Aya se leva tôt ce matin, elle devait être présentée au roi aujourd’hui. Elle était vraiment angoissée. Elle repensa à la veille et au très bel homme qui l’avait surpris. Elle espérait qu'il ne disent pas au roi qu’elle était dehors. Car elle ne savais pas que c’était quelque chose d’interdit. Elle se demanda ce que le roi lui dirai si il savait cela. En réalité, elle ignoré que c’était le roi. Elle avait mis une robe longue bleu azur, elle avait détachée c’est très long cheveux qui bougé à chaque mouvement. Aya ne c’était pas maquillée, d’ailleurs elle ne s’était jamais maquillée de toute sa vie. Elle aimait être naturel et cela était quelque chose de parfait. Car son visage n’avait aucunement besoin d’artifice. Arrivée devant le bureau du roi, elle ne put s’empêcher d’angoisser. Elle frappa à la porte et entendit qu’elle pouvait rentrer. C’est ce qu’elle fit, après quelques pas elle s’arrêta. Elle voyait de dos, face à la baie vitrée, un homme extrêmement grand avec une très bonne carrure. C’était quelqu’un qui devait faire très attention à son physique et faire du sport régulièrement. Quand il se retourna, elle le vit faire ce geste au ralenti. Elle fut prise de peur, quand elle se rendit compte que c’était l’homme de la veille. Il était très beau, le teint basané, des yeux noirs corbeau de la même couleur que ses yeux. Des épais sourcils et un nez bien droit.
Ilian: Bonjour Aya.
Il pouvait voir à quel point elle était effrayée. Il lui indiqua une chaise afin qu’elle s’y assoit. Ce qu’elle fit non sans trembler légèrement.
Il la regarda de haute en bas et ne put s’empêcher de ressentir cette même chaleur qu’il avait ressenti la veille. Il attendit quelques secondes et elle se confondit en excuse.Aya: Je suis vraiment désolée votre altesse. Je ne savais pas, j’ignorais que c’était interdit d’être dans les jardins. Sinon je ne l’aurais jamais fait.
Ilian: Ne soyez pas effrayée, ce n’est pas grand-chose.
Elle fut rassurée, mais il pouvait voir qu’elle était tout de même craintif.
Aya: Pardonnez-moi également de ne pas mettre incliné devant vous hier.
Ilian: Je sais que vous ignoriez qui j’étais. C’est cette satané tradition qui vous empêche de savoir qui je suis. C’est réellement ridicule.
Elle ne disait rien.
Ilian: Dites-moi Aya, mes conseillez vous ont-ils parlez de votre future devoir ?
Aya: Oui bien entendu. Les sœurs également.
Ilian: Êtes-vous en mesure de les accomplir ?
Aya: Oui, je ferai mon devoir. Je ferai en sorte d’être humble et discrète. Je ferai tout pour vous convenir.
Oh bien sûr qu’elle lui convenait. Son corps n’était-il pas en train de de lui faire ressentir ? Il ne parla pas et elle continua dans sa lancée.
Aya: Vous et votre peuple passeraient toujours avant moi.
Il fut surpris parce qu’elle venait de dire.
Ilian: Pardon ?
Aya: Et bien, le bien-être du peuple est le vôtre passe toujours avant le mien. N'est ce pas ce qu’il faut dire ?
Ilian: Qui vous à appris cela ?
Aya: Les bonnes sœurs. Ainsi que quelques-uns de vos conseillers. Qui m'ont rappeler les règles à tenir pour être une bonne reine et une bonne épouse.
Il inspira.
Ilian: Je voudrais être franc avec vous. Je souhaiterais vous dire que vous serez la reine oui, mais pas mon épouse. Nous serons mariés, je vous respecterez et serai présent si vous avez besoin de quelque chose. Mais tout ce que j’attends de vous c’est d’être une bonne reine c’est tout. J’ai eu par le passé… Disons seulement que je ne peux donner mon cœur à personne.
Elle eut de la peine quand elle entendit cela. Elle avait toujours été élevée par les sœurs et n’avait jamais eu aucune affection. Elle avait été abandonnée étant petite et ne se souvenais pas d’avant son abandon. Elle aurait souhaitée être aimé un jour. Mais elle savait que ce ne serait jamais le cas. Il pu voir qu’elle avait l’air déçu.
Ilian: J’espère que vous comprenez.
Aya reprise esprit.
Aya: Oui, bien entendu.
Ilian : De ce fait, je souhaite garder une distance physique entre nous.
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Le Roi D'Azani & La Lune
Roman d'amourEntre devoir, tradition et amour. Le roi d'Azani se retrouvera coincé dans un tourment complexe qu'il n'aurait pas imaginé.