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Suite à mon agression mes amis et moi avions décidé de ne plus parier, pour eviter les problèmes.
Je ne voyais plus Yann, ce colérique !

J'avais récemment découvert des vidéos, très euh vilaines dans le téléphone de Paul. Mais comment il pouvait regarder ça ? Il est fou lui.
Le pire c'est qu'il me les à envoyer sur Whatsapp. C'est juste dégueulasse.

Je ne les supprimais pas pourtant. Il m'avait dit que même si je n'avais pas de RS avec Myriam, je pouvais moi même me procurer le plaisir.
Il dit que lui même le fait quand Natia est loin de lui.

Tout cela me semblait compliqué. C'est vrai que regarder ses vidéos faisait un truc mais ouf...

En plus c'etait difficile de cacher ma relation à mes parents. Ma mère me demandait tout le temps:qu'est ce que tu fais scotché au téléphone ?
J'inventais toujour des choses:recherches,travail en groupe et j'en passe.
Je suis sûr que ma mère se doute de quelque chose.

Je n'oubliais jamais d'éffacer toutes mes conversations avec Myriam. Non seulement à cause de Myriam je mis des codes partout sur mon téléphone mais aussi à cause de ses vidéos. Il ne fallait en aucun cas que Anthony, ce petit fouineur découvre quelque chose, sinon bienvenu les chantages...

Un samedi, après midi, après avoir étudié, je décidais de regarder un film. Le titre était "Poursuis moi".je m'ennuyais car Anthony et notre ménagère, étaient aller à l'anniversaire d'un de nos cousin.

Dans ce film les personnages clé vivaient une folle histoire d'amour, un peu trop folle d'ailleurs. Le film exposait tout leur ébats sexuel. Le truc que j'ai remarqué c'est qu'ils aimaient ce qu'ils faisaient.
Soudain j'eusse chaud, j'avais envie de ressentir ce qu'ils ressentaient .

Alors pousser par je ne sais quoi, je me dirigeais dans ma chambre, me rappelant que j'avais des vidéos d'acte sexuel dans mon téléphone. Je vérifiais que la porte était fermé à clé et regardais des vidéos...
Bonjour la masturbation.

Le plaisir ne dirais que deux à trois minutes. Après ça je me sentais vide.
Je savais que je faisais quelque chose de mal.
Pourtant...
Quelque chose, toujours, me poussait à le refaire...

Je tiens à ce que personne ne le sache. Cependant j'étais devenu coupable. Je savais que je n'étais plus sans tâche.

J'arrêta le piano, j'arrêta la prière. Il n'y avait plus rien de commun entre moi et Dieu dorénavant.

Je m'occupais plus de Myriam, mes études et mes potes.
Je n'avais pas envie de me lamenter. Non ! Myriam m'aime tellement et moi aussi, la vie est belle !

Une fois Myriam et moi avons falli aller plus loin. Ce qui m'étonne elle se laisse faire. C'est moi qui est mis fin à ça de justesse.


















______Soldat de Christ

JEUNE, JE SUIS.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant