Chapitre 27.

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Bah oui, après les pégases, les naïades et les dragons, pourquoi je n'y ai pas pensée! Je comprends parfaitement, maintenant pourquoi le Dieu grecque ma conseillé de venir la voir Elle. C'est sûre qu'avec ses compétences magiques, elle peut m'aidé. J'ai bien hâte de découvrir ce monde plus en profondeur, il doit recelé d'encore beaucoup d'autres secrets. Bref, après mettre remis de son aveux, elle nous enjoint de la suivre dans l'arrière boutique. Elle m'apprend que toutes les boutiques d'apothicaires sont à des sorcières. Elles sont les meilleurs en ce qui concerne les mélanges d'ingrédients et leurs effets.

L'arrière boutique, comme Rosa l'a appelé, est rectangulaire et qui à première vue semble aussi long que la boutique principale, mais d'environ trois mètres de largeur. Assez pour contenir un plan de travail avec un mortier et plusieurs étagères remplis de gros livres usés jusqu'à la corde, d'ingrédients plus étrange les uns que les autres, de pierres précieuses, de métaux ou de fioles empli de liquides multicolores. La sorcière farfouille dans ses étagères, à la recherche de je ne sais quoi. Pendant un petit moment, elle regarde ses ingrédients, prenant ce qu'elle a de besoin, mais également un genre de caillou et quatre fioles rempli d'un liquide turquoise.

Une fois le tout disposé sur la table de travail, elle comptabilise pour être sûr de ne rien avoir oublier et repart vers une autre tablette, cette fois remplis de grimoires, j'imagine. Rosa dépose le gros bouquin à côté des divers ingrédients et l'ouvre pour le feuilleter jusqu'à la bonne page, je suppose. Penché sur une de ses épaules, je peux distingué l'écriture qui ne ressemble en rien à ce que j'ai déjà vu. Elle prend le caillou à l'allure gris foncé, presque noir, aux reflets métalliques dans sa main, lever devant elle et commence à réciter une formule du grimoire. Il me semble qu'elle l'a répété plusieurs fois, mais après la deuxième, je crois, une faible lumière s'échappe de sa paume et de petits scintillements se font. Au fur et à mesure de son monologue magique, les petits éclats de lueurs se changent en fine corde argentée qui s'attache à la petite pierre précieuse qui est emprisonnée par un fil argenté aussi. La lumière et les scintillements s'arrête en même temps que la sorcière finit de psalmodier son incantation.

Elle pose le bijou qu'elle vient de créé, pour prendre son mortier, à la place. Elle y place les ingrédients choisi plus tôt et commence à les piller. Ses gestes sont réfléchi et calculés. Cela se voit qu'elle n'en est pas à sa première fois. D'ailleurs je me permets de lui poser deux, trois questions sur elle et son espèce.

— Désolé si je dérange, mais j'aimerai savoir... je commence en suspendant ma phrase pour lui laisser le loisirs de répondre ou non à ma question.

— Oui? fit Rosa sans pour autant détourner le regard de son travail.

— Comment les sorcières ont atterri à Caelestis? je demande, curieuse.

— Les sorcières ont été présente dans l'antiquité, mais vraiment très peu nombreuse. Nous avons commencé à nous accroître dans les débuts du Moyen Âge et c'est aussi pendant cette période que les persécutions sont arrivé. Nous avons oeuvré dans la discrétion, laissant le temps faire son effet et amoindrir les doutes du peuple sur nos activités magique. Ce n'est qu'à l'Époque moderne que tout a repris, mais cette fois-ci en bien pire. Ce qui a été autrefois des avertissements ou des peines d'emprisonnements légères se sont transformé en exécutions publiques! La potence et le bûcher sont devenu nos sentences obligatoires, si pris la main de le sac. Quelques innocents ont été accusé à tors et ont péri dans les flammes ou au bout d'une corde, mais la grande majorité ont été des sorcières. C'est avec les procès des sorcières de Salem, dont ma mère a fait parti, en 1693 que Zeus a décidé de sauver les dernières d'entre nous, conclu Rose en même temps de lâcher son pilon.

C'est fascinant! Quoique bien triste, je compatis, mais toutes ces histoires sur le regroupement des dernières espèces d'êtres ou créatures ici est juste captivant. Tout cela suscite mon intérêt, pouvant écouter plusieurs heures sur ces sujets de disparitions d'espèces. Toutes ces raisons différentes qui ont poussé les humains à les détester et en avoir peur. Sans le savoir, Rosa a répondu à mon autre question. Celle de savoir son âge. Sa mère a péri sur le bûcher des sorcière de Salem, donc elle a plus de 327 ans.

Archange - T1: Le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant