Une deuxième chance

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Un mois après l'enterrement, de Rose.

J'étais dans la salle de bain, en train de me regarder devant le miroir, je posais ma main sur mon ventre. Et l'es flashback, revenaient d'un seul coups.

Flashback, il y a un mois:
Cimetière de Madrid.

Le prêtre faisait la cérémonie est quand il avait finit, il disait: - Quelqu'un d'autre veux dire quelques choses?
Je levais ma mains, il me laissait place à côté de lui, puis je prenais ma lettre que j'avais préparée, moi-même.

Eve: «- Ma mère et moi ce n'était pas tout beau tout rose, c'est vrai qu'elle n'était pratiquement jamais là avec moi, mais quand ont se voyaient pendant un week-end, c'était comme ma meilleure amie. Ont se racontaient nos problèmes, nos petits amours, nos petits secrets, tous. Depuis que notre père est partis de la maison, c'est là que toute à commencé. Les problèmes qu'ont avaient entre nous sont revenus, puis quand elle a voulut m'emmener en Espagne à Madrid. C'est là, aussi que toutes a changer, tous mes amis m'ont trahis, est après la vie ont décidaient aussi de m'enlever, ma mère. C'est vrai que je n'ai pas eu une enfance heureuse, est une vie normal, mais ma mère était tout pour moi, je n'avais plus qu'elle jusqu'à présent. J'ai jurais que je ne serais plus moi-même, mais une autre personnes. Parce que, non seulement, ma vie m'a enlevé ma mère, mais, elle m'a enlevé moi.»

Je voyais Áron, est tous les autres me regardaient avec du regrets, mais je n'en avais rien à faire maintenant. C'est eux qu'ils ont choisis de me faire subir ça, pas moi. Je regardais le prêtre, il me regardait avec de la pitié, je n'aimais pas ça, il s'approchait de moi, est me disait: - S'il vous plaît ma fille, ne perdait pas espoirs, la vie peux vous offrir pleins de bonnes choses. N'oubliez jamais ça.

Eve: C'est trop tard, mon père. La vie, m'a déjà perdus.

Le prêtre toucha mon épaule, est me répondait en souriant: - J'en doutes, il n'est jamais trop tard.
Il regardait de l'autre côté, je suivais son regard, est son regard était tourné vers Áron.
Áron, était en train de déposer une rose sur la tombe de ma mère, il me regardait ensuite est me lançait, un léger sourire.

Le prêtre: Tout le monde à le droit à une secondes chances, même ceux qui font les pires erreurs.

Je baissais ma tête, puis quand, il était partit je réfléchissait. Je regardais à nouveau, Áron, puis je me disais que le prêtre avez peut-être raisons. Allez Eve, saisi ta chance. Je m'avançais vers lui, alors qu'il commençait à partir, je criais par son prénom, il ne me répondait pas, alors, je décidais de l'attraper par sa mains. Il se retournait rapidement, est me regardait en souriant.

 Il se retournait rapidement, est me regardait en souriant

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Áron: Tu me veux quoi, Eve Rodríguez?

Je regardais ses yeux, est ensuite mon regard est descendu sur ses lèvres. Tout ce que j'avais envie là maintenant, c'était de l'embrasser.

Eve: J'ai qu'une envie c'est juste de t'embrasser, Áron Piper. 

Áron: C'es réciproque.

Il posait ses mains sur mes joues, comme, si il voulait couvrir mon visage, ensuite, il déposa ses lèvres sur les miennes, est m'embrassait fougueusement. Je prolongeais son baiser, en étant tendre. À bout de souffle, ont décidaient tout les deux d'arrêter, il posait son front contre le miens, il fermait ses yeux est souriait. Áron caressait mes joues avec ses pouces, est je lui disais: - Ce baiser, était...

Áron: Magique?

Je le regardais en souriant est je lui répondais: - Magique, oui.
Il rigolait, puis, il me prenait dans ses bras.

Ester: Allez viens Áron, ont doit partir!

Eve: Non reste, s'il te plaît.

Áron: Moi aussi j'en ai envie, mais, je dois partir. C'est urgent.

Je soupirais, je relevais ma tête vers lui, puis il me donnait un dernier baiser, avant de me laisser toute seule.
Mais quand il allait dans sa voiture, une autre voiture arrivait, mais, je ne pouvais pas voir cette personnes, parce que là vitre était teinté en noir.
Quand il ouvrait la fenêtre, la personnes sortait sa tête de sa voiture, avec une cagoule noir, est un pistolet. Áron, me regardais une dernière fois en souriant, je regardais le mec qui était avec une arme à feu. Il positionnait son pistolet à l'endroit où il voulait me visait, je n'avais pas eu le temps de voir la réaction de Áron, alors que le tireur m'avait déjà tiré dessus.

Áron: Eve! Non!

Je ne pouvais plus le voir, alors, que j'étais déjà par terre, le sang couler sur mon ventre. Est, je tombais dans les pommes.

Meet Arón PiperOù les histoires vivent. Découvrez maintenant