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- je suis désolé.

- tu est désolé, tu m'a laissé dehors toute seule et tu est partis.

- je t'ais dis que je suis désolé.

Quelques heures plus tôt, ont voulais aller se promener dans la ville mais juste avant de rentrer dans la voiture, monsieur a reçu un appel et il c'est fâcher et ma ordonné de ne pas rentrer dans la voiture et est parti comme un dégénéré me laissant seule dehors incapable de rien faire et dans une ville que je connais pas, et bien-sûr monsieur n'a pas voulu me dire se qu'il se passait. Il m'a laissé toute seule pendant trois heures.

- tu m'a laissé seule devant l'immeuble et avant l'ascenseur il a des escaliers je te rappelle.

- je suis désolé j'ai dit.

- ET JE SUIS HANDICAPER, JE NE PEUX PAS RESTÉ SEULE IMBÉCILE.

- je m'excuse.

- j'ai été obligé de demander de l'aide pour monter les escaliers et rendu devant la porte de ton appartement j'ai réalisé que c'était toi qui avait les clés, j'ai resté trois heures chez un homme louche car je ne pouvais pas rester debout trop longtemps, TROIS PUTAIN D'HEURES HUNTER.

- j'étais beaucoup trop fâcher, je ne voulais pas te faire du mal.

- justement en partant comme sa au lieu de me parler, sa ma fais mal, tu c'est même pas a quelle point j'ai paniqué, je suis pas en état de me défendre et j'étais toute seule avec cet homme bizarre.

- je peux aller lui parler si tu veux.

- et en plus tu reviens soûl.

- je peux aller lui dire deux trois trucs, tu va voir il posera plus c'est yeux sur toi.

- j'en ai rien a foutre de lui, c'est de toi que je parle en se moment pas du putain de voisin.

Oh le con il ose me sourire, il fait monté encore plus la colère en moi et je vais bientôt exploser, j'ai tellement eu peur pendant c'est trois heures que a minute qu'il est revenu je me suis précipitée sur ma machine à oxygène car la panique avait causé un manque d'air. Hunter riait toujours et ma main partie toute seule d'une force que je savais pas que j'avais en moi, la claque a frappé fort car il ne riait plus et me regardais d'un air a tuer sauf que la je suis trop remonter contre lui pour me sentir en danger. Hunter se leva d'une lenteur et s'approcha de moi, par réflexe je recula mais j'ai pas eu le temps d'aller très loin que sa main rejoint mon cou et le serra, ok là je panique.

- Hunter lâche moi.

Il ne bougeait pas, c'est yeux toujours planté dans les miens, il respirait fort par le nez que c'est narine était dilaté, c'était le silence total dans la pièce, je pouvais juste entendre mon cœur battre comme jamais et la respiration de Hunter.

- ne me frappe plus, est se que c'est clair?

Je ne voulais pas répondre, je ne veux pas avoir peur de lui, il veut me faire du mal alors qu'il le fasse, il aura les conséquences après. Vue que je ne répondait pas, il rapprocha son visage du mien en fessant plus pression sur mon cou, je vais manquer d'air bordel. J'ouvris la bouche pour parler mais je n'ai pas eu le temps de rien dire que Hunter m'embrassais a pleine bouche, je comprends pas, il grogna et sa me ramena sur terre et répondit a son baisé et enroula mes bras autour de son cou, putain.

- tu est bandante quand tu est en colère.

- arrête d'être vulgaire.

- tu est encore plus bandante avec ma main autour de ton cou, putain.

the sick and the badOù les histoires vivent. Découvrez maintenant