Chapitre 24

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PDV d'Aaron

Je suis dans ma chambre, affalé sur mon lit regardant le plafond, à penser à mon père. Je ne l'ai pas revu depuis le soir de Noël. Je lui en veut tellement pour tout ce qu'il a fait à ma famille et aussi à la famille de Gaby. La pauvre Zoé, l'imaginant avec mon père me donne envie de gerber. J'espère ne plus jamais le revoir.

Quelqu'un toque à ma porte. Je souffle un petit entrez. Ma mère passe sa tête dans l'entrebâillement de la porte. Elle me fait un faible sourire. Je m'assois sur mon lit, elle rentre et s'assoit à côté de moi. On ne dit rien pendant un moment. Je sais qu'il faut qu'on parle mais d'un sens j'ai peur de la vérité. Ma mère à la tête baissée. Je l'entend renifler, je la lui relève, elle a les larmes aux yeux. Je l'a prend directement dans mes bras, en lâchant moi aussi ma petite larme. Mais il faut que je reste fort pour ma mère. Il faut que je l'a soutienne et que je sois l'homme de la maison à présent.

- Je suis tellement désolé pour tout ce qu'il s'est passé ces derniers temps, mon chéri. Chuchote-t-elle. Je m'éloigne d'elle et la regarde.

- Non, maman c'est moi qui m'excuse, je n'ai pas su te protéger. J'aurais dû réagir bien avant. Je savais qu'il voyait d'autre femme mais je n'ai jamais rien dit, parce que je ne voulais pas te faire de mal. Tout ce qu'il a fait c'est impardonnable. Je ne le laisserais pas pourrir notre vie une fois de plus. Maintenant c'est toi et moi à jamais. Je lui confie.

- On va devoir s'en allez, Aaron cette baraque lui appartient, on ne peux pas rester ici.

- T'en fait pas, je mis était déjà préparer, j'ai trouver un super appart pour nous deux. On a une visite de programmé demain à 15h. Je lui dis.

- Merci mon fils. Je t'aime tellement si tu savais...

- Je sais maman, moi aussi je t'aime. Mais il faut que tu m'explique pourquoi il est revenu à Noël ?  Il ne devait pas être là, après tout ce qu'il a fait.

- Je sais, mais il est arrivé vers 18h, et il m'a menacé que si je te prévenais qu'il était là, il nous ferait du mal à tout les deux, et à Gaby. Il voulait nous faire du mal une nouvelle fois, et j'ai compris par rapport à quoi. Il voulait te faire du mal ainsi qu'à Gaby avec ce qu'il a fait à Zoé. Je me tend à ces mots. Quel ordure ! Je le déteste !!!

- On repart à zéro tout les deux, sans lui. Et s'il t'approche je veux que tu m'appelle directement. Je ne supporterais pas qu'il te fasse du mal à nouveau. S'il le faut, on portera plainte. Mais il faut aussi que vous divorciez. Il faut qu'on prenne un avocat et qu'on fasse le nécessaire pour qu'il n'obtienne rien de nous. Je vais me renseigner dans la semaine. J'explique à ma mère.

- D'accord, je t'aime chéri.

- Moi aussi maman. Je l'a reprend dans mes bras et la sert contre moi. La sonnette de la maison nous interrompt. Ma mère se lève et sort de ma chambre pour allez voir qui c'est. Je l'entend vaguement parlé. Quelqu'un monte l'escalier. La porte de ma chambre s'ouvre et laisse place à ma petite amie. Je me lève et l'a prend dans mes bras, en n'oubliant pas de l'embrasser sur le front. Je sais qu'elle adore ça.

- Coucou toi. Elle me dit en s'écartant de moi.

- Coucou ma puce. Ca va ?

- Très bien et toi ? me répond-t-elle. On s'assoit en tailleur dans mon lit et je lui explique la conversation que je viens d'avoir avec ma mère, elle est d'accord avec moi, et m'aidera si besoin.

1h plus tard nous sommes toujours dans mon lit à discuter.

- Sa te dit d'aller en ville ? Elle me demande.

EnnemiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant