La drogue, à consommer sans modération

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Comme dit précédemment, notre gourou à tous, alias Léonard, Liam AkA Ombrefurtive, est un dealer. Faites pas genre vous le saviez pas puisque vous lui tous acheté de la drogue, sauf si vous êtes une personne extrêmement sale.

Mais bon, revenons-en aux faits. Votre servant, qui est quand même un dieu, aime consommer et vendre de la drogue. Mais vous êtes peut-être purs et ne comprenez pas ce que j'écris.                                                                                                                                                                  Auquel cas, je vous conseille vivement de déposer votre âme dans le petit panier prévue à cet effet disponible à votre gauche.
Mais peut-être que vous attendez patiemment que je passe à la suite parce que vous avez passé une journée de merde et que vous voulez rire un bon coup.                   
 
Auquel cas je vous installe dans le canapé, lit, toilettes et vous laisse commenter cette magnifique histoire qu'est ce livre.

Bref, quel est le but de ce chapitre?

Nous n'en savons rien.

Pourquoi la poubelle là-bas tourne en rond?

Probablement parce qu'elle est tombé en dépression suite à l'oubli d'un éboueur.

Mais plus important encore, voyez-vous là-bas dans l'ombre de cette ruelle deux silhouettes à l'air louche échangeant des chose?

Juste des otakus très chelous.

Tout ça pour dire que le monde est cruel, qu'on croit ce qu'on veut voir au lieu d'essayer de comprendre.

Ce monde est cruel parce que moi, Narrateur, n'ait pas le droit de passer au véritable chapitre.
Et malgré ça, je pense à vous, vous qui avez passé une journée de merde et qui lisez patiemment ces lignes dans l'espoir de pouvoir rire un peu.
Ce qui évidemment, arrivera et même un peu plus tôt que prévu.

Et voilà, il est l'heure de passer en mode narration, de vous expliquer le pourquoi du comment.

HUMHUM.

Le jeune blond tremblait d'exitation.
Il était aussi un peu nerveux mais il passait outre cette sensation étrange.

Dans sa main droite, un objet enveloppé dans un vieux torchon salit par l'âge, et troué d'un côté.

Il le serrait autant que possible, par peur de le perdre ou qu'on lui vole.

Il trouvait ça étrange qu'il soit autant attaché à cet objet mais il supposait que c'était normal, évidemment.

Son téléphone était allumé dans sa main libre et il regardait souvent si il n'avait pas reçus quelques messages.

Appuyé contre un mur, io ne cessait de regarder autour de lui pour voir où était la personne qu'il recherchait.

Cela faisait désormais une bonne demi-heure qu'il l'attendait mais il se forçait à patienter et ne pas partir.

Des enfants le regardait parfois et avant qu'ils ne parlent à leurs parents, il leur lançait un regard si noir qu'ils rentraient la tête dans les épaules et s'accrochaient aux bras des parents.
Si noirs qu'ils décidèrent de ne plus péter pour sauver la planète.

Sa jambe tressaillit, il essaya de paraître le moins suspect possible.

Chose impossible avec son pull arc-en-ciel qui descendait jusqu'à la moitié de ses cuisses, son absence de pantalon et ses chaussures jaunes fluo.
Ainsi que son bob, à motif léopard.

Enfin, un homme en noir, capuche sur la tête arriva, il soupira à sa vue et attrapa son poignet en l'entraînant vers un magasin de vêtements.
Il le poussa dans une cabine d'essayage et le retint contre le mur.

《Quand je t'ai dit de t'habiller de façon à te reconnaître c'était pas pour que tout le monde sache que t'es un dealeur putain. Un dealer qui a de mauvais goût.》

- Déjà tu te calmes je t'ai permis de critiquer mes goûts vestimentaire ? Oui c'est vrai, dis ce que tu veux, et si tu veux vraiment ta dose tu me paies d'abord.》

Il fronça les sourcils, se mordilla la lèvre inférieure et finit par soupirer.
Il finit par le lâcher et il pût se décoller du mur.
Il sortit de sa poche une liasse de billet de cinq et la lui tendit.

《Les cinquantes en billets de cinq.》

Il l'attrapa entre deux doigts et les compta rapidement.
Il y avait le compte.
Enfin il pensait qu'il y avait le compte parce qu'il ne savait pas compter aussi vite que les mafieux dans les films, et de toutes façons il était sûr que c'était impossible.
Mais soit, même trois euros lui aurait suffit, et elle pouvait aisément dire qu'un billet de cinq valait plus que trois euros.
Il sourit et lui tendit le paquet.

Il se dépêcha d'enlever le tissus et ouvrit le bouchon du gel douche pour en renifler le contenu.

《C'est de la pomme verte?

- Ouaip, ton parfum préféré.》

Il referma le bouchon, l'air enchanté et le remercia plusieurs fois avant de repartir en roulant du cul.

Il frappa sa tête contre le mur de la cabine d'essayage en le voyant ainsi bouger ses hanches.

Quand je vous dis que vous lui avez déjà acheté de la drogue.

LA SECTE FURTIVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant