Bienvenue dans mon histoire...
Ma création, une chronique remplie de magie et bouleversement.
Une histoire palpitante entre Matel et Cheick alors accrocher vos ceintures car un long voyage vous attend 😉.
Aussi désolée pour les fautes, je les corrigerai après et svp commentez merci d'avance et aussi bonne lecture.
Zahrachro😇🥰____________
- Matel !
C'était la secrétaire de mon patron, ah, celle-là elle me soûle, elle ne sait pas qu'on doit frapper à la porte avant d'entrer.
- oui sala!
- le patron a dit...
- bonsoir, que puis- je faire pour toi?
- Matel , aujourd'hui je n'ai pas ton temps, si j'en avais, je t'aurais mis une grosse claque.
Moi et elle, c'est comme Paris et Marseille, on ne peut pas se supporter. On se chamaille chaque jour, chaque moment, chaque instant et pourquoi? J'en ai aucune idée.
- je t'écoute sala.
- le patron veut te voir.
- le patron?
- oui et j'espère que ça sera pour ton renvoi.
Elle sort de mon bureau avec un sourire très glorieux. Qu'est-ce que j'ai encore fait ? Je soupire avant d'aller rejoindre le patron dans son bureau. Je toque à la porte.
- Entrez!
Je me racle la gorge avant de pénétrer dans le bireau du bosse,mon patron quant à lui était debout derrière la vitre fermée et regardait l'horizon.
- monsieur Aïdara vous m'avez appelé?
- oui mademoiselle sall, prenez place s'il vous plaît.
Je prends place tandis qu'il fixait l'horizon. Le soleil était au zénith et offrait une belle vue de Dakar. Il se retourne et vient s'asseoir à son tour.
- Mademoiselle Sall!
- oui monsieur Aïdara
- Alors comment se passe le travail?
- bien monsieur Aïdara.
- je suis au courant que vous avez encore eu des différents avec mademoiselle Ndir.
Han? Mais comment est- il au courant? Thiii, c'est fini je vais être renvoyée. Mais comment vais- je entretenir ma famille?
- mais monsieur Aïdara c'est elle...
- je sais que vous n'êtes pas fautive dans l'histoire.
Oui, monsieur Aïdara m'a toujours fait confiance et je lui en dois beaucoup, c'est grâce à lui, que je suis devenue celle que je suis aujourd'hui.
- Alors comment va votre mère?
- elle est toujours malade.
Je baisse mes yeux vers le sol en jouant avec mes doigts.
- je suis vraiment désolé pour vous.
- ne vous inquiétez pas.
- si je vous ai appelé ici c'est pour vous parler de quelque chose.
- je vous écoute monsieur Aïdara.
- vous savez que vous me devez une faveur n'est ce pas?
Oui, biensur monsieur comment puis-je l'oublier?!
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La faveur de mon patron (En Correction)
General FictionMatel Fatima Sall n'aurait jamais imaginé croiser le regard de Cheikh Ahmed Aïdara. Pourtant, leurs chemins se croisent lorsqu'ils se retrouvent liés par une convention de mariage, fruit d'une promesse faite dans le passé. Au Sénégal, le mariage est...