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Je me dirige donc avec lui. Dans les salles qui sont sur les côtés.
Il trouve une pièce, vide, avec pleins d'objets et une grande croix accrocher au mur.

Leonor: Vous êtes sûre de vouloir le faire avec moi?
Carmen: Eh bien...oui.
Leonor: Eh bien passons un bon moment *sourit gentiment*

Cela se voit qu'il veut me rassurer...je le connais même pas mais je sais que ce n'est pas une horrible personne.

Leonor: *se rapproche de Carmen et commence à retirer sa robe*

Leonor la fait descendre tout doucement, ce qui me donne des frissons il m'embrasse le cou...et descend jusqu'à ma clavicule avec ces baisers...

Leonor: Dirigez vous vers la croix en bois s'il vous plaît.
Carmen : Vous pouvez me dire ce que c'est s'il vous plaît ?
Leonor: C'est une simple croix, là où vous êtes accrocher.
Carmen: *se dirige vers la croix*
Leonor: Vous êtes bien à l'écoute, moi qui croyais que j'allais avoir un peu de difficulté..
Carmen: Vous êtes déçu ?
Leonor: Pas du tout...cela me plaît encore plus.
Carmen : *rougit un peu*
Leonor: *sourit*

C'est là que Leonor m'accroche à cette fameuse croix, nue, je me sens un peu mal à l'aise...je ne sais pas pourquoi...

Leonor : Vous... êtes mal à l'aise...?
Carmen : Je ne sais pas pourquoi...
Leonor: C'est parce-que je vous vois nue... c'est ça?
Carmen: Sûrement...mais de base j'ai l'habitude d'être...comme ça...
Leonor : Je vois...et si moi aussi je me déshabille ?
Carmen: *rougit un peu plus*
Leonor: *sourit* Alors?
Carmen: Pourquoi pas...

Leonor commence à ce déshabiller, il retire sa chemise, son pantalon, sa veste...il est maintenant nus, devant moi. Son corps fin fait son charme, oui c'est vraiment un homme magnifique. C'est avec cette pensée que je le vois ce diriger vers un fouet, un grand fouet. Il touche mes côtes, mon ventre...et je remarque qu'il à mit des bagues sur le bouts de ces doigts, mais des bagues avec des piques au bout. Il commence à planter ces mains dans mon dos...

Leonor: Votre code si je dois arrêter c'est?
Carmen: ...Masque...
Leonor: Bien...

Il les plantes si fort, que ça me laisse des grosses traces rouges qui me brûle le dos. Mais...j'aime ça...
Il prend le fouet et me fouette les cuisses, les mollets, le ventre. Il me fouette si fort, de plus en plus fort, je sens plus mon corps, il brûle trop mais j'aime cette sensation, c'est là qui me fouette plus fort, toujours de plus en plus fort.
Je ne pensais pas que Leonor, un homme qui paraît si doux peut être si doué dans ce domaine, voir même un expert. Ce sentiment de brûlure...je commence à bien aimer...

Il me détache, et je tombe dans ses bras car je ne sent plus mes membres, mon corps tout entier...

Leonor: Carmen vous aller bien!?
Carmen : Oui vous inquiéter pas.
Leonor: J'y suis aller...trop fort ?
Carmen: Pas du tout...je me sentais bien...
Leonor: Êtes vous sûre ?
Carmen: Oui.
Leonor: Voulez vous continuez ?
Carmen: Oui.

Il me pose sur un lit et je vois au plafond des chaines où on peut accrocher les mains. Il me les accroche...je suis maintenant assise les mains levées vers le plafond, menottée. Il me met un bandeau, et une corde dans la bouche.

Leonor : Je vais vous mettre un collier avec une clochette, si vous voulez arrêter vous avez juste à secouer votre tête.
Carmen: *dit oui avec la tête*

il prend une bougie...verse la cire sur mes tétons et mon ventre. Je sens une légère brûlure qui, une seconde après disparaît. Il se dirige vers mon dos et voit mes grosses marques...il prend un glaçons et le fait diriger vers mes "blessures". Je sens une douleur...mais pas non plus horrible.

Il s'arrête m'embrasse sur le front et le cou, et après de longues minutes...il me dit...

Leonor: J'ai finit pour ce soir, si vous voulez me voir appeller moi *retire la corde dans ma bouche et me met un bout de papier entre mes dents*

Il me détache, retire la cire qu'il as versé et m'aide à me relever.

Leonor : Alors votre petit moment avec moi.
Carmen: J'ai beaucoup apprécié. *sourit*
Leonor : Tant mieux alors. *sourit aussi*

Je m'habille, il fait de même, et nous sortons de la pièce.
Ce moment avait durer trente minutes, même pas mais c'était vraiment très bien.

CarmenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant