Partie 16-17

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PARTIE 16

Je suis dans mon sommeil, sa vibre sous mon ventre, putin de téléphone. Je regarde pas qui c'est et je répond.

Moi : ...
... : Camélia ?
Moi : Huuum
... : Tu dort mais tu répond, vasi réveille toi.
Moi : QUOII TU VEUX QUOI C'EST QUI ?
... : Calme ta race, c'est Walid
Moi : Oh il est quelle heure ?
Walid : 3h30, ya moyen tu descend deuspi ?
Moi : Si c'est pas une question de vie ou de mort, je descend pas.
Walid : Je suis blessé, je me suis battu. Je vais pas bien
Moi : Putin fallait le dire, t'as quoi. Attend attend j'arrive.

Je raccroche, je vais dans la salle de bain sans réveiller ma mère, je prend la trousse a pharmacie.
Je fait une exception, je prend l'ascenseur. Je vois Walid assis sur les marche.

Moi : Walid?

Y se retourne, et il fait des gros yeux de ouf mdr. Wallah j'ai encore son expression dans la tête.

Walid : LA PUTIN DE TOIIII
Moi : N3el sheitan !! cris pas. Les gens y dorme, aucun respect.
Walid : TA RACE !!! D'ou tu descend comme ça ?! Je vais te niquer.

Sur le coup je me suis senti conne, wallah j'avais oublier de mettre un truc plus long.
J'étais en débardeur et mon short y fessait un peu boxer. J'ai toujours dormit sans pantalon.
Mais j'étais pas réveiller, j'ai pas fait attention.

Moi : Wallah j'ai pas capter, c'est de ta faute aussi tu me réveille en plein sommeil, j'ai pas toute ma tête. Déjà elle sont où tes blessure ? Ta rien du tout Tu m'as fait desendre pour rien la ?
Walid : Va t'habiller et tu redescend
Moi : Non je remonte, et je reste dans mon lit. Je te retient, moi j'ai paniquer comme une dingue j'ai cru tu t'étais pris un coup de shlass et toi tu te fou de ma gueule. Vasi a demain

Je me dirige vers l'escalier pour monter, y me prend par la taille et m'attire vers lui. Il me sert dans ses bras, je pouvais sentir ses lèvre sur ma nuque.

Walid: T'es encore toute chaude.
Moi : Tu m'as sorti de mon sommeil hagoune.
Walid : Je voulais voir ta petite tête.
Moi : Pourquoi ?
Walid : Je sais pas

Il me met face a lui, j'avais son beau visage juste en face de moi.

Walid : Ta eu peur quand je t'ai dit je suis blessé ?
Moi : Ba oui, fait plus ça
Walid : C'est mignon t'as même pris une trousse zerma, tu voulais me soigner ?
Moi : Hum oui

Il m'a pris dans ses bras et il m'a serrer fort, je pouvais plus respirer mais j'étais bien.
On connaît toute cette sensation, ce retrouver dans les bras de l'homme qu'on aime.
Comme-ci plus rien ne pouvais nous arriver. On se sent protéger, en sécurité. On aimerait que le temps s'arrête pour rester dans leur bras.

Walid : Tu dort ?
Moi : ...

Il se détache, est comme une enfant a qui on aurait retirer sa tétine, je le suis pour le prendre dans mes bras une nouvelle fois. A ce moment la j'avais besoin de se sentiment de protection.
C'est ce qui me manquer et lui me l'apporter. J'ai commencer a pleurer en silence.
On était dans mon hall, il fesait noir. Je voulais pas lui montrer mes faiblesse.
J'ai pas le droit d'être faible, pour ma mère

J'ai commencer a renifler.

Walid : Eh tu pleure ?
Moi : Non du tout

Il se dirige vers l'interrupteur et la lumière s'allume. Je lui tourne le dos, et essuie les dernière larmes sur mon visage.
Être faible c'est pleurer ? Je ne pense pas.
Dieu a crée la femme et elles puisent sa force de ses larmes.
Il viens en face de moi et me force a le regarder. Il est tellement beau mashallah.
Qu'elle fille lui resisterait ? Aucune.

Walid : Pourquoi tu pleure ? C'est de ma faute ?
Moi : Je sais pas, non c'est pas toi.
walid : J'espère je veux pas que tu pleure a cause de moi, monte te coucher maintenant.
Moi : Oui j'y vais.

Il s'est approcher de moi, comme-ci il allait m'embrasser. Il a hésiter et a fini par déposer son bisous sur mon front. Je souriais comme une hagouna.
Je rentre sans faire de bruit, 4h15. Je commence a 10h30, j'ai encore un peu de sommeil devant moi.
Je suis dans mon lit, j'attend 10 min et je demande a Walid si il est rentrer. Il habite deux tour plus loin. Il me dit que Oui. Après ça je m'endort comme un bébé.

PARTIE 17

Le matin déjà, j'ai encore sommeil. J'éteinds mon reveil. On entre dans ma chambre a tout les coup c'est ma mère elle est toujours en congé.

Maman: Benti nodi ( ma fille lève toi).
Moi: Oui yemma deux minute.

Elle ouvre les vollet et sort de la chambre. Je vais prendre ma douche et je me prépare. Je rejoinds ma mère dans le salon. Qu'elle est belle ma mère.

Maman: Je t'ai fait du lait au chocolat avec tes tartine de pain griller, c'est dans la cuisine. Sa fait lontemps que je t'avais pas réveiller et fait ton petit déjeuner. Sa me manque tout ça. Ma fille c'est une femme maintenant.

Je vais prendre mon petit déjeuner et je vais la retrouver sur le sofa.

Moi : Tu m'a reveiller tôt, il est que 6h45.
Maman: Oui je m'ennuyer toute seule, je me suis lever pour la prière et j'avais plus sommeil. Sa se passe a l'école ?
Moi: Oui sava j'ai de bonne notes hamdoullah.
Maman: C'est bien benti, va faire ta salat(prière). Je vais reveiller tes frères et ta soeur.

Je m'execute la religion a une très grande place dans ma vie.
Bref on est tous posé devant TFOU, avec notre petit dejeuner. Tout le monde va en cour, moi il me reste encore un peu de temps.

Maman: Je t'accompagne, avec tes béquille tu dois avoir du mal.
Moi : Ouai je veux bien.

Je demmande a Myriam de me rejoindre chez moi.
On est dans la voiture en sortant de la tess je vois Fares avec Kamel.

Moi : Maman on peut les prendre, il sont dans ma classe.
Maman: Pas se souci appel les.
Je me met a la fenêtre et je l'ai appel.

Moi: Montez.
Kamel: Non on va prendre le bus
Maman : Oh faîtes pas les timide avec moi, allez montez.

On ne dit pas non a Kahina:-)
Sur le trajet ma mère tape la discute avec eux. On arrive au bahut j'embrasse ma mère et on monte en cour. Je vois Walid

Walid : Ça va toi? Pas trop fatiguer a cause d'hier ?
Moi: Non, mais pourquoi t'es venu me voir a cette heure la?
Walid : Je sais pas comme ça.
Moi: Pfff, tu sais jamais rien de toute façon.
Walid: Hassoul Cette aprem sa te dit on sèche, j'ai la vago on va faire un tour.
Moi : Si tu veux mais pas en voiture
Walid: Comment ça?
Moi: Je monte qu'avec ma mère
Walid : T'es sah tu me fait pas confiance ?

Bien sur que si, je lui fesait confiance.

Moi: Bon, on verra..

Les deux heures passe, il est midi. Je dis a Myriam qu'on vient pas cette aprem et que je vais bouger avec Walid.
On est en face de sa vago. Putin j'arrive pas. Je comprend pas pourquoi. Allez Camélia monte. On est dedans il met le contacte. La voiture démarre il roule.
Sueur, bouffée de chaleur. Les larmes monte. Je reconnaît les signes. Crise d'angoisse sa fessait lontemps que sa m'étais pas arriver. Je cris,je pleure et je me frappe la tête. Il freine sec.
Miskine il a du croire j'étais posséder....

chronique de Camélia : Un amour de ghettoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant