Chapitre 24 (C)

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Ce fut le mot de trop, je n’en pouvais plus, ne plus être proche de lui comme je l’étais me rendais malade. Je finis par déposer mes lèvres sur les siennes, ce qui seller nos sentiments. Je savais maintenant ce que je ressentais pour lui, et c’était bien loin de l’amitié et ce n’étais qu’à une marche de la haine.

Enzo Ce détachant de moi. : Tu m’expliques ?

Moi : Je ne sais pas, une pulsion, je pense, mes sentiments d’avant ses six mois.

Enzo : Tu veux dire que tu étais amoureuse avant de partir en Angleterre ?

Moi : Heu oui.

Enzo : Pourquoi ne pas me l’avoir dis ?

Moi : J’avais peur de ta réaction.

Enzo : Et maintenant tu n’as plus peur ?

Moi : Eh bien on dirait que non.

Enzo : Qu’es ce qui a changé ?

Moi : Je n’en sais rien, peut-être que j’ai grandi dans ma tête, que j’ai pris conscience des sentiments que je pouvais avoir pour toi.

Enzo : Alors tu envisage quelque chose avec moi ?

Moi : Peut-être, je ne sais pas du tout, je ne sais pas non plus pourquoi je t’ai embrassé, ou ce que je fais là.

Enzo : Qu’es ce qu'il te trouble ?

Moi : Je ne suis plus celle que je suis, je ne sais pas ce qui a changer, peut-être que pendant ces six derniers mois, quelque chose à changer en moi et que je ne m’en rends pas compte.

Enzo : Le fait que tu es des sentiments pour James pour-être ?

Moi : Oui peut-être mais je ne peux rien affirmer.

Enzo : Si on laissait passer une nuit et que demain matin on en discute avec James, puisque à ce que je vois tu es complètement pommée.

Moi : Oui pourquoi pas, c’est une bonne idée.

Enzo : J’ai toujours des bonnes idées.

Moi : Narcissique va.

Enzo : Mais.

Moi : Rooo, pauvre petit chou. En lui tirant les joues.

Enzo En retirant mes mains. : Arrêteuuh tu sais que je n’aime pas quand tu me fais ça.

Moi : Oui je sais.

Enzo : Pff tu es méchante avec moi.

Moi : Oui ça aussi je sais.

Enzo : Bon, je laisse tomber t’en fais qu’à ta tête.

Moi : Tu n’arrives plus à me supporter ?

Enzo : Non tu m’énerve.

Moi : Je sais.

Enzo : Mais en fait tu sais tout ?

Moi : A peu près oui.

Enzo : J’ai trouvé quelqu’un de plus narcissique que Matthew.

Moi : Et je l’assume.

Enzo : Mdrr, allez vient Einstein.

Moi : Gina gnia gnia. En lui tirant la langue.

Supernaturel Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant