Tome 1-La naissance d'un héros

Prologue

Dans des terres sombres et désolées se trouvait une grande forteresse entre deux hautes falaises. Une place forte avec une petite ville à ses pieds et de deux solides remparts allant chacun d'une falaise à l'autre. Ce lieu était la demeure du roi Caito De Lafaille d'Azinurd, un grand roi noble et bon. Mais nombre de personnes souhaitaient le renverser et habiter à sa place dans la forteresse. C'est pour cela qu'un assassin s'en approchait. Celui-ci avait accepté un contrat qui lui rapporterait une somme colossale de crédit venant d'une personne convoitant ce titre de roi de la faille d'Azinurd. Afin d'entrer dans cette place forte, le tueur se fit passer pour un marchand venu vendre ces produits.

En arrivant en face de la porte d'entrée, un soldat vint à sa rencontre afin de vérifier la cargaison et qu'il pait la douane. Suite à son inspection, il le laissa passer, son stratagème avait fonctionné. Il avança dans les rues de la forteresse jusqu'au donjon du roi. Heureusement pour lui, il se trouvait plus loin à ses routines quotidiennes de roi ou pour discuter avec ses généraux des conflits entre les quatre rois du royaume.

Il arrêta sa charrette à proximité du haut donjon royal où se trouvait ses cibles : la femme et les quatre enfants du roi. En effet, son client le payait pour qu'il fasse souffrir le roi psychologiquement avant que celui-ci l'attaque avec son armée et lui prenne le trône, enfin c'est ce qu'il avait compris de leur dernière discussion. Il tourna autour du bâtiment afin de trouver l'endroit parfait où il pourrait grimper le plus discrètement et facilement possible.

Lorsqu'il le débusqua, il commença l'ascension, ceci ne le mit aucunement en difficulté, il était préparé à cela. Tout sa vie, il s'est entraîné pour atteindre le maximum de ses capacités pour accomplir la mission qui le rendrait riche à jamais et qui lui permettrait de prendre une tranquille retraite bien mérité . Arriver à une fenêtre d'où émanait de la lumière, il vit les enfants du roi jouant avec des jeux en bois, la première parti de la mission allait débuter.

Il entra très rapidement en sortant la dague cachait dans sa manche et tua sa première cible puis enchaîna avec les trois autres très rapidement. Mais malgré sa vitesse d'exécution, un d'eux avait eu le temps de crier au secours. Il ne savait pas si quelqu'un l'avait entendu mais il ne pouvait s'en aller avant d'avoir tué sa dernière cible, leur mère, la reine de la faille d’Azinurd.

Alors qu'il se cachait derrière la porte en attendant qu'un ennemi ou sa cible se dévoile, la mère des enfants qu'il venait de tuer arriva par derrière d'une porte dissimulée et le poussa vers la fenêtre afin de le faire tomber. Il réussit à éviter cette issue fatale mais fit tomber se dague du haut du donjon.

Il lutta à main nue un court moment avec elle puis il retourna la situation et fit tomber la femme du roi de la fenêtre à sa place et elle mourut à l'impact. Elle gisait morte sur le sol boueux, du sang émanant de son crâne.

Tout de suite après, un soldat trouva le corps et lança l'alerte. Il devait s'enfuir le plus vite possible ou il y laisserait la vie, il sauta donc par la fenêtre opposer à celle d'où était tomber la reine et arriva sur un toit. Puis il glissa jusqu'au sol grâce à celui-ci. Il courra ensuite jusqu'à la grande porte permettant de sortir de la forteresse en prenant au passage une bombe de feu Thymérien utiliser dans la mine voisine pour récolter de la pierre pour une raison qui lui restait inconnue. Peut-être pour chercher de l'or ou améliorer les défenses de la forteresse. Il mit ensuite la bombe dans sa poche.

Arriver jusqu'à celle-ci, il fit un petit détour jusqu'à l'écurie afin de voler un cheval pour sa fuite. Avant de s'éloigner de la place forte, il jeta sa bombe pour bloquer le passage. Mais dans la confusion, il s'était échappé par la sorti est de la forteresse qui laissait place à des terres sombres où règnait un air maléfique.

Il ne pouvait plus faire marche arrière donc il continua en espérant trouver un autre chemin. Mais avant qu'il ne soit hors de portée de n'importe quels projectiles, une flèche tua le cheval qu'il chevauchait. Il s'écroula au sol avec lui dessus. Il réussit à se relever difficilement malgré la douleur atroce qui envahissait tout son corps et se mit à courir en boitant. Il savait pertinnemment qu'il allait être poursuivit par les meilleurs guerriers du roi chevauchant les chevaux les plus rapide qu'il pourra trouver.

Il avait bien raison: cinq de ses soldats le pourchassaient à cheval alors qu'il était à pied à lutter contre la fatigue et la douleur de courir sans cesse. Il courait, courait encore et encore, il perdait de plus en plus l'espoir de survivre, Il était traqué par cinq guerriers à dos de cheval des contrées ensoleillées de Zelistia, les chevaux les plus rapide jamais connues et voyant toujours le même paysage : un sol noir de cendre et de pierres et entourés de falaises hautes comme le ciel. Tout ceci le désespérais à tel point qu'il voulait abandonné maintenant.

Alors qu'il commençait à perdre toute l'énergie qu'il l'avait déjà conduit à courir sur une aussi longue distance, un étroit couloir sombre dont il ne voyait pas l'intérieur à cause de la brume se dévoila devant lui et il se remit à courir aussi vite que ses jambes pouvaient encore le faire. Cependant, les bruits de sabots qui se rapprochaient de plus en plus de lui, lui rappelaient le danger imminent. Les images de toutes les tortures possible et inimaginable que lui ferait subir le roi si ses sbires le rattrapé le terrorisaient mais l'encourageaient à avancer plus vite encore.

Tout près de ce couloir qui pourrait lui sauver la vie, alors qu'il était si près d'y arriver avant que ses poursuivants le rattrapent, quatre monstres géants ressemblant à des vers élargirent considérablement le couloir qui était maintenant praticable par les chevaux de ses adversaires. Cela fut comme un coup de massue pour lui et ses jambes l'abandonnèrent. Il s'écroula de fatigue dans les cendres alors que les bruits continuaient à se rapprocher.

En utilisant ses dernières forces, il se mit à genou et se retourna vers les cavaliers. Il n'avait aucun moyen de mettre fin à ces jours et d'éviter les atroces souffrances qu'il allait subir. Mais avant qu'ils arrivent à son niveau, ils arrêtèrent leur cheval et regardèrent derrière lui. Un d'eux repartit vers la forteresse. Ne comprennant pas, il se retourna difficilement et dès qu'il l'était, il n'est même pas le temps de relever les yeux qu'une flèche le transperça en plein cœur. Mais il ne mourut pas, la flèche, tant qu'elle n'était pas retirée de son corps la garderait en vie.

De nombreuses créatures hideuses et bipèdes le déppassèrent et se ruèrent vers ses poursuivants en l'ignorant. Ces créatures à la peau grise comme la pierre et aux doigts griffus étaient déformés partout sur le corps et avaient des oreilles en pointe, une échine en os non recouverts de peau dans le dos et n'avaient point de cheveux.

Il put assister à un combat entre les guerriers en armures du roi qui le pourchassait précédemment et les hominidés sortis du couloir, il se défendait très bien et arrivait a en tué un nombre incalculable. Mais au fur et à mesure, les guerriers mouraient les uns après les autres submergés par leurs ennemis.

Il n'en restait plus qu'un quand un des êtres laids comme les actes qu'il avait commis au cours de sa vie lui retira la flèche qui le maintenait en vie. La dernière chose qu'il vit fut ce guerrier prodigieux combattant sur une montagne de cadavre, il voltigeait au-dessus de ses ennemis, il les décapitait, il les démembrait, il les empalait grâce à son arme particulière, un bâton surmontait d'un côté d'un pic et de l'autre, une lame en croissant. La mort l'emporta avant celle du guerrier auquel il avait eu peur avant de l'admirer et le respecter pour ses compétences au combat qui surpassait les siennes de très loin. Il s'écroula puis se fit piétiner par une horde de ses créatures horribles sorties du couloir et qui ne laisseraient aucune chance au combattant du roi de la faille d'Azinurd.