Dans le Cadre des Mille Films de Ma Vie , je vous propose Un Homme Nommé Cheval de Elliot Silverstein (1970) avec Richard Harris, Manu Tupou, Corinna Tsopei, Juditg Anderson, Jean Gascon et Tub Taylor
En 1825, Lord John Morgan, un aristocrate anglais désœuvré, chasse du gibier aux États-Unis, en territoire sioux, assisté de trois hommes. Bientôt, ceux-ci sont tués lors d'une attaque menée par des guerriers d'une tribu sioux. Morgan est capturé et emmené à leur camp, où il est d'abord traité en esclave. Peu à peu, avec l'aide d'un autre captif, le québécois Baptiste, il se familiarise avec les usages et coutumes de la tribu, dont il apprend la langue. Initié au "rite du soleil", il devient par ses actes un guerrier à part entière de la tribu — qui l'adopte sous le nom de Horse —, et épouse Running Deer, la sœur du chef Yellow Hand...
Pourquoi ce film : Je me rappelle quand j'ai vu ce film, que la première chose qui venait à l'esprit et si j'ôtais de mon esprit le Western et film d'Aventures classique, qu'il donnait une autre image des Indiens, tel que le cinéma nous le montrait depuis tant d'année.
Il rappelle évidement Little Big Man d'Arthur Penn avec Dustin Hoffman tourné la même année mais que j'ai vu bien plus tard, et aussi Danse avec les Loups de et avec Kevin Costner qui s'en est inspiré.
C'est probablement avec ces deux films la fin de la vision des peuples indiens que l'on pouvait avoir de ce côté-ci de l'Atlantique, car pas sur du tout que l'Amérique Profonde cher à un certain Président actuel est changée d'avis, car leurs conditions ont peu évoluées depuis et non pas retrouvés leurs terres ;
Le scénario est adapté du roman de Dorothy M. Johnson, l'avantage et la qualité première du film, est que ce sont de vrais indiens et notamment une Tribu Sioux qui ont joués les seconds rôles figurants ce qui donne une authenticité aux costumes et au visages de ces personnages pleins de bon sens et d'humanités et pas des acteurs blancs grimés comme des poupées mal maquillées pour ressembler à des indiens.
Ce qui fait que cet homme blanc nommé Shunkawakan "Cheval" (Harris) prisonnier de cette tribu va être les conditions à l'envers ce que les blancs faisaient des prisonniers indiens et dans la réalité et dans les films pendant des dizaines d'années, par manque de clairvoyance et de connaissance de la vraie vie des Indiens et leurs us et coutumes.
Des superbes paysages nous envoutent tout le long du film, mais c'est surtout Richard Harris qui va nous nous prendre au corps comme il va le faire avec Running Deer, qui livre une performance incroyable de justesse et de force, rôle qu'il reprendra dans deux films La Revanche d'Un Homme Nommé Cheval et Le Triomphe d'un Homme Nommé Cheval, peut-être de trop, les studios ayant trouvés le filon sans continuité artistique.
Dans ce film Richard Harris et son réalisateur Elliot Silverstein déboulonne le mythe John Wayne, chacun s'en fera une idée de la façon de voir le film et l'histoire.
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LES MILLE FILMS DE MA LIFE
Não FicçãoJe vais poster chaque jour ou presque un des Mille film de ma Vie pas obligatoirement des chefs d'oeuvre (il y en a)mais les films qui ont accompagnés ma vie. Pas de classement seulement du plaisir. Donner votre avis