Supernaturel Tome 2

Chapitre 34 (C)

Après que Sébastien est disparu, Aaron et moi partîmes de cette maison, de cette maison qui me faisait tellement mal, j'avais perdu mon grand père deux fois avec sept ans de différence mais mon humeur ne changeait pas, j'étais mal, j'avais perdu deux fois la même personne et j'avais tuée mon géniteur de mes propres mains.

Aaron : Es ce que tu es sur que tout va bien ?

Moi : Oui, je suis juste fatiguée de tout ça.

Aaron : Je n'en suis pas si sur.

Moi : Aaron tu ne sais pas ce qu'il se passe dans ma tête, donc ne pense pas le savoir.

Aaron : Parle moi, je suis là pour toi.

Moi : Je sais Aaron mais je ne suis pas prête, pas après tout ce qu'il vient de ce passer.

Aaron : Tu m'en parleras ?

Moi : Peut-être, je ne sais pas.

Aaron : On rentre ?

Moi : Rentre seul, je reviens dans deux heures grand maximum.

Aaron : Tu as ton téléphone ?

Moi : Oui, ne t'inquiète pas pour moi.

Aaron : S'il y a un problème tu m'appelles tout de suite.

Moi : Oui, ne t'inquiète pas. Dis aux autres que je vais bien, j'ai juste besoin d'un peu de temps seule.

Aaron : Pas de problèmes, fait attention à toi.

Moi : Oui, je suis dans ma ville, je ne crains rien.

Aaron : Mouais, fait quand même attention.

Moi : Oui.

Aaron reparti vers chez notre mère où tout le monde ce trouvait, je partis quand à moi dans la rue parallèle à la rue où il partait. J'avais décidée de partir dans un endroit que je connaissais que trop bien, cet endroit où tout pouvait revenir, où je pouvais craquer sans être juger, car dans cet endroit nous pouvions nous lâcher, personne pour rigoler de vous car la plupart des gens venait ici pour craquer et tout relâcher. J'avais à peut près cinq minutes de marche voir peut-être plus, mais j'avais décidée de laisser mon esprit vagabonder, je pris quinze minutes pour arriver. Je rentrais par cette lugubre porte en fer, je passais à travers les allées, plus je m'enfonçais dans celles-ci, plus une boule commencée à ce former au niveau de ma gorge. J'arrivais devant leurs allée, toujours au même endroit, je vis leur trois noms inscrits dans la pierre, je faisais attention à ne pas marcher sur les autres tombes, le peu d'espace entre la tombe derrière moi et celle devant moi ne me rendais pas la chose facile. Leur tombe était abîmées, j'imagine que ma mère ne venait pas souvent depuis que j'avais disparu, cela ce voyait. Plusieurs fleurs abimées étaient posées sur la tombe, je les enlever pour la plupart appart celle qui était en bon état. Je m'accroupis en face de leur tombe, leur trois prénoms étaient en face de moi, les plaques ayant quelques années déjà étaient toujours aussi belles, je voyais les inscriptions sur chacune d'elles. Les larmes commencèrent à coulées quand je pensais pouvoir commencer mon petit discourt.

Moi : Je sais que je ne viens quasiment pas vous voir, et j'en suis vraiment désolée mais j'ai eu quelques problèmes ces six derniers mois. Vous savez quand la vie ce met contre vous, on ne peut rien y changer, enfin bref. Voir vos trois prénoms sur cette tombe me fait tellement mal, même si je n'en connais que deux, enfin je veux dire que tonton je ne te connais pas puisque tu es décédé bien avant que je naisse, quand à vous papy et mamie, vous avez participés à mon enfance. Je suis venue ici juste pour vous dire que vous me manquez terriblement, maintenant je n'ai plus que cet endroit pour être en contact avec vous, avant papy je pouvais te voir, même si ce n'était pas vraiment pour mon bien tu étais là, mais maintenant seul un vide est présent dans mon cœur. Je voulais juste te dire, enfin surtout à toi papy, que même si j'ai eu énormément mal pendant tout ce qu'il c'est passer, je n'ai pas à te le redire mais même si j'étais mal, je crois que je suis encore plus mal maintenant. Je ne sais pas si vous pouvez me voir maintenant ou même m'entendre mais sachez que vous êtes toujours là, au fond de moi, je sais que vous êtes là et que vous ne me quitterez jamais. Bon voilà, je ne sais pas trop quoi dire d'autre, mais sachez que je vous aime, je reviendrais vous voir quand je passerais en France.