La pente

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Il faisait beau. Un beau temps de printemps, ni trop chaud comme en été, ni top froid comme en hivers. Les oiseaux chanter sur leur branche, prêt de leurs nid, près de leurs enfants. 

Une femme porter un bambin joufflue, un regard triste et remplis de douleur.

Un groupe de fille habillée pour être vue, maquiller en peau de peinture, avait dans leurs yeux des regrets, d'autre un petit sourire vainqueur.

Un autre groupe de garçon, cheveux rasé en raton laveur mort et desséché sur la tête, veste en cuire et tous identique pour montré leur domination certaine, n'en menait pas large.

Le professeur, en retrait, mis sa main sur la bouche.

Un jeune homme qui se foutait bien des gonzesse trop maquillé ou des garçon manchot, ne savais pas comment réagir.


***


Aujourd'hui est un autre jour. Le jeune homme se leva avec cette pensé, il espéré de tout cœur qu'aujourd'hui soit mieux que les autre jours. Mais il en douté. Il ne pris pas la peine d'ouvrir ces volet, le noir qui englober sa chambre lui plaisait. Il pris des affaires noire dans son armoire, remis sa mèche noire au bout violet bien en place. Il alla ce voire dans la glace. Son reflet lui renvoya une tête blafarde, une mèche cachant tant bien que mal son visage. Des piercing décoré ses oreilles. Il se demander si il se mettait à s'habillé comme le monde le voulait, peut-être que si il n'été plus lui, peut-être que si il été se que la société attendait de tous, peut-être pourrait-ils arrêter.

Il ouvrit le placard de la salle-de-bain, pris les cachets que sa mère prenait pour dormir, puis alla dans la salle. Sa mère essayer de donner à manger à sa petite sœur qui n'été pas compatissante pour un sous avec cette femme qui se donner corps est âme à elle. Sa mère baissa la tête, ne le vit même pas.

Il aurait aimer qu'elle se lève, vienne lui dire bonne journée, l'embrasse sur la joue, lui montre qu'elle le voyait. Mais elle ne le voyait plus depuis longtemps. Voyait-elle qu'il avait mal ?

Il s'arrêta un moment, regarda sa mère lutter, puis, les larmes manquant de couler, tourna les talons est partie en cours.


La battisse n'été pas grande, le village où il habitait n'été pas grand non plus. Il commençais à peine à entamer l'allé menant à l'entré que le groupe de garçons arriva. Leur chef de groupe, le plus grand, le plus costaud, le regarda de haut, hautain, lui crachant à la figure, il ne pouvait rien faire. Il n'en avait plus la force depuis des années. Descendant son sac de son dos il pris son porte monnaie et sortie tout l'argent qu'il avait et le tendit au gaillard. Il s'apprêter à y aller, mais le grand gorille n'en avait pas fini avec le pauvre garçon. Sans même parler, il baissa ses yeux vers ses chaussure. Le jeune homme compris. Ravalant ces larmes desséché depuis longtemps, il se baissa, les cailloux lui perfora les genoux, puis ses paumes. Il posa ses lèvre sur le tissus de la chaussure. Le gorille envoya sa tête valsé en arrière, toute la troupe se mit à rire. Ils s'en aller, laissant leurs victime par terre.

Le reste de la journée se passa de plus en plus mal. Leur prof leurs faisait cours, il suivait tant bien que mal, son envie d'apprendre tarie depuis un moment. Il tourna la tête vers une garçon qui ne faisait partie d'aucun qui le persécuter. Il été jolie garçon, blond au yeux bleu qui le fixé. Il se demander si lui aussi riait dans son dos, son dernier espoirs été que non. Quand leurs regard se croisa, le jeune homme lui sourit. Lui détourna la tête vers la bande de pétasse qui avait surpris leurs regards, elle faisait des geste plus que dégradant à leurs égard. Mais étrangement, seul lui été visé. Le professeur les observa une seconde, son spitch s'arrêta une seconde, il crut que son enseignent aller le sauvé, mais il détourna les yeux, comme tout le monde, et repris son cours, comme si de rien été. Comme si tout été normal.

Il marcher dans l'allé de l'école pour repartir vers chez lui, manger quelque chose ou bien ne jamais rentré. Un petit groupe , inclue les filles pétasse et le jeune homme, rigoler entre eux. Quand le blond le vit passé, il s'excusa au près des pétasse et voulut rejoindre le garçon persécuté mais n'en eu pas le temps. Les gros matchos à la coupe plus que douteux, le retient en lui montrant des bombe à eau. En riant il lancèrent les ballons sur le jeune homme bizarre du village, tout ça parce-qu'il n'été pas pareil. Lui continua sa route à pas lent, l'habitude de se genre de débilité qui faisait mal. Ils lancer toujours sur lui, ratant de temps en temps. Leurs chef mis dans la main du jeune homme un ballon. Il ne voulait pas le faire, mais ne voulait pas d'embrouille, alors, sans conviction et sans force, il balança la bombe qui atterrie à ces pieds, tachant ses converses. Le jeune homme tout en noir s'arrêta, la tête basse, les larmes a sec prêt à déborder. Il serra les mâchoires. Leurs groupe le dépassa, hurlant de rire. Le jeune homme resserra son sac, sur de lui.

Il été assis sur la pierre, les oiseaux chanter une belle chanson, il n'y avait que peut de nuage dans le ciel. Il tenait la boîte de comprimer, vide. Une larme douloureuse coula le long de sa joue.


**


La mère, qui tenait le bébé, ferma fort les yeux, pleura silencieusement, se maudissant de ne rien avoirs vue.

Une des fille laissa couler une larme ou deux, ce jurant de ne plus suivre ses filles, dans le fond, qui souriait, fière d'elles. Une autre serra les points.

Le groupe de garçon, planté comme des piquet, avait les trait tiré, s'empêchant de s'excuser. Leurs chef n'en menait pas large.

Le professeur pleuré, honteux de ne rien avoir fait, alors qu'il voyait très bien.

Le jeune homme blond cria, il se dirigea vers le chef et lui frappa la poitrine, pleurant en même temps, le garçon de fit rien pour l'arrêter.

Les oiseaux continuer de chanter, sur leur branche, leurs petit gazouillèrent sous cette belle journée de printemps.

Recueil de NouvellesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant