Hunter Vega
- monsieur l'officier vous comprenez pas il est dangereux.
- nous avons pas de preuve pour le mettre en état d'arrestation.
- le corps de ma mère est pas assez.
- monsieur Vega c'est la parole contre un autre, je ne peux rien faire.
- il m'a fait du mal aussi monsieur, ma mère est pas sa première victime et se n'est pas la dernière non plus, il s'en est pris a plusieurs personnes.
- il vous a fait quoi?
- je ... Je.. hum.. j'arrive pas en parler.
- je ne peux rien faire tant que j'ai pas de preuve pour le mettre derrière les barreaux, ont va garder un œil sur lui, maintenant aller manger, reposer vous.
Putain de merde, officier de merde, tous des incompétents, comme si les blessures sur le corps de ma mère étais pas assez comme preuve. Cet enfoiré a encore agis et s'en est pris a ma mère et depuis mon père me regarde d'un regard triste, tu réalises maintenant que je te disais la vérité imbécile. Je me dirigea en colère vers ma chambre, j'ai besoin d'une douche, je me mis nu et rentra sous l'eau chaude, ont a pas assez de preuve monsieur Vega, soudain un flash me revena en pleine gueule, vous voulez des preuves, je vais vous en donner. Je sortis comme un malade de la salle de bain encore avec du savon des les cheveux, enroula une serviette autour de ma taille et me dépêcha a aller au grenier de la maison, là où son les preuves de cette nuit horrible.
Boîte après boîte je n'avais toujours pas trouvé se que je voulais, je n'avais rien jeté, j'étais assez intelligent pour comprendre que rien étais normal se qu'il avait fait donc j'avais tout garder, cacher dans une boîte que j'avais mis dans le grenier, les preuves que la police a besoin. Après des heures a chercher la putain de boîte je finis par tomber dessus et je crois que ouvrir une boîte avait jamais été aussi difficile que en se moment pour le moral, mon draps avec des petites voitures avec la tâche de mon sang et j'imagine de son sperme, mon pantalon souillé comme mon chandail et la photo de moi en petite boule avec du sang, la photo qu'il avait pris et il m'avait dit de la garder comme souvenir, pour que je me rappelle toujours de lui, comment l'oublier maintenant qu'il a passé a deux doigts de refaire la même chose a ma mère putain.
Voilà les preuves, je vais enfin pouvoir tourner la page de cette nuit horrible.Assis sur une chaise avec la boîte sur mes genoux, j'attendais l'officier avec qui j'avais parler plus tôt se matin, je vais pas dire le contraire, je suis anxieux, stressé et j'ai peur, peur que se sois pas assez, peur qu'il y aille aucune ADN, qu'es qu'il fou bordel je vais pas attendre quinze ans ici.
- Hunter Vega.
- bonjour, vous avez dit que vous avez aucune preuve contre lui, cette boîte est rempli et vous allez comprendre se qu'il m'a fait.
L'homme devant moi pris la boîte que j'avais et me fis signe de tête et me dépêcha de sortir sur poste de police, cette histoire dois finir, je ne sera plus capable de rester vivant et rien faire, sa doit finir sinon je vais virer fou. Je pris la route vers un petit coin de forêt, j'ai besoin d'air, je dois respirer, je venais de donner a un homme tout se qui décrivais se qu'il m'avait fait quand j'étais qu'un enfant, qu'un putain d'enfant. Rendu devant la petite forêt, j'arrêtas ma voiture et sortie et commença a marché dans la nature, j'avais besoin d'oublier, je devais oublié, je sentis les larmes couler sur mes joues et je me mis a crié a plein poumons et tomba a genoux contre le sol. Qu'es que je suis, qu'es que je vais faire de ma vie, comment avancer quand j'arrive même pas a tourné la page a cause de lui, je suis tellement briser, j'en ai marre de cette vie.
~
- bon matin.
- tu est toujours là.
- bien-sûr la citrouille.
- tu n'étais pas obligé.
- j'en avais envie, maintenant tais toi et va te préparer, tu a un rendez vous avec ton médecin.
- et toi tu dois partir, aller sort de mon lit.
- tu me dis quoi faire maintenant.
- Hunter! Vas t'en
- et mon bisous?
- ah tu veux un bisous maintenant.
- je pars pas sans mon bisous.
Elle souffla et se dirigea vers moi, elle est tellement mignonne, elle se mis sur la pointe des pieds et même la elle se rend pas a mes lèvres se qui me fit rire, Poppy me tappa l'épaule et je pris pas de temps pour pencher ma tête et l'embrasser, je le souleva sous les fesses pour qu'elle sois a ma hauteur et la plaqua contre son matelas, elle lâcha un gémissement et putain que je la prendrai maintenant contre le lit.
- Hunter mes parents son la.
- ouais ouais je m'en va.
Avant de sortir de sa chambre, je lui claqua les fesses et elle me lança un regard coquin, rendu dans la cuisine je salua c'est parents qui me regardais avec surprise, oops. Cette femme est un miracle sur pattes et je suis heureux de l'avoir dans ma vie, je vais essayer de faire en sorte qu'elle quitte jamais ma vie, je veux la garder a mes côtés pour toujours, je la veux tout entier. J'aurais jamais pensé tombé pour une personne comme sa, pour une personne malade, mais même si elle est malade sa fait d'elle une personne encore plus belle, elle est si forte, malgré tout, malgré c'est douleurs, elle a toujours le sourire au visage, elle est si belle, la sonnerie de mon téléphone me sorta de mes pensé.
- monsieur Vega.
- oui?
- ont viens de passer a son arrestation, merci pour les preuves, grâce a sa ont a pu associée son ADN sur plusieurs dossiers de viol alors je vous dois un grand merci et vous pouvez relaxé maintenant, il va prendre a vie, je suis désolé de se que vous avez subi.
- merci.
Je resta immobile dans ma voiture sur le côté de la route, c'est fini pour vrai, il est arrêté, il est en prison, tout est fini. Je souffla un bon coup et me laissa aller dans mes pleurs, putain de merde, enfin.
Je peux arrêter d'avoir peur, je peux tourner la page maintenant, je peux avancer.Coucou j'espère que l'histoire vous plaît, ont s'approche de la fin malheureusement.
Bonne lecture
Bisous xx
:)
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the sick and the bad
RomanceJ'étais malade Il étais le bad boy J'étais là nouvelle Il se fis un plaisir de me faire sa proie Je me fis un plaisir de ne pas réagir "Pourquoi tu réagis pas" "Car Hunter tu ne peux pas briser se qui est déjà briser"