Vas-tu nous quitter ?

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Assurément, Lycomede devra agoniser durant tout un printemps pour s'immoler un jour d'été avec un dernier regard extatique ! Pour créer ne faut-il pas un crime ?

Sincèrement, n'ayant plus de visibilité ou de lecteurs, ça s'avère la situation la plus intelligente, je lutte pour rien dans un numérique auquel jene suis rien, pas un écrivain, le dégénéré inapte à vendre sa petite personne et ses récits produits de plus comme lui dans cette immensité binaire.

Je n'offrirais pas à Lycomède ou moi-même le plaisir d'une mort numérique et publique idéale, abréger des souffrances ça n'a rien d'artistique de mourir aisément dans un lit. Après une maladie sans cure, une querelle titanesque, une guerre épuisante mourir d'un glaïeul à sa boutonnière suite à une saison en enfer, ça m'évoque davantage, je l'invoque ce rivage !

J'irais m'accrocher ailleurs là où mon style de brutal art bien brut se montrera jugé anodin.

Dire un adieu à la notation étoilée pleine selon moi d'une idéologie d'un certain dictateur communiste, aux abonnements, à ses recommandations me proposant de lire des écrits que je soupçonne de prépubères fantasmant les choses de la vie n'appartenant pas à la leur ou de jeunes adultes se prenant pour Tolkien, Rowling ou King en les imitant sans accepter la vérité c'est à dire de réinventer le couteau à beurre, les remarques me déclarant trop lettré ou obscur, quitter un monde auquel j'ai failli appartenir où mon temps ne m'appartient plus. J'en jubile presque d'avance.

Un je ne sais quoi sur le pourquoi du commentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant