

_Mia et Célia

_ C'est joli

_Oui et mes vrais bébés aussi je vais les appeler comme ça, elles seront doublent

_ On dit des jumelles (j'ai ris)

Fin du flashback

C est c'est c'est Cél...

Troue noir.

                                        

PDV OMNISCIENT  : Plus tard dans la soirée

Ma mère était toujours inconsciente.

Maïthé semblait comprendre la situation car elle faisait souvent des allées retour entre
la chambre où était sa mère et la mienne.

Je ne m'en préoccupais que très peu, j'étais bien trop heureuse du bonheur que m'apportait mes filles et assez stressée par ce qui devait normalement se passait dans les heures qui suivraient pour beaucoup réfléchir.

Du coup, je parlais avec mon mari pour faire passer le temps.

_j'aurai aimé aller manger avec toi.

_Cécé, arrête de te préoccuper de tout, je t'ai dit que j'étais heureux. J'ai un peu peur à cause de tout ça mais je suis heureux et franchement je profite.

_Je suis contente que tu sois heureux.
Je t'aime Joël.

PDV Joël

_Moi aussi je t'aim....

??_Alexandre mon bébé

Cette voix retentit à mes oreilles comme la plus belle des douceurs, comme le plus douloureux des poignards, peu de gens connaissaient ce nom mais elle seule le disait avec une intonation qui lui était propre à elle.

Un cours moment, j'eus peur de me retourner, de me dire que tout ceci n'était qu'un rêve.

De me retourner et voir qu'en réalité elle n'était pas là.
De voir que ma mère n'était pas là.

Toujours entrain de me torturer moralement
La voix se fit de nouveau retentir
Plus aucun doute elle était là.

Après toutes ces années j'allais enfin revoir ma mère, je regardais ma femme sans pouvoir rien dire.
Elle soutenait simplement mon regard ; signe d'encouragement.

Alors, fin des comptes je daignais enfin à me retourner.
Dans son regard je lus premièrement du désespoir, pour enfin laisser place à une tristesse immense et un léger soulagement.