Chapitre 19🍋

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Lentement j'ouvre les yeux, il n'est pas 4h, j'ignore il est quelle heure, mais je sais que je suis en sécurité. Face à la grande fenêtre, je vois le Soleil surgir entre les gratte-ciels qui peuplent New York. Au chaud sous les couvertures, je me cale un peu plus serré contre le torse dans mon dos et deux puissants bras viennent m'entourer pour me coller contre lui. Nos doigts se lacent en même temps que je sens son souffle sur ma clavicule dénudée sur laquelle de petits bisous viennent se déposer, ils montent sur mon cou et suivent la courbe de ma mâchoire. Les doigts de Steve qui se trouvent sous mon torse commencent à effleurer doucement mon ventre envoyant ainsi des milliers de petites décharges électriques dans tout mon corps. Assez jouer. Je me retourne face à lui pour venir l'embrasser passionnément pendant qu'une de ses mains jouent dans mes cheveux, l'autre me serre si fort que nos deux corps vont bientôt fusionner. Contre mon bassin je sens déjà son sexe bien dur, au vu des gémissements qu'il pousse quand je me frotte contre lui, ça fait un moment qu'il m'attend

Il me couche sur le dos et s'assit sur mon bassin, écrasant par le même fait mon érection me faisant gémir. Oh God. Du bassin je commence de grands mouvements sensuels qu'il continue. Tout son corps ondule, ses muscles roulent sous sa peau nacrée, la manière dont il bouge les hanches pourrait me faire jouir dans mon caleçon juste à le regarder. Steve se penche pour venir lécher mon oreille sans que ni lui ou moi n'arrêtent de se redécouvrir encore et encore du bout des doigts. Ses lèvres tracent le contour de ma mâchoire y laissant des traces roses mouillées, mon cou se retrouve rapidement parsemé de ronds violacés. Toujours à genoux au-dessus de moi une main sur mes abdos, l'autre dans mes cheveux, il continue à descendre sa bouche jusqu'au niveau de mon nombril. Chacun de ses touchés est à la fois sensuel et doux, me promettant qu'ici et maintenant je maîtrise mes gestes et n'importe quand je peux l'arrêter. Il n'a pas très bien compris qui est le prédateur, mais ça le rend sexy. Ses yeux se plantent dans les miens et son sourire révèle que ce qui s'envient va me faire hurler de jouissance. Il baisse sa tête rapidement sur mon entrejambe et presse sa main fort, trop fort dessus mon érection comprimé ce qui me fait gémir. Les longs doigts qui me pressent malaxent en même temps mon pénis trop gorgé de sang pour supporter ce genre d'attention. Steve baisse mon boxer qu'il lance fort fort lointain et m'avale d'une traite, le choc est si intense que j'en perd mon souffle. Sa gorge chaude et humide entoure ma queue, sa langue glissant comme elle peut dans le peu d'espace restant dans la bouche de mon amant sur ma longueur, il faut dire que le Captain est de loin la meilleure personne pour faire des gorge profonde.

Oh God,le dos arqué, toute ma concentration va dans mon self-control pour ne pas donner de cou de bassin et par le même fait l'étouffer. Assez joué, pendant qu'il reprend son souffle entre deux séances de taillage de pipe du siècle, je me redresse pour le pousser sur le dos et l'embrasser à pleine bouche. Il goûte un mélange de liquide pré éjaculatoire et de sueur, avec une petite haleine du matin quand même. Je ne fais pas durer le moment et le retourne à genou en levrette, ça prend pas 2 secondes que j'enlève ses sous-vêtements si contraignant, automatiquement il soupire quand son érection est enfin libre de pointer vers le ciel. Le cul qui s'offre à moi est irrésistible, ma langue s'y glisse avant même que j'y pense , une pause de 4 secondes pour attraper le lubrifiant et je recommence. J'en enduit deux doigts que j'enfonce en lui, dès que j'attrape sa prostate tout son corps tressaillit, il se cambre et commence à haleter, un troisième et un quatrième viennent les rejoindre.

- Buck, Buck.... je vais.... je vais..

- Pas tout de suite non.

Je sors mes doigts et le pénètre sec, il est déjà humide et ouvert pas question qu'il jouisse pendant que je ne fait que m'introduire en lui. Je sens autour de moi ses chaires se resserrer, pendant que je l'entend grogner de douleur.

Un Passé BriséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant