J'étais malade
Il étais le bad boy
J'étais là nouvelle
Il se fis un plaisir de me faire sa proie
Je me fis un plaisir de ne pas réagir
"Pourquoi tu réagis pas"
"Car Hunter tu ne peux pas briser se qui est déjà briser"
Encore de retour dans se lit d'hôpital a ne plus être capable de respirer, j'étais arrivée en ambulance à l'hôpital car ma mère a pas eu choix, l'air ne passe plus, la douleur de mes poumons et de mes côtes est atroce. Ont va me faire passer plusieurs tests pour finir par me dire la même chanson, tu a une pneumonie et de l'eau sur les poumons, ont va devoir te gardé ici pour te soigner. Je parta en urgence pour un scan de mes poumons, je suis tellement habitué d'être a l'hôpital, je sais pas combien de fois que je suis ici dans une année, mes poumons sont tellement faible a cause de ma dystrophie musculaire qui a engendré une scoliose qui a écrasé un de mes poumons, j'ai été opérée a l'âge de quinze ans pour ma scoliose, sa ma aidé mais mon poumons a resté affaissé un peu donc mon pourcentage de volume d'air qui rentre dans mon corps est loin d'être la normale mais rien a de normal avec moi.
Je suis sur la table pour mon scan et j'ai vraiment hâte qu'ont me remettre mon oxygène, je n'en peux plus l'air passe presque pas, je râle, j'ai mal et j'ai envie de pleuré, j'ai 22 ans et je souffre encore, je suis malade, tout le temps malade, je dois faire attention avec les températures pour pas avoir froid car sinon je tombe immédiatement malade et mon corps n'arrive pas à combattre le virus donc je finis a l'hôpital, soluté au bras, encore plus d'oxygène, des tests a tout les jours, des exercices de respiration, la totale quoi. Je n'avais rien d'intéressant pour une fille de 22 ans, je n'ai jamais voyagé, j'ai jamais travaillé car je suis pas en état, je vis encore chez mes parents et toujours au études, cette année je commence l'université, j'ai jamais eu de petit ami, eh oui je suis toujours vierge a 22 ans, je sais je fais pitié mais comment je pourrais attirer un homme quand je suis constamment a l'hôpital, que je ne suis pas capable de prendre une marche, quand je dois faire de longues distances je dois utiliser ma chaise roulante et je dois être avec quelqu'un dans tout se que je veux faire alors comment réussir de plaire a un garçon. Je suis pas très grande et j'ai encore le dos un peu croche disons je ne suis pas là plus belle, je le suis encore moins avec les machines accroché à moi. C'est ma vie, je suis une fille malade depuis met trois ans, car les médecins ont juste découvert ma maladie a cette âge la, je dois constamment faire de la physiothérapie pour asseyez de garder le plus possible mes muscles en forme et sa c'est pour tout mon corps, toute mes muscles sont atrophié, ma maladie attaque mon corps entier et c'est l'enfer de vivre avec sa, j'ai beaucoup de misère a monté et descendre les marches, ont peut oublier d'aller faire de longues marches mains dans la mains, tout se qui est physique ont passe donc j'ai pas vraiment vécu en gros ma vie est ennuyeuse.
Maman est assis dans le couloir a m'atendre et d'ici je peux entendre c'est pleurs, je sais qu'elle pense que tout est de sa faute, que c'est de sa faute que je suis malade mais rien n'est de sa faute, elle a juste voulu un enfant, le médecins m'avait expliquer a la manière du gâteau pour que je comprenne quand j'étais petite, maman et papa ont voulu faire un gâteau et durant la préparation ils ont mis du sel au lieu de du sucre, donc le gâteau est différent, il n'es pas comme un bon vraie gâteau, il n'es pas bon, aujourd'hui quand je repense à son explication je comprends très bien que le gâteau est moi et que je ne suis pas bonne comme les autres, comme ceux qui sont normaux, je suis différente. Et a cause de cette différence j'ai vécu l'enfer a l'école, je me faisais intimidé constamment, tous riait de moi car je n'étais pas normal, je n'arrivais pas a marché comme eux non moi je roulais accompagné d'une préposé a journée longue. Je n'ai pas vraiment d'amies en fait c'est un gros zéro, je suis seule, maman dit que cette année est mon année, je vais me faire pleins d'amies et elle est convaincu que je vais rencontrer un garçon, je ne le crois pas, je suis pas attirante, je suis handicaper, je me promène avec une chaise roulante qui voudrait s'approcher de moi, je suis comme un extraterrestre pour eux, pour les gens normaux.
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Sa faisait déjà une semaine que j'étais couchée a pas être capable de bouger de se lit d'hôpital, je commence à faire des progrès depuis qu'ils ont drainer l'eau sur mes poumons, j'arrive à respirer un peu mieux mais je suis essoufflé a un rien, juste me rendre au toilette c'est comme si j'avais fait un marathon, j'avais beaucoup de médicaments, un par intraveineuse et plusieurs pilules a prendre par la bouche sauf le problème j'ai de la misère a avalé des médicaments donc des fois je m'etouffes et vomi les médicaments donc je dois recommencer à chaque fois que je vomi les pilules. Je veux que tout s'arrête je n'en peux plus de cette vie, je veux vivre comme tout le, je veux que sa s'arrête, je me mis en boule dans le lit et me mis à pleuré toute les larmes de mon corps et bien-sûr fallut que sa soit le moment ou mes parents rentrent dans la chambre, je veux pas qu'ils culpabilisent, maman embarqua dans le lit et me sera dans c'est bras et papa se plaça sur une chaise, ils me laissais aller dans ma douleur et toutes faire sortir la tristesse de mon si petit corps fragile car c'est se que je suis fragile, faible, je ne sert a rien, je fais que nuire.
Je n'ai pas vécu et je ne vivrai jamais, je vais jamais connaître le vrai vie car mon corps est trop faible. Je n'ai pas de talent spéciaux a part dormir et écouter Netflix, je suis une professionnelle dans l'art d'être têtu mais est se que sa compte pour des talents? Je me sens seule, je suis seule dans se si grand monde, est se que sa vaut la peine que je continue à me battre avec la vie, la vie qui m'a donné un corps malade, un corps que j'aime pas, devrais-je continuer, j'ai tellement envie de tout lâcher et me laisser aller, quand je regarde le ciel je me dis que tout a l'air paisible en haut et que je rêve du moment où je vais être dans les nuages a dansé de bonheur car je ne sentirai plus aucune douleur, j'ai si hâte d'en terminer. J'ai toujours se sourire dans mon visage et tout le monde pense que je prend ma vie a cœur, que rien m'atteins mais leurs regards est la pire des choses, des regards de pitié mais je continue à sourire même si j'ai juste envie de pleurer et mourir.
- tout va bien aller ma puce, tu est si forte.
Forte? Non, je suis faible car mon corps l'es aussi, je n'ai pas le choix de passer par sa, maman va pas me laisser crever d'une pneumonie, je crois que c'est pour sa que j'ai pas encore tentée de me suicider, c'est pour mes parents, mais sa commence à être lourd sur mes épaules, je n'en peux plus. Pourquoi je devrais continuer à me battre quand il a rien de positif dans ma vie.
Le médecins ma dit qu'il me restait deux jours de médicaments et après je devrais être apte a retourner à la maison, je suis tannée d'être ici, sa empeste la mort et en plus se matin il ont placé une vielle folle dans la même chambre et et ne fait que parler et répéter le même foutu paragraphe et elle pense que sa m'intéresse, la seule chose qui m'intéresse en se moment c'est qu'elle ferme sa bouche pour avoir du silence, il pas juste sa, elle se débat avec les infirmières et se met a crié qu'ils l'agresse, quand je dis une vielle folle. J'avais demandé de mettre le rideau qui me sépare d'elle, je me suis dit que si elle me vois pas elle va me fiché la paix, non, elle est présentement assis sur la chaise qui est a côté de moi a parlé de je ne sais quoi car elle articule pas et marmonnes de drôles de truc, comment tu veux que je comprends quand elle dit des choses qui ne fait pas de sens, aider moi, je vais finir par la frappé, pourquoi il fallait que sa m'arrive j'ai déjà de la misère a m'enduré et la je dois endurer cette vielle folle, je dois sortir d'ici au plus vite putain.
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