Tome 1-La naissance d'un héros

Épilogue

Depuis un jour maintenant, le château de la famille Deirosis était hors de danger, le seigneur Tyrsonos était maintenant loin grâce à Thaomios et ses soutiens. Le jeune seigneur a d'abord réussi son duel face à l'Aigle frappeur qui avait lui même pu avoir lieu grâce à Padrius et au gouverneur de Mypostoyt. Et après l'avoir remporté à la loyal, ce dernier avait menacé le cruel seigneur de ne plus lui apporter de soutien militaire, l'obligeant de ce fait à quitter la place forte sans revendication. Dorénavant, tous ses habitants étaient à nouveau libres malgré qu'ils pleurent les morts. Pour certains, ces morts sont des maris, pour d'autres, des pères et pour d'autres des fils. Malgré le départ de l'ennemi, les habitants n'étaient pas encore vraiment libérer du seigneur Tyrsonos qui leur avait fait tant de mal.

Mais même si les sujets de Thaomios se sentent libre, ce dernier reste inquiet, il n'a pas oublié les Januarkas qui ont envahi le royaume et tué son père et son roi. Il a réfléchi jusqu'à tard le matin ce qu'il allait faire, il désirait plus que tout sauver tous les habitants du royaume et ne pas oublier ceux qui ont déjà péri en se sacrifiant pour faire perdurer la race des hommes. Il se posait d'ailleurs de nombreuses questions sur l'univers qui les entourés : ils savaient dorénavant que les hommes n'étaient pas la seule espèce intelligente, il en avait déjà une autre qu'il avait vu de ses propres yeux et peut-être encore bien d'autres. Il repensait aussi son cauchemar après qu'il ait perdu sa main, tous les événements lui étant arrivés ces dernières semaines lui faisaient de plus en plus croire que le dieu du feu infernal et du mal lui avait vraiment parlé et que s'il ne faisait pas ce qu'il demandait, il ferait souffrir son père dans ses enfers.

Après un long moment à réfléchir seul à l'avenir dans sa chambre, Thaomios sortit de celle-ci pour manger le déjeuner puis de convoquer le conseil pour leur exposer sa décision. Il n'avait bien sûr pas oublié d'y incorporer Gaoliussan et Kiarina à qui il devait beaucoup. Donc ils se réunissèrent tous à la table où il mangeait habituellement pour la transformer en table où tous les conviés se réunussaient pour parler d'un sujet primordial : la menace Januarkas. Thaomios commença dès que tous furent installés :

- Salutation à tous et à toute.

- Salutation seigneur Deirosis ! Lui répondirent-ils tous en chœur.

- Je tiens déjà à vous annoncer que j'ai incorporé Kiarina et Gaoliussan pour leurs aides, leurs compétences, leurs connaissances et mon amitié pour eux. Leur annonça-il.

- Nous les écouterons, respecterons et suivrons avec plaisir mon seigneur. Dit Padrius, le principal conseiller de Thaomios et régent de celui-ci en son absence qui les connaissait déjà.

- Merci Padrius. Même si cette incorporation est très importante, je viens vous parler d'un sujet qui l'ais mille fois plus : la menace Januarka. J'ai pris une décision quant à le rôle de chacun de nous dans l'avenir. Leur annonça-t-il après avoir remercier Padrius.

- On vous écoute. L'encouragea un de ses conseillers.

- J'ai décidé de partir à la rencontre des trois autres rois du royaume pour les unir et combattre ces envahisseurs qui ont tué mon père et notre roi.

- Mon seigneur, Excusez-moi de vous contre dire mais vous ne pouvez abandonner vos sujets ici alors que les Januarkas sont à nos portes. Protesta un conseiller.

- C'est vrai, nous pourrons nous en sortir sans votre aide mon seigneur, nous avons besoin de vous. La preuve, sans vous, nous devenions serviteur du seigneur Tyrsonos. Revendiqua un autre.

- Mon seigneur, je suis d'accord que nous devons agir contre l'ennemi ou nous mourront tous mais je crains fort que vous réussirez à unir trois roi en guerre en une seule armée. C'est jamais arrivé et je pense que cela n'arrivera jamais à moins d'utiliser la force brute. Argumenta Padrius.