Oui, nous parlons toujours de notre dieu adoré, oui, la même depuis 32 000 chapitres.
Notre dieu adoré qui, il faut le rappeler, est directeur d'un centre pokémon.
Et aussi c'est un dealeur mais ça on y reviendra dans le chapitre nommé "La drogue, à consommer sans modération".Bref, d'habitude, dans son patelin pommé, les nuages étaient de mise et les jours de soleil étaient rares.
Enfin pas tant que ça mais pour un gars ne sortant qu'une fois par mois, c'était rare.Il n'avait jamais aimer le soleil, sa mère l'obligeait à aller dehors dans ces moments.
En plus, lors des canicules, il était capable de dormir sur son carrelage glacé et recouvert de glaçons.
Et ça c'est quand il faisait 20 degrés.Au contraire, qu'il fasse -32 ne l'empêchait pas de se mettre en t-shirt et de dire "Il fait un peu froid, tiens."le culot.
Une vrai tête à claque j'vous dit.
Enfin, sa mère lui avait demandé de sortir et pour une fois, il avait accepté pour une obscure raison.
Rendez-vous compte putain, c'est incroyable, pour une fois qu'il écoute quelque chose.
Enfin, il s'était équipé en conséquence pour cette expédition dangereuse.
Trois épaisses couches de crème couvraient les parties exposées de son corps, c'est à dire, le visage.Il portait un épais pantalon, des bottes, trois gros pulls, des gants, un bonnet, cinq paires de lunettes de soleil.
Il espérait ne pas attraper de coups de soleil, ainsi exposé.
Il ouvrit la porte, sentit une brise fraiche s'infiltrer et caresser sa nuque, seul endroit un peu exposé, à part son visage.
Pas après l'autre, il se retrouva sur la terrasse, à l'ombre d'une pergola.
Il quitta la terrasse à pas lents, dernier rempart entre lui et le soleil.
La lumière brûlante tapa dans ses yeux, malgré les lunettes et le dieu eut le réflexe de cacher ses yeux.
Soudain, une faille se créa entre le gant et les pulls et le soleil en profita pour l'attaquer.Il tomba au sol, gémissant de douleur, il riposta en rajoutant une couche de crème solaire sur la peau mis à nue.
L'enemi continua à l'attaquer ainsi jusqu'à ce qu'il ait trouvé son seul point vraiment sensible.
Ses yeux.
Il rusa, attendant qu'il fasse tomber ses lunettes une par une.La première paire tomba, il marcha dessus sans faire attention et la cassa.
Le blond pleura cette douloureuse perte et doubla d'effort pour venger la défunte.La deuxième paire tomba alors qu'il fonçait se mettre à l'abri sous une arbre.
Il ne pouvait pas risquer d'aller la chercher et lui souhaita bon courage.Le vent se leva, il en profita pour l'aveugler avec sa lumière.
Il tomba et se mit à ramper vers un deuxième arbre plus feuillu.
Ce fût là que la troisième paire du lunettes périt, il ordonna à Léonard de vivre avant de prendre sa dernière respiration.Il ne lui en restait plus que deux à présent.
Le soleil usa de diverses astuces pour le forcer à quitter son repaire.
Ce qu'il dût alors faire mais ses avant-dernières lunettes restèrent accrochés à une branche particulièrerement bien placée.On appelle ça la flemme de donner une meilleure raison.
À court de réfuges, il n'eut que le choix de se mettre à sprinter jusqu'à sa maison.
Il s'écorcha bras et jambes, malgré les épaisses couches de vêtements mais durant sa dure course où le soleil la talonnait, il trébucha et ses dernières lunettes succombèrent sous le choc.Ses yeux le brûlèrent directement et il reprit sa course, pleurant les défuntes.
Il se souviendrait longtemps, des derniers mots qu'elles avait prononcées.Il dût se débarrasser de deux pulls, des gants et de son gros pantalon, révélant un jean noir dessous.
Cependant, il conserva son bonnet, au cas où ses cheveux prendrait un coup de soleil.
Du génie je vous dis.
Étant ainsi plus léger, il doubla d'allure et pût passer le seuil de la porte, la claquant derrière lui, bloquant son enemi.Le blond s'appuya contre la porte en reprenant son souffle, son coeur battant à toute allure.
Épuisé, elle passa devant sa mère, qui était en train de composer une énième fois, le numéro de son psy.Traînant les pieds, il rejoignit sa chambre plongée dans le noir où Yann l'y attendait nerveusement.
《Ça s'est passé comment? lui demanda-t-il.
- Encore une bataille de perdue, mais je remporterais la guerre.
- On devrait avoir des alliés.
- Oui, j'ai pensé aux carafes, proposa-t-il.》
Yann eut une mine intéressée, après tout, les carafes et lui avait longtemps été en conflits.
Il le pressa de continuer, curieux.《C'est simple, on a un enemi commun, le soleil donc..
- Ah, oui j'avais oublié.》
Voilà comment se passa la 367 ème bataille contre le soleil.
À suivre~
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LA SECTE FURTIVE
LosoweJ'entend le loup, le renard et Ombrefurtive, J'entend le loup et Ombrefurtive chanter! BIENVENUE DANS LA SECTE FURTIVE, ~~~ Dans la salle de classe vide, tout était censé être bien rangé, ça l'était, à moitié. Les bureaux et chaises de 4 des 5 rangé...