Vers le changement

Chapitre 15: L'anti-fan

Bonjour les petits poulpes ! Vous passez de bonnes vacances ?

Nous voici pour ce nouveau chapitre qui sera très cours, vous allez comprendre pourquoi. Je vous conseille de trouver quelque chose à taper, un coussin, un sac de frappe ou même votre petit frère ou votre petite sœur. Je vous dis ça parce que moi-même en écrivant le chapitre j'avais juste envie de taper ma tête contre un mur tellement j'ai détesté.

Bonne lecture ( ou pas ).

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PDV ??? (nda: j'ai tellement peu de respect pour lui que je ne lui ai même pas donner de nom)

Ce monde, je le déteste. Il me dégoûte, autant lui que ses habitants. Je ne l'ai jamais apprécié et jamais je ne l'apprécierais. J'aimais ma vie précédente, confortable et sans soucis. Mais il a fallu que je fasse une crise cardiaque.

Je me suis réincarné dans ce monde que je hais au plus au point. Ce lieux que toute ma famille appréciait et qu'il fallait supporter. One piece, ce manga me répugne et pourtant toute ma famille l'aime. C'est pourquoi j'en connais toute l'histoire. Jamais, oh grand jamais j'aurai cru un jour pouvoir me réincarner dans ce monde que je pensais fictif.

La seule chose que j'aime voir dans cette histoire c'est la souffrance des personnages et voir leurs malheurs me satisfaisaient au plus au point, ça en était presque grisant. Leurs larmes, leurs douleurs, tout cela m'extasier comme rien d'autre.

Cependant, j'avais horreur que cela s'arrange à chaque fois et j'aurai préféré qu'ils souffrent éternellement.

Je déchire le journal que je tiens dans les mains. Ce n'est pas normal. La guerre au sommet devrait avoir eu lieu et pourtant jamais Portgas D Ace ne s'est fait arrêter par la Marine. Quelque chose cloche. L'histoire a changé.

Je fulmine.

Ou plutôt quelqu'un l'a changé. Cela ne veut dire qu'une seule chose : une autre personne que moi est arrivée de notre monde, une personne qui aime assez le manga et ses personnages pour vouloir les sauver.

Je me lève et fais les cent pas dans la forêt où je vis actuellement. Je dois faire quelque chose, réagir, m'interposer. Je m'arrête devant un gros rocher, je lève le poing et l'abaisse sur la pierre dure, la brisant alors en milliers de petits morceaux, fou de rage.

Comment quelqu'un ose interagir dans l'histoire. Ils seraient tous mieux morts, enterrés six pieds sous terre. Ou alors à pleurer toutes les larmes de leur pauvre petit corps devant ceux sans vie et déchiquetés des personnes qu'ils aiment. C'est tout ce qu'ils méritent. Ce que j'avais prévu de faire dans le Nouveau Monde.

Ils ont foutu ma vie en l'air, lavé le cerveau à ma famille, mes amis et au monde entier. On entendait parler que d'eux et de leurs exploits, de leurs idioties et de leur gentillesse à vomir.

Si l'histoire à changer, alors je vais entrer en scène. Je vais détruire ce monde pourri jusqu'à la moelle. Je vais tous les tuer. Les faire souffrir et culpabiliser de leur propre impuissance. Mais avant ça je vais d'abord tuer cette personne qui c'est permise de changer l'histoire, de sauver ces personnes détestables. Quand j'aurai accompli tout cela je pourrai enfin vivre en paix sans entendre plus jamais parler d'eux et de leurs soi-disant exploits.

Je vais les faire souffrir éternellement.

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Et voilà, vous avez des envies de meurtre maintenant n'est-ce pas ?

Le prochain sort vendredi.

Bisous mes petits poulpes !