Supernaturel Tome 2

Chapitre 23 (C)

Enzo : On ce retrouve dans la salle.

Moi : Ok.

On parti chacun de notre côté. Après mettre changer avec une jogging noir, des baskets noires, un débardeur blanc et un pull rose.

J’arrivai dans la salle et vis Enzo en train d’installer la sono, il était habillé avec un jogging noir, un pull noir et des baskets noires.

Moi : Alors tu nous mets quoi comme musique ?

Enzo : Animals de Maroon 5 ?

Moi : Oh ouiiii.

Enzo : Prête ?

Moi : Et comment.

Il lança la musique (Maroon 5 - Animals) et je commençai à danser, re-danser comme avant, comme quand j’étais en France me fis tellement de bien. Puis comme j’étais à fond dans la musique, Enzo me mis Chandelier de Sia. Mais pour cette musique Enzo vint danser avec moi, la chorégraphie ce fit toute seule, à force de danser ensemble, Enzo et moi nous connaissions par cœur, ce qui est très pratique quand on danse ensemble. La musique nous donner envie de danser et être l’un et l’autre nous motivaient encore plus.

Après cette danse assez énergique, on bu un peu d’eau, dans des bouteilles qui étaient aussi dans le sac.

Enzo : Alors, encore une ?

Moi : Vas-y-toi, je te regarde.

Enzo : Ok pas de problème.

Il parti vers le poste, et mit une musique que je ne reconnu pas tout de suite, puis après à peine quinze secondes je l'a reconnue, Diamonds de Rihanna. L’une de mes musiques préférées et l’une des siennes aussi. Il dansait encore mieux que dans mes souvenirs, il avait apprit beaucoup de nouveaux pas et il m’impressionner. Quand il eu fini de danser, j’applaudis, il c’était vraiment améliorer.

Moi : Waouh Enzo, tu m’impressionne.

Enzo En s’asseyant. : Merci, tu sais je me suis beaucoup entrainer, et c’était la seule chose qui me retenait à toi quand tu es parti en Angleterre.

Moi : Oh.

Enzo : Eh, ne t’inquiète pas, ça va maintenant.

Moi : Je sais mais je n’étais pas là quand tu en avais besoin.

Enzo : Maintenant tu es là et c’est ce qui compte.

Moi : Oui tu as peut-être raison.

Enzo : J’ai toujours raison.

Moi En explosant de rire. : Ça va tes chevilles ?

Enzo En faisant l’enfant. : Bah oui, regarde j’arrive à marcher. En se levant.

Moi : Tu me tue avec tes conneries.

Enzo : Je saiiiiiis. En me tirant la langue.

Moi : Petit bébé va.

Enzo : Câliiiiiiiiiiiin. En courant avec les bras vers l’avant.

Moi : Petit enfant va, je te boude. Lui tournant le dos.

Enzo En me prenant dans ses bras. : Tu es sur de ça ?

Je sentais son souffle dans mon cou, et ses bras autour de mon ventre.

Enzo : Alors une réponse ?