Chapitre 29

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PDV Externe :

Jack : sauvée par le gong.

Les 3 agents sortirent de la voiture. Devant eux se dressait un petit bâtiment de plein pied délabré modestement appelé "commissariat". Il n'y avait pas de cour ni de haut portail sécurisé, simplement un grillage avec un cadena qui devait faire office de portail. Le "commissariat" était encerclé par la verdure.

Jack : eh ben ! Quand on sait que la plupart des dangers publiques sont passés par ici, on comprend mieux pourquoi ils ont été transférés chez nous ! Vous avez vu ça ? On dirait une grange que Mac à fait explosé !

Candice : c'est peu flatteur pour lui, elle est encore debout.

Jack : vous êtes sûr que c'est le commissariat ?

Pour toute réponse, Mac lui montra un vieux panneau caché par la verdure indiquant "commissariat". Ils entrèrent. A l'intérieur, il y avait un grand bureau qui faisait office d'accueil. Sur le côté droit, 2 longs bancs étaient disposés, servant de salle d'attente. L'accueil du commissariat paraissait tout de même moins délabré que la devanture.

Jack : j'ignorais que les mexicains étaient fauchés à ce point !

Mac : peut être que ce ne sont pas les mexicains qui sont fauchés mais leur gouvernement qui ne sait pas géré leur argent !

Candice : en même temps, quand on a une économie qui repose sur la drogue...

Une jeune femme métisse s'approcha d'eux l'air souriante.

La jeune femme : bonjour, c'est pour déposer une plainte ?

Candice : non, nous sommes des agents de la Fondation Phoenix. Nous venons cherchés Hector Martinez.

Elle appuie sur la poignet et la porte s'ouvre un grand bureau très éclairé et bien équipé. Un homme est assit sur sa chaise et dès qu'il nous voit, il se lève et vient directement nous saluer.

... : vous êtes de la Fondation Phoenix, je suppose ?

Candice : c'est cela oui. Je suis l'agent LeBlanc et voici l'agent Macgyver et l'agent Dalton. On vient récupérer le paquet.

... : je me doute oui. Mais avant toute chose, je dois dire que je suis agréablement surpris.

Candice : ah bon ? Et pourquoi ?

... : je ne m'attendais pas à un tel physique de votre part. dit-il en me matant. Si j'avais su, j'aurais sorti le grand jeu.

J'entendis Jack soufflé un mot à Mac.

Jack : ça y est, c'est reparti ! Encore un !

Candice : et moi, quelque chose me dit que je vais pas tarder à le sortir, le grand jeu. dis-je sur le même ton que lui.

Mac : attends, elle est sérieuse là ? Elle croit franchement qu'on a le temps pour ce genre de choses ?

Jack : attends 2 minutes, tu vas voir, ça va être drôle !

... : vraiment ? dit-il en se rapprochant de moi.

Candice : oh oui ! Mais dites moi, c'est quoi votre grand jeu à vous ? dis-je en posant mes mains sur ses épaules et en lui entourant le cou.

... : eh bien, un costar noir, une Ferrari, un dîner aux chandelles dans un chic restaurant avec une magnifique vue, du champagne, une chambre à l'hôtel et je vous laisse imaginer le reste. Et vous ?

Candice : oh moi, cela varie, une paire de claque dans la gueule, un coup dans les couilles ou éventuellement un coup de boule... Ca m'arrive de faire les 3 d'un coup des fois. Mais ça, c'est réservé aux petits policiers qui me drague et qui essaient de me foutre la main au cul. Alors, on commence par laquelle, la droite ou la gauche ? dis-je en montrant mes mains prêtes à le tarter.

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