Chapitre 32 (C)

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Je me détacher de Mathieu et partis avec Aaron vers l’ancienne maison de mon grand père. Sa maison était et est toujours la source de sa force, il a vécu jusqu’à sa mort avec ma grand-mère et quatre chiennes. J’y passais quasiment tous mes week-end et mes mercredis après midi, donc je connais cette maison par cœur. Je ne sais même pas si elle est toujours debout ou si elle à été détruite. Au bout de dix minutes de marche dans un silence de mort nous arrivions au bout de la rue, trois maisons plus tard, nous nous retrouvions déjà cette maison qui contenait tellement de souvenirs de mon enfance. A ce que je pouvais voir, la maison n’était pas habiter et encore mieux, elle n’avais pas était habiter depuis que ma grand-mère était décédée. Aaron et moi rentions dans la cour. Revenir dans cet endroit où j’avais passée tellement de temps, ce n’était pas qu’une simple maison pour moi, elle y abriter bien plus.  Nous passions par derrière pour ne pas nous faire remarquer, heureusement l’alarme avait été déconnectée. Je montrais assez vite les pièces à Aaron, puis nous allions dans l’ancien salon de mes grands parents. Je posai mes mains contre le mur, Aaron mit sa main droite sur ma main gauche et sa main gauche sur le mur. Ce connectai à la maison était notre seul moyen pour pouvoir un contact avec notre grand père.

…. : Cher enfant, que faites vous ici ? Dans nos pensées.

Moi : Nous voulons te parler. A voix haute.

George : En êtes vous sur ? Dans nos pensées.

Aaron : Bien sur, montre-toi. A voix haute.

George : Si je n’en ai pas envie ? Dans nos pensées.

Moi : S’il te plait. A voix haute.

Lui parler gentiment me faisais tellement mal, après tout ce qu’il m’avait fait subir, être gentille avec lui était juste horrible.

Aaron et moi nous nous tenions toujours la main, et c’est dans cette position que nous arrivions dans le noir complet. Quelques secondes après, notre grand père apparaissait devant nous.

George : Kyara, Aaron quel plaisir de vous voir.

Moi : Ce plaisir n’est pas partager, tu dois bien t’en douter.

George : Bien sur, mais Kyara étaistu obliger d’envoyer Arthur dans le Néant ?

Moi : Oui, vraiment désolé mais il fallait que je retrouve ma vie d’avant et je l’ai presque retrouvée.

George : Tu sais j’avais prévenu Arthur que tu avais de nouveaux pouvoirs, mais il ne m’a pas cru, à ses dépends.

Moi : Comment la tu sus ?

George : N’oublie pas que je vous surveille, toi et ton frère, ce n’est pas parce qu’Aaron m’avait demandé de ne plus te faire de mal que je ne te surveiller pas.

Moi : C’était toi la présence que je sentais.

George : Je vois que tes pouvoirs sont vraiment plus forts, tu arrive à détecter la présence d’un esprit.

Moi : En même temps tu ne te cache pas beaucoup.

George : C’est drôle quand même, tu a vécu avec une personne ayant des pouvoirs toute ta jeunesse et tu ne l’a même pas remarquer.

Moi : Je ne pouvais pas le remarquer, je ne te voyais pas beaucoup enfin si mais pas quand j’ai commencée à savoir pour mes pouvoirs.

George : Je ne parlais pas de moi. Avec un sourire de victoire.

Supernaturel Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant