Chapitre LXVII

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- Monsieur Micheal David Ronda, voulez prendre pour épouse Madame Valentina Liviana Zenere ? Demande le prêtre à Micheal

- Oui ! Je le veux ! S'écrit-il

    Je ris face à son trop plein d'énergie et de joie.
Je suis tellement fière d'eux. Ruggero me sourit.

- Toujours entrain de crier celui la. Le chuchote Ruggero

    J'étouffe un rire.

- Madame Valentina Liviana Zenere, voulez vous prendre pour époux Monsieur Michael David Ronda ? Demande le prêtre à Val

- Oui, je le veux. Dit-elle ému

    Elle est tellement mignonne. Je suis tellement ému. Ruggero le remarque et m'attrape par l'épaule pour me coller contre lui.

- Par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare mari et femme ! Proclame le prêtre

    Tout le monde applaudit. Maëlle arrive, un petit cousin entre les mains où sont disposées les alliances. Elle est incroyablement mignonne. Ça me remplit le cœur d'amour. Elle leur apporte. Je décèle de la fierté dans le regard de ses parents. Ça me touche tellement que des larmes s'échappent de mes yeux.

    Valentina prend sa fille dans ses bras et son sourire est plus vrai que nature. Le sourire épanouie d'une mère.

    L'échange des alliances se fait en musique. Ce moment est touchant. Ruggero subit mes larmes. Le pauvre.

- Bébé, tu vas être déshydratée à force de pleurer. Rit-il

    Je ne peux m'empêcher de rire à cette remarque. Cette journée est vraiment parfaite. Je suis entourée des personnes que j'aime et ma meilleure amie se marie avec mon cousin. Rien de mieux pour passer une bonne journée.

- C'est pas de ma faute. Me défendais-je

    Il rit. L'échange des alliances est terminé. La cérémonie continue puis il est temps de sottise l'église. Les mariés sortent et nous leur lançons des pétales de roses et des bulles de savon pour les enfants. Ils sont tellement beau.

    Les photos s'enchaînent puis les mariées partent prendre leur photo.

    Je rejoins ma mère qui s'occupe des jumelles. C'est d'ailleurs la première fois qu'elle les voit en vrai.

    Je la prend dans mes bras. Je ne veux plus la lâcher, elle m'a terriblement manqué.

- Tu m'as trop manqué ! Lui dis-je

- Toi aussi ma chérie ! Me dit-elle

- Plus jamais on reste loin l'une de l'autre aussi longtemps ! Lui dis-je

- Je suis tellement fière de toi mi hija. Me dit-elle

    Nous nous séparons. Je lui souris. Elle fait de même.

- Elles sont magnifiques. Dit-elle en parlant des filles

- Elles tiennes de leur grand mère. Lui dis-je

- Tu es bien gentille ma chérie. Rit-elle

    Ruggero prend Amélia dans ses bras qui commençait à s'agiter. Je les regarde avec tendresse.

- Alors Ruggero ? Comment se passe cette nouvelle vie avec trois filles à la maison ? Rit-elle

    Ruggero prend un air dépassé qu'il ravale directement en voyant mon regard noir.

- C'est pas tous les jours faciles mais on s'y fait. Dit-il

- Tu peux me dire la vérité Ruggero tu sais. Rit-elle

- Et bien, le plus dure ce n'est pas de s'occuper des filles mais bien de gérer Karol. Ironise-t-il

- Je n'y crois pas ! M'exclamais-je faussement choquée

    Ma mère et Ruggero rigolent.

- Mais je rigole ! Tu es la plus parfaite des femmes bébé !

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Chapitre LXVII

My Love [ T.3 de "This Boy" ]  [ Terminé ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant