La boite de nuit [Kiribaku]

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Cela fait trois mois maintenant.
Trois mois que je ne t'es pas vu.
Trois moi où ton visage me hante.
Trois mois où ton sourire me manque.
Trois mois où tu me manques.

Je suis revenu à l'endroit où nous nous sommes rencontrer. Chaque samedi j'y étais.
Chaque samedi je n'attendais que toi.
Chaque samedi j'espérais toujours.
Mais au bout de trois mois je commence à perdre espoir.

J'aimerai tant te revoir.
Revoir ton sourire, tes doux cheveux carmin, tes yeux rouge vifs qui ont fait chavirer mon coeur.

A la seconde où je t'es vu, et où tu m'as parler je suis tomber amoureux de toi. Nous avions discuter au moins quatre bonnes heures et ça m'a suffit pour tomber amoureux de toi.
Tomber amoureux en quatre heures, c'est débile n'est ce pas ?
Je ne cherche plus que toi à présent.

Aujourd'hui encore j'y retourne, la boîte de nuit où nous nous sommes rencontrés.
J'y retourne une énième fois, pourtant moi qui n'aime pas sortir, j'ai toujours espoirs a ce qu'on se revoit.

Notre rencontre n'était que le fruit du hasard.
Si mes amis ne m'avaient pas forcer pour que j'y aille jamais je ne t'aurai rencontrer.
Peut être aurait-il était mieux ainsi. Qui sais ?
Peut être que notre destin s'était résigner à ne plus se rencontrer.

Je rentre dans la boîte de nuit et m'assois au bar. Je commande une boisson et va m'assoir au fond, la où nous nous sommes rencontrer pour la toute première fois.
Je m'assois et attend.
J'attend quoi ? Et bien lui. Je sais qu'il ne viendras pas, que nos chemins ne se croiseront plus. Mais mon esprit et mon coeur gardent espoirs.

Deux heures....
Trois heures....
Quatre heures passèrent.
Au final je ne t'aurai jamais revu alors.
Il est trois heures du matin je suis crevé et je tiens à peine sur mes jambes à cause de la fatigue accumulée.
Je suis faible maintenant. C'est ça de rester éveiller tout le nuit.
Je suis assis là, sur le canapé. Seulement un garçon suspect est venu me voir mais je l'est vite dégage. Et encore aujourd'hui je ne t'es pas vu.
Mon esprit n'est pas fatiguée mais mon corps de répond plus à mes appelles.
J'essaye de le bouger, mais j'ai comme l'impression qu'il pèse une tonne.

Il est quatre heures trente du matin et la boîte de nuit va fermer. Le monde se vide peu à peu, me laissant seul dans le coin.
Je ferme les yeux peu à peu, mais une voix me rattrape.

"Monsieur ?"

Qui est-ce ? Une voix aussi merveilleuse, je l'est déjà entendu. Mais qui est-ce ?

"Oï, réveillez vous on va fermer"

J'aimerai partir mais je n'y arrive pas. Je suis tellement fatigué que j'arrive à peine à parler.
En tout cas sa voix est merveilleuse.

Puis je m'endors. Je n'entend plus rien, sa merveilleuse voix c'est éteinte.

Je me réveille avec le corps engourdit.
Je suis allonger dans un lit, plutôt confortable.
Attend je suis où ?
Je me relève d'un coup, après avoir évaluer la situation.

Je suis chez un inconnue. J'ai dormis dans un lit chez l'inconnue. Et je ne me souviens de rien après m'être endormi.
Je regarde sous le couette et remarque que je suis toujours habillé de la même façon qu'hier.
Ouf ! J'ai eu peur.
Je regarde encore une fois sous la couette puis remarque une pair de jambes.
Je le tourne vers ma droite et le voit...
Lui, enfin je le retrouve. J'aurai aimé dans d'autres circonstances mais bon.
Il est allongé la, à côté de moi, nous avons dormi ensemble.
Je sent mes joues chauffer quand je me rend compte que le rouge se réveille.
Il porte seulement un t-shirt et un boxer.

Recueil Os TododekuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant