La faille du paradis

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Alors c'est comme ça que je vais mourir...
Non ! Je ne peux pas mourir de cette manière !

Il fait noir, j'ai froid...

Je me réveille, je ne sais pas quelle jour nous sommes. Une vois interpelle mes pensées.

-Bonjour.
-B-Bonjour...lui dis-je avec une pointe d'hésitation.
-Hum... où est-ce que je suis ? Et qui êtes vous ? Lui dis-je d'un ton interrogateur.
-Oh, vous êtes au paradis et je suis le gardien de ce monde. Me répondait-il avec un visage neutre.

Ai-je mal entendu...non...c'est impossible...
J'ai promis que je reviendrais, c'est impossible...

-Non, il doit y avoir une erreur ! Lui criais-je.
-Non, vous êtes mort d'un incident de la route. Me répondit-il, consultant une feuille avec le meme visage neutre.
-Mais vous pouvez retournez auprès de vos proch-
- COMMENT ?! Je lui coupe la parole.
-Eh bien, s'il y a une personne que vous aimez plus que tout, bien évidement pas de l'amour maternel. Vous pouvez retournez après de cette personne.
Ce sera la seule à pouvoir vous voir, mais attention...il faut que votre amour sois réciproque. Me dit-il
-Oui je veux aller la voir.

Je suis sure qu'il m'attend.

-D'accord je vous envoie toute suite M-
-Merci. Je luis ai encore coupé la parole.
-Si vous voulez revenir au paradis, vous n'aurez qu'à criez votre nom et prénom très fort. Suivez-moi.

Je le suis, on marche dans un long couloir vêtu d'une centaine de portes.
Il en ouvre une parmi tant d'autres. Sur la porte y sont inscrits mon nom et prénom.
Il consulte sa feuille et me dit.

-Une fois à l'intérieur vous fermerez les yeux pendant cinq secondes et puis en rouvrant vos yeux vous serez dans le monde des vivants. Bien sûre vous ne pourrez pas y rester définitivement, vous pourrez y rester deux ans, trois maximum. Après ce temps écoulé vous reviendrez ici automatiquement.

Je rentre dans le piece et il referme la porte derrière moi. Je ferme les yeux quelques secondes puis les rouvrent.
Je suis devant chez moi. Ça ne sert à rien d'aller voir la famille si c'est pour les voir pleurer...En plus de ça ils ne peuvent pas me voir...
Je décide donc d'aller directement chez la personne que j'aime.
Sur le chemin je découvre que je peux flotter dans les airs, mais comme c'est la première fois j'y arrive pas trop.

Enfin arriver devant chez lui, je toque à la porte.
J'attends...
J'attends encore...
Ah oui c'est vrai, personne ne peut me voir et m'entendre à part lui.
Je rentre dans la maison en traversant la porte.
Il n'y a personne. À tous les coupes sa sœur et son père sont parties travailler.
Je vais vers le frigo, là où est accrocher le calendrier et une mini horloge. Nous somme samedi et il est 14h47.
Il a dû certainement sortir. Je décide donc d'aller me balader, je reviendrai ce soir, il sera là.

Une heure est déjà passé, je me balade de rue en rue en m'entraînant à flotter dans les airs, avec tant bien que mal. Je vais au parc, peut être que je trouverai des gens de mon ancienne classe. Je me balade avec lenteur parce que je m'ennuie à mourir.
Je m'assois sur un banc sur lequel personne n'est assis. Je regarde autour de moi en faisant la moue.
Je m'ennuie d'une puissance...
Tout ce que j'attends c'est ce soir, j'irai dans sa chambre et il me verra. Puis nous passerons une bonne soirée même si c'est très bizarre de revenir alors que je ne suis plus de ce monde.

Je l'aime tellement que j'entends sa voix. Une voix qui résonne comme une mélodie pour les oreilles. J'ouvre les yeux et regarde autour de moi pour voir si je ne suis pas en train de délirer.
Il est là, dans le parc. Ses cheveux blancs et rouge parfaitement séparer qui se mélange avec l'aide du vent. Ses yeux verront dans lequel je me suis perdue tant de fois. Sa brûlure a l'œil qui fait tout son charme. Son vissage si neutre mais si beau. Tout ça m'a terriblement manqué.

J'étais à deux doigt de te rejoindre, de cité ton prénom et à l'entente de cela tu te serai retourné, tu m'aurai vu et tu aurai été super content. Enfin c'est ce que je m'imaginais...
Mais il a fallut qu'une autre personne sois à tes côtés. Une personne dont tu me parlais trop souvent. Une personne que je déteste, car il m'a volé ce que j'aime le plus. Shoto.

Il est à côté de lui, ils se tiennent la main. Ils se lâchent des sourire totalement amoureux. Je n'ai jamais vu Shoto avec un sourire aussi beau et aussi sincère, pourtant cela fais bien des années que je le connaît, "comme ma poche" on dit. Mais encore une fois, il ne faut pas croire tout ce que l'on dit et que l'on entend.

Il est, enfin plutôt, ils sont passés devant moi, même pas un regard. Il ne m'a même pas remarqué.
Ils s'en vont vers le fond du parc, un endroit que je connaît trop bien. C'est là où Shoto va lorsqu'il est triste ou au contraire heureux.

Je les suis en faisant bien attention à ce que Shoto se me voit pas. C'est le seul qui a la possibilité de me voir donc faut que je fasse attention. Les autres gens je m'en fou.

Après quelques courtes minutes de marche ils arrivent à l'endroit prévu. Shoto s'assoie sur l'herbe contre un arbre tandis que l'autre s'assoie entre ses jambes posé contre lui. Pas la peine de préciser qu'ils se tiennent la main et qu'ils se câlinent. Ça me fou la rage si je puis dire...dire qu'il y'a quelque jours à peine Shoto et moi étions inséparable.

-Je t'aime Shoto.

Cette personne profite un peu trop de mon Shoto il me semble.

-Moi aussi.

Je le sais, et pourtant ça fais quand même mal.

Je sors de ma cachette et me pointe en fasse de Shoto. Il ne remarque rien. Je me met alors à croupi en me rapprochant un peu plus de lui. Il ne montre aucun signe comme quoi il me voit.

-Shoto ? Dis-je.

Il relève la tête.

-T'as un truc dans les cheveux. Rit-il.

Faux espoir. Bon bah je suppose que mon amour n'est pas si réciproque que ça...

"-Si vous voulez revenir au paradis, vous n'aurez qu'à criez votre nom et prénom très fort. Suivez-moi."
Je vais repartir direct en haut alors. Mon voyage parmi les vivants aura été de courte durée...Pas grave je le savais au fond de moi, et puis j'ai pu revoir la personne que j'aimais le plus au côté d'une personne qui l'a rend heureuse.

-Je te souhaite plein de bonheur Shoto, tu le mérite amplement...

Il ne manque plus qu'à crier mon nom et prénom...

-MOMO YAOYOROZU !

Puis mon corps part en petite étoile pour rejoindre le ciel une nouvelle fois. Mais cette fois ci une bonne fois pour toute.

Je les regarde tout les deux collés ensemble, heureux.
Le bicolore collé à sa touffe verte, Izuku.

Izuku, tu as de la chance de l'avoir. Ne gâche pas tout s'il te plaît...

Au revoir.

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[1213] // [0056]
Jeudi 11 mars

J'espère que ça vous plaît, j'ai essayer d'étendre au maximum le suspense :p

J'ai beaucoup aimé écrire ce chapitre, même si on parle pas énormément du ship

Et n'hésitez pas à mettre des commentaires parce que j'ai l'impression que mes histoire sont nulles ou autre :(

Il y'en a beaucoup ne brouillon et je m'y perd moi même. En tout cas j'ai beaucoup d'idée un peu plus différentes les unes que les autres. J'espère que ça vous plaira ^^
Bye !

Recueil Os TododekuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant